Re: Corneille était un israélite
Posté : 05 nov.16, 00:00
Chretien2,
"Mais tu comprends rien". Tu vois avec quelle certitude tu parles? Tu ne connais rien. Tu dis tout et son contraire. Tu es instable, sans argument et pourtant tu te crois quelqu'un. Tu me recadre sans le moindre argument. Je ne dois plus te répondre parce que tu dis un tas de bêtise et que tu es incohérent. Tu n'as aucune logique, pas de mémoire donc on doit revenir à nos anciens arguments pour essayer d'avancer. Serieux tu m'as épuisé donc je n'ai plus envie de répondre à tes bêtises.
Je te laisse cette fois te débrouiller avec ce que ta secte elle meme dit (jesus né à Nazareth ???!!!! Ce qu'il ne faut pas entendre):
"Au cours du Ier siècle de n. è., le pouvoir impérial de Rome sur Israël fut réparti entre des chefs de district et des gouverneurs ou procurateurs. La Bible mentionne des chefs de district tels que Philippe, Lysanias et Hérode Antipas (Lc 3:1), ainsi que les gouverneurs Ponce Pilate, Félix et Festus (Ac 23:26 ; 24:27), et les rois Agrippa Ier et Agrippa II (Ac 12:1 ; 25:13). Sur le plan intérieur, il subsistait un semblant d’organisation selon les généalogies tribales, comme l’indique le fait que César Auguste ordonna aux Israélites de se faire enregistrer chacun dans la ville de sa maison paternelle (Lc 2:1-5). Parmi le peuple, “ les anciens ” et les fonctionnaires lévites de la prêtrise exerçaient toujours une grande influence (Mt 21:23 ; 26:47, 57 ; Ac 4:5, 23), bien qu’ils aient, dans une large mesure, substitué des traditions humaines aux exigences écrites de l’alliance de la Loi. — Mt 15:1-11.
C’est dans cette atmosphère que naquit le christianisme. Jean le baptiseur, précurseur de Jésus, parut d’abord et ramena de nombreux Israélites à Jéhovah (Lc 1:16 ; Jn 1:31). Puis Jésus et ses apôtres lui succédèrent dans l’œuvre de secours, effectuant leur activité parmi les “ brebis perdues de la maison d’Israël ” et ouvrant les yeux aveuglés pour qu’ils voient la fausseté des traditions des hommes et les grands bienfaits que procure le culte pur de Dieu (Mt 15:24 ; 10:6). Cependant, un reste seulement accepta Jésus comme le Messie et fut sauvé (Rm 9:27 ; 11:7). Ce sont ceux qui l’acclamèrent joyeusement en tant que “ roi d’Israël ”. (Jn 1:49 ; 12:12, 13.) La majorité refusèrent d’avoir foi en Jésus (Mt 8:10 ; Rm 9:31, 32) et se joignirent à leurs chefs religieux en criant : “ Enlève-le ! Enlève-le ! Attache-le sur un poteau ! ” “ Nous n’avons de roi que César. ” — Jn 19:15 ; Mc 15:11-15.
Le temps révéla que cette prétendue fidélité indéfectible à César était hypocrite. Des éléments fanatiques d’Israël fomentèrent révolte après révolte, et chaque fois la province subit les dures représailles de la part des Romains, représailles qui, à leur tour, exacerbaient la haine que les Juifs vouaient à la domination romaine. La situation devint finalement si explosive que l’armée romaine locale ne fut plus en mesure de la maîtriser et que Cestius Gallus, gouverneur de Syrie, se dirigea sur Jérusalem avec des forces supérieures pour y maintenir la domination romaine.
Après avoir incendié le Bézétha, au N. du temple, Gallus établit son camp en face du palais royal, au S.-O. du temple. Selon Josèphe, à ce moment il aurait pu pénétrer facilement dans la ville, mais en différant son intervention il affermit les insurgés. Se protégeant sous leurs boucliers à la façon d’une carapace de tortue, les soldats de l’avant-garde romaine commencèrent à saper les murs. Alors qu’une fois de plus ils étaient sur le point de réussir, les Romains se retirèrent en automne 66 de n. è. Parlant de leur retraite, Josèphe dit : “ Cestius [...] rappela soudainement ses troupes, renonça à ses espérances, sans avoir souffert aucun échec, et, contre toute attente, s’éloigna de la ville. ” (Guerre des Juifs, II, 540 [XIX, 7]). L’attaque de la ville, suivie de la retraite soudaine des Romains, fut pour les chrétiens qui y habitaient le signal et l’occasion de “ fuir vers les montagnes ”, comme Jésus le leur avait commandé. — Lc 21:20-22.
L’année suivante (67 de n. è.), Vespasien entreprit de mater le soulèvement des Juifs, mais la mort inattendue de Néron en 68 lui donna la possibilité de devenir empereur. Il rentra donc à Rome en 69 et laissa Titus, son fils, poursuivre la campagne. L’année suivante, en 70, Jérusalem fut envahie et détruite. Trois ans plus tard, Massada, la dernière forteresse juive, tomba aux mains des Romains. Josèphe rapporte qu’au cours de toute la campagne contre Jérusalem 1 100 000 Juifs périrent, beaucoup de la peste et de la famine, et 97 000 furent faits prisonniers puis dispersés comme esclaves dans tout l’empire. — Guerre des Juifs, VI, 420 (IX, 3).
En ce qui concerne l’identité des “ douze tribus d’Israël ” mentionnées en Matthieu 19:28 et en Luc 22:30, voir TRIBU (“ Jugeant les douze tribus d’Israël ”)."
"Mais tu comprends rien". Tu vois avec quelle certitude tu parles? Tu ne connais rien. Tu dis tout et son contraire. Tu es instable, sans argument et pourtant tu te crois quelqu'un. Tu me recadre sans le moindre argument. Je ne dois plus te répondre parce que tu dis un tas de bêtise et que tu es incohérent. Tu n'as aucune logique, pas de mémoire donc on doit revenir à nos anciens arguments pour essayer d'avancer. Serieux tu m'as épuisé donc je n'ai plus envie de répondre à tes bêtises.
Je te laisse cette fois te débrouiller avec ce que ta secte elle meme dit (jesus né à Nazareth ???!!!! Ce qu'il ne faut pas entendre):
"Au cours du Ier siècle de n. è., le pouvoir impérial de Rome sur Israël fut réparti entre des chefs de district et des gouverneurs ou procurateurs. La Bible mentionne des chefs de district tels que Philippe, Lysanias et Hérode Antipas (Lc 3:1), ainsi que les gouverneurs Ponce Pilate, Félix et Festus (Ac 23:26 ; 24:27), et les rois Agrippa Ier et Agrippa II (Ac 12:1 ; 25:13). Sur le plan intérieur, il subsistait un semblant d’organisation selon les généalogies tribales, comme l’indique le fait que César Auguste ordonna aux Israélites de se faire enregistrer chacun dans la ville de sa maison paternelle (Lc 2:1-5). Parmi le peuple, “ les anciens ” et les fonctionnaires lévites de la prêtrise exerçaient toujours une grande influence (Mt 21:23 ; 26:47, 57 ; Ac 4:5, 23), bien qu’ils aient, dans une large mesure, substitué des traditions humaines aux exigences écrites de l’alliance de la Loi. — Mt 15:1-11.
C’est dans cette atmosphère que naquit le christianisme. Jean le baptiseur, précurseur de Jésus, parut d’abord et ramena de nombreux Israélites à Jéhovah (Lc 1:16 ; Jn 1:31). Puis Jésus et ses apôtres lui succédèrent dans l’œuvre de secours, effectuant leur activité parmi les “ brebis perdues de la maison d’Israël ” et ouvrant les yeux aveuglés pour qu’ils voient la fausseté des traditions des hommes et les grands bienfaits que procure le culte pur de Dieu (Mt 15:24 ; 10:6). Cependant, un reste seulement accepta Jésus comme le Messie et fut sauvé (Rm 9:27 ; 11:7). Ce sont ceux qui l’acclamèrent joyeusement en tant que “ roi d’Israël ”. (Jn 1:49 ; 12:12, 13.) La majorité refusèrent d’avoir foi en Jésus (Mt 8:10 ; Rm 9:31, 32) et se joignirent à leurs chefs religieux en criant : “ Enlève-le ! Enlève-le ! Attache-le sur un poteau ! ” “ Nous n’avons de roi que César. ” — Jn 19:15 ; Mc 15:11-15.
Le temps révéla que cette prétendue fidélité indéfectible à César était hypocrite. Des éléments fanatiques d’Israël fomentèrent révolte après révolte, et chaque fois la province subit les dures représailles de la part des Romains, représailles qui, à leur tour, exacerbaient la haine que les Juifs vouaient à la domination romaine. La situation devint finalement si explosive que l’armée romaine locale ne fut plus en mesure de la maîtriser et que Cestius Gallus, gouverneur de Syrie, se dirigea sur Jérusalem avec des forces supérieures pour y maintenir la domination romaine.
Après avoir incendié le Bézétha, au N. du temple, Gallus établit son camp en face du palais royal, au S.-O. du temple. Selon Josèphe, à ce moment il aurait pu pénétrer facilement dans la ville, mais en différant son intervention il affermit les insurgés. Se protégeant sous leurs boucliers à la façon d’une carapace de tortue, les soldats de l’avant-garde romaine commencèrent à saper les murs. Alors qu’une fois de plus ils étaient sur le point de réussir, les Romains se retirèrent en automne 66 de n. è. Parlant de leur retraite, Josèphe dit : “ Cestius [...] rappela soudainement ses troupes, renonça à ses espérances, sans avoir souffert aucun échec, et, contre toute attente, s’éloigna de la ville. ” (Guerre des Juifs, II, 540 [XIX, 7]). L’attaque de la ville, suivie de la retraite soudaine des Romains, fut pour les chrétiens qui y habitaient le signal et l’occasion de “ fuir vers les montagnes ”, comme Jésus le leur avait commandé. — Lc 21:20-22.
L’année suivante (67 de n. è.), Vespasien entreprit de mater le soulèvement des Juifs, mais la mort inattendue de Néron en 68 lui donna la possibilité de devenir empereur. Il rentra donc à Rome en 69 et laissa Titus, son fils, poursuivre la campagne. L’année suivante, en 70, Jérusalem fut envahie et détruite. Trois ans plus tard, Massada, la dernière forteresse juive, tomba aux mains des Romains. Josèphe rapporte qu’au cours de toute la campagne contre Jérusalem 1 100 000 Juifs périrent, beaucoup de la peste et de la famine, et 97 000 furent faits prisonniers puis dispersés comme esclaves dans tout l’empire. — Guerre des Juifs, VI, 420 (IX, 3).
En ce qui concerne l’identité des “ douze tribus d’Israël ” mentionnées en Matthieu 19:28 et en Luc 22:30, voir TRIBU (“ Jugeant les douze tribus d’Israël ”)."