Serviteur d'Allah a écrit : ↑22 déc.19, 06:50
L'impiété, c'est surtout prêter à Dieu des fils, des images, des formes humaines, une vie terrestre, des doctrines abracadabrantesques... Les musulmans ne font pas cela. Il n'y a que toi et tes frères cathos qui le font.
C'est faux.
L'impiété c'est d'associer Jésus à Dieu comme le font les catholiques et orthodoxes par la trinité.
Ils disent que Jésus est Dieu à 100 % et est homme à 100 % de ce fait, Jésus partage la nature divine du Père et est donc un Fils digne de son Père qui l'a engendré disent ils, et que Marie a fécondé, disent ils dans ces termes, en fait ils ont fait de Jésus l'associé de Dieu, égal à Dieu, par sa force et puissance, puisqu'ils disent que Jésus a tous les attributs de Dieu par les 100 % de sa divinité.
Ils disent pour la plupart que la Thora ne leur est pas utile, que le Père, Dieu, a été remplacé par son Fils, Jésus, un autre Dieu mais qu'ils vénèrent le Père toutefois car il est Son Père, mais qu'au fond la Parole de Dieu ne les intéresse plus car du fait qu'ils disent que Jésus a donné son Sang pour que Dieu pardonne l'humanité, les lois sont absoutes, autrement dit, ils disent à l'inverse du Coran, inutile de faire le bien pour se dire que le Paradis nous est acquis.
Donc c'est cela que tu dois combattre, cette mauvaise foi, par les mots, par l'argument, par l'intelligence, car lorsque Dieu dans le Coran dit "combattez les, tuez les" c'est les tuer en les mettant à terre par la force de la Vérité, et pas tuer les corps, car tuer les corps ne sert à rien.
C'est la Parole de Dieu l'épée qui tue les mécréants
Ephésiens 6:17
prenez aussi le casque du salut, et l'épée de l'Esprit, qui est la parole de Dieu.
Hébreux 4:12
Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu'une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu'à partager âme et esprit, jointures et moelles; elle juge les sentiments et les pensées du coeur.
Et à la fin du monde, c'est la Parole de Dieu qui les mettra à terre, les anéantira : Apocalypse 19:15
De sa bouche sortait une épée aiguë, pour frapper les nations; il les paîtra avec une verge de fer; et il foulera la cuve du vin de l'ardente colère du Dieu tout-puissant.
Et Jésus est venu pour porter la Parole de Vérité qui tranche dans le vif et abat les mauvais croyants du coup de l'épée qui sort des gens honnêtes envers Dieu Matthieu 10:34
Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l'épée.
Donc Serviteur d'Allah, combat les mécréants avec la Vérité, et la Vérité tu l'as auprès de Jésus qui est la Parole de Dieu qui a pris chair car en vérité, Jésus n'est naturellement pas ce qu'ils disent eux, catholiques et orthodoxes, mais eux ont du séparer Jésus du Père afin qu'il y ait "une victime désignée " qui est Jésus et un rançonneur qu'ils ont désigné comme étant Dieu, c'est pour cela la trinité, et ceci afin de disculper le vrai coupable, celui qui a pris le prix payé par Jésus pour libérer les otages, car Jésus a donné sa vie en rançon pour libérer les otages, qui sont les chrétiens, tués, et libérés dès lors Constantin a décidé de libérer tous les cultes.
Sauf qu'eux, les évêques chrétiens ont préféré être honorables envers Constantin en ne disant pas de lui qu'il fut fautif de la Crucifixion de Jésus et à la place, ils ont inventé la trinité qui est association.
Donc la Vérité est que Dieu a fait pour Lui une image, pour venir sur terre, mais ce n'est pas Dieu qui est sur terre, c'est juste "son Image" par Jésus comme Avatar si tu préfères, et à distance Dieu dirige Jésus afin que Jésus parle et c'est Dieu que nous entendons.
Dans le Coran nulle part il y a est dit qu'il ne faut pas faire Image de Dieu
Je te laisse après des commentaires d'un site qui le confirme.
https://croire.la-croix.com/Abonnes/The ... u-Prophete
La prohibition de l’image de Dieu et de toute image cultuelle
[...] L’islam, au cours de son histoire, n’a jamais interdit de manière absolue la figuration en tant que telle. En revanche, dès l’origine, c’est la vénération des images et leur usage cultuel ou dévotionnel qui ont été considérés comme strictement prohibés, tout comme la représentation de Dieu, sous quelle que forme que ce soit. D’un point de vue général, « l’interdiction des images semblerait, d’une part, destinée à éviter la cristallisation de formes [sura] dans l’esprit, obstacle au vide qu’il est nécessaire d’accomplir dans son esprit de manière à saisir ce qui est au-delà des formes, et, d’autre part, à prévenir la fabrication des idoles ; elle traduit donc la volonté que le visible ne fasse pas obstacle à l’invisible ; l’accès à l’invisible passe par l’ascèse radicale du visible, non par une médiation de celui-ci.» (C. Glasse, « Image », dans Dictionnaire encyclopédique de l’Islam, Paris, Bordas, 1991).
S’agissant de l’image picturale de Dieu, l’islam tient que Dieu est absolument impossible à figurer, fût-ce par des symboles conventionnels. Dieu est radicalement inaccessible à l’entendement, sauf à celui de qui médite ses noms et ses actes. « Comme la vérité divine se dérobe au regard humain et que toute représentation de Dieu par l’homme est illusoire, le musulman pieux ne se compromettra pas avec cette imposture que constitue toute effigie de Dieu. » (P. Heine, « Images », Dictionnaire de l’islam).
L’impiété majeure, l’extrême de l’idolâtrie, aux yeux des musulmans, est précisément l’« association » (shirk), c’est-à-dire le fait d’associer à Dieu, ne fût-ce que mentalement, une forme (ou a fortiori une personne, le « Fils », comme font les chrétiens), quelle qu’elle soit, dont Dieu est radicalement distinct, et donc le fait de contrevenir ainsi au tawhid (l’unicité divine, qui est la doctrine centrale de la théologie musulmane). Comme dans la première patristique chrétienne, on retrouvera à l’oeuvre en islam le même type d’élaboration plus ou moins fictive à des fins identitaires : « Il s’avère que les auteurs musulmans du ixe siècle, y compris Ibn al-Kalbî dans son Livre des idoles, ne connaissaient sur le sujet que ce qu’ils en recomposaient eux-mêmes à deux ou trois siècles de distance. Soucieux de souligner la radicale nouveauté de l’Islam, ils voulaient plutôt illustrer littérairement la polémique coranique contre “ceux qui donnent à Dieu des associés” (al-mushrikûn). Il n’est même pas certain – il s’en faut même de beaucoup – que, dans la polémique coranique elle-même contre les mushrikûn, il s’agisse à tout coup d’idolâtres et de polythéistes : les juifs et les chrétiens n’y sont-ils pas eux-mêmes qualifiés de mushrikûn ? » (A.-L. de Prémare, Les fondations de l’islam. Entre écriture et histoire).