Re: Mécanique quantique
Posté : 25 févr.20, 02:58
Finalement croire que les propriétés physiques de l'univers ou un fait de nature sont une conséquence de notre observation/interaction c'est confondre la cause et l'effet.
Un microbiologiste peut avoir un effet sur une bactérie avec son interaction antibiotique mais de là à croire que la cause bactérienne a besoin du microbiologiste pour sa cause naturelle dans ses propriétés physiques tient de l'idéalisme scientifique. Les propriétés pathogènes d'un microbe n'attendent pas l'observation/interaction du microbiologiste pour agir selon son bagage génétique. L'idéalisme scientifique est ici plus que flagrant. Un positivisme extrémiste.
Pas étonnant qu'en formalisme quantique le principe de causalité éprouve de la difficulté à s'y insérer. Causalité et effet s'entremêlent. Comme le " monde sensible est incertain et incogniscible" c'est la forme intelligible ou formalisme scientifique qui tient lieu de certitude et vérités fondées. Une attitude mystico scientifique héritée du monde précédent. Le monde moderne est issu du monde antique. Tradition et innovation.
Aussi bien croire que le fait cosmique est conséquemment devenu en expansion suite à l'observation/interaction de Georges Le Maître. Ça tiendrait plus de la métaphysique que de la physique objective ( le fait de nature) et subjective ( la science qui adapte son constat à la réalité universelle).
Pas très difficile d'admettre après toute cette démonstration logique que le formalisme quantique nage en plein dans le dualisme métaphysique ( observateur, conscience, perception, mesure) et physique ( propriétés de la matière et nature). La connaissance peut avoir un effet sur la cause mais la cause peut bien se passer de l'effet dans ses propriétés. Même qu'un virus doit détester les vaccins et les bactéries haïr les antibiotiques pour attaque à leur intégrité physique.
Comme le dit JM il serait temps qu'il se passe quelque chose au point de vue épistémologique au sein de la communauté scientifique. Une observation/interaction avec l'univers ambiant conditionne plus l'état de nos connaissances et croyances que l'univers lui même. Un peu d'humilité cosmique ...
Trop drôle ces physiciens du cantique du quantique qui en fonction de leur dogme de l'observateur et réalité dépendante du constat scientifique croient détenir des vérités de loin supérieures au " dit réalisme naïf". C'est Einstein qui serait content de voir se déchirer lui même le positivisme comme grille de lecture du fait quantique. La physique quantique, le fait de nature, n'en sera que mieux appréhendée. 
Un microbiologiste peut avoir un effet sur une bactérie avec son interaction antibiotique mais de là à croire que la cause bactérienne a besoin du microbiologiste pour sa cause naturelle dans ses propriétés physiques tient de l'idéalisme scientifique. Les propriétés pathogènes d'un microbe n'attendent pas l'observation/interaction du microbiologiste pour agir selon son bagage génétique. L'idéalisme scientifique est ici plus que flagrant. Un positivisme extrémiste.
Pas étonnant qu'en formalisme quantique le principe de causalité éprouve de la difficulté à s'y insérer. Causalité et effet s'entremêlent. Comme le " monde sensible est incertain et incogniscible" c'est la forme intelligible ou formalisme scientifique qui tient lieu de certitude et vérités fondées. Une attitude mystico scientifique héritée du monde précédent. Le monde moderne est issu du monde antique. Tradition et innovation.
Aussi bien croire que le fait cosmique est conséquemment devenu en expansion suite à l'observation/interaction de Georges Le Maître. Ça tiendrait plus de la métaphysique que de la physique objective ( le fait de nature) et subjective ( la science qui adapte son constat à la réalité universelle).
Pas très difficile d'admettre après toute cette démonstration logique que le formalisme quantique nage en plein dans le dualisme métaphysique ( observateur, conscience, perception, mesure) et physique ( propriétés de la matière et nature). La connaissance peut avoir un effet sur la cause mais la cause peut bien se passer de l'effet dans ses propriétés. Même qu'un virus doit détester les vaccins et les bactéries haïr les antibiotiques pour attaque à leur intégrité physique.

Comme le dit JM il serait temps qu'il se passe quelque chose au point de vue épistémologique au sein de la communauté scientifique. Une observation/interaction avec l'univers ambiant conditionne plus l'état de nos connaissances et croyances que l'univers lui même. Un peu d'humilité cosmique ...

