J'm'interroge a écrit : 08 avr.21, 08:44
- (2) : À un autre niveau de réalité, supérieur à celui des esprits ? C'est-à-dire ?
Dans mon modèle il n'y a pas de niveau de réalité supérieur.
BenFis a écrit : 09 avr.21, 04:55
(2) J’estime qu’une source qui génère un système à partir d’elle-même se situe à un autre niveau que ce dernier.
Euh...
Un embryon à partir duquel se forment des organes en interactions composant un corps prêt à naître se situe-t-il à un autre niveau que ce dernier ?
- Je ne pense pas qu'on puisse le soutenir.
Un ordinateur est-il à un autre niveau que ses circuits imprimés, son disque dur ?
- Je ne pense pas qu'on puisse le soutenir.
BenFis a écrit : 09 avr.21, 04:55
Il y a différents niveaux dans une même réalité ; et donc celui qu'occupe la source est soit central, soit supérieur.
Même si un tout est très souvent plus que la sommes de ses parties, et s'il peut avoir des propriétés que n'ont pas ses parties prises isolément, il ne se situe pas pour autant à un niveau qui leur serait supérieur. Un tout est toujours au niveau de toutes ses parties.
La Source n'est pas une partie de la Source. La source c'est l'ensemble des réseaux cognitifs d'origine non biologique, situés dans une autre couche de la réalité en soi que nos corporéités physiques, elles-mêmes à un même niveau que l'écosystème dans lequel elles s'intègrent.
Un corps est-il supérieur à l'un des organes vitaux qui le composent ?
De même, y a-t-il dans un cerveau humain par exemple, une aire supérieure à une autre ?
- Encore une fois, je ne pense pas qu'on puisse le soutenir.
Certaines données des esprits sont traitées à d'autres niveaux, mais ce sont alors par des pôles traitants qui ne traitent que des données sélectionnées et réparties vers d'autres pôles communiquant entre eux. Chacun de ces pôles traitants est fonctionnel et s'est structuré en fonction des autres, relativement aux autres, comme les organes d'un organisme au cours de son évolution, ou embryogénèse, par adaptations et exaptations.
Renseigne toi sur les systèmes de traitements de l'information non centralisés.
On nomme le cerveau : système nerveux central, on parle de cortex supérieur, mais ce sont selon moi de mauvaises désignations.
J'm'interroge a écrit : 08 avr.21, 08:44
Alors selon toi l'esprit en question c'est le cerveau biologique ?
Je te demande ça parce que l'esprit n'est pas la conscience, l'esprit c'est le "hard", c'est de l'ordre de la structure fondamentale (en soi), inaccessible à l'expérience (sauf pour ce qui est de ce que nous appelons et conceptualisons comme "matière"), qui opère ce que l'on nomme par ailleurs : les cognitions.
------------> L'esprit ne peut donc absolument pas être réduit à une simple mémoire ("soft"), même si toute mémoire a un support structurel fondamental (en soi)*.
*Rappel : en soi une mémoire est toujours une structure.
Dans ma terminologie l'esprit n'est pas une chose dont ont fait l'expérience, l'on en déduit seulement l'existence par les opérations que l'on constate en conscience : les pensées et autres formes mentales dont les perceptions sensorielles etc..
BenFis a écrit : 09 avr.21, 04:55Non, je n’ai pas dit que l’esprit était le cerveau biologique, mais qu’il prenait forme par l'interaction du cerveau biologique d’avec la couche spirituelle.
Oui, tu dis "esprit", mais tu parles d'autre chose que moi. Quand je te lis j'ai l'impression que l'esprit est chez toi une sorte de troisième terme, comme dans mon système la conscience en est un. Il semble que tu nommes "esprit" ce que moi je nomme "conscience" et que tu ne vois pas l'esprit comme une structure fondamentale capable d'intégrer de l'information, mais comme une mémoire.
Mais, tu as raison de ne pas désigner par le terme "esprit" un cerveau. À bien y réfléchir, je dois renoncer à l'expression d' "esprits cérébraux" pour désigner les structures cérébrales capables de cognition.
J'en resterais donc à nommer "esprit" toute structure fondamentale intégrative : 1) capable d'autonomie décisionnelle ou délibérative et 2) capable de produire une conscience, c'est-à-dire un vécu mental (perceptions, sensations, affects et représentations).
BenFis a écrit : 09 avr.21, 04:55
Lorsque la matière inerte devient vivante, elle accède à une sorte de 4ème dimension spirituelle, que l’on peut qualifier globalement d’esprit. Et en fonctionnement, la conscience prend forme grâce à cette part d’esprit auquel la matière s’associe.
C’est donc tout cet ensemble que je qualifie d’être (âme). Cependant lorsque le corps s’arrête de fonctionner, le cerveau se décompose, la conscience s’éteint, et l'âme demeure dans cette seule part d’esprit qui possède une pérennité (conditionnelle).
Je ne pense pas qu'on puisse soutenir que la matière accède à une dimension spirituelle, matière et esprits étant dans deux couches distinctes de la réalité fondamentale, qui certes communiquent entre elles mais ne se mélangent pas.
La conscience est toujours spirituelle car du fait des esprits de la Source, même si en association corporelle n'est que "3D" si l'on peut dire.
J'm'interroge a écrit : 08 avr.21, 08:44Ok, voyons avec ton analogie.
D'après celle-ci :
- Le disque que tu dis être l'esprit, moi je le vois comme un support mémoriel ici physique (extérieur au jukebox). Est-il une mémoire cérébrale selon toi ?
- Mais il peut selon toi être lu à l'intérieur du jukebox. Comment passe-t-il de l'extérieur à l'intérieur ?
BenFis a écrit : 09 avr.21, 04:55
Dans mon image les disques sont physiques et à l’intérieur du jukebox, mais ça reste une analogie puisqu’ils appartiennent à une dimension spirituelle. Les disques se trouvent à dans une autre couche de la réalité que les platines.
En fait, c'est l’ensemble des disques qui peuvent être considérés comme la couche spirituelle ; et un disque n’est qu’une part de l’esprit global qui fonctionne en symbiose avec sa platine. La mémoire demeure pérenne sur le disque et volatile dans la platine.
Un disque est un support mémoriel passif. Tu présentes tes disques comme les "esprits" mais j'entends "supports structurels fondamentaux de
conscience", lesquels sont selon moi, comme déjà dit : dans une troisième couche de réalité, passive, à la différence des structures de la couche où se situent la Source et les esprits qui sont des structures actives, intégratives.
J'm'interroge a écrit : 08 avr.21, 08:44
Remarque :
Selon moi, si c'est un support mémoriel, ce ne peut pas être un esprit, un esprit est par définition capable par sa structure (en soi) de traiter de l'information et de produire une conscience par engramme dans une mémoire instantanée (structures mémorielles en soi donnant lieu à une conscience sommes de vécus instantanés). Une mémoire n'est en effet jamais active, une mémoire est toujours passive et sert à et est engrammée à la base par le biais d'une structure intégrative.
- Tu dis que sans platine, il n’y a ni lecture, ni enregistrement du disque et aucune musique ne peut être produite. C'est ce qui me fait voir en la platine elle-même, contrairement à toi, une meilleure analogie de l'esprit que le disque qui serait plutôt l'analogue d'un support mémoriel cérébral biologique physique.
BenFis a écrit : 09 avr.21, 04:55Oui, intéressant ce que tu dis là. Je peux reconsidérer ce que je viens de dire en conceptualisant différemment.
La mémoire pourrait n’être que corporelle, et ce serait donc l’état de la conscience qui serait enregistrée sur le disque. Il reste que l’esprit (le disque) serait alors la mémoire de la conscience.
La conscience est selon moi une mémoire instantanée, passive. Une mémoire est toujours une structure. Mais, son support n'est pas l'esprit qui est une structure intégrative, active, qui utilise cette mémoire.
Chez moi les platines seraient donc plutôt les "esprits". Quant aux disques, ce seraient plutôt les "supports mémoriels des consciences" (vécus).
C'est comme ça que je comprends ton analogie en la transposant dans mon système.
J'm'interroge a écrit : 08 avr.21, 08:44
- La partie de l'analogie présentant la conscience comme musique est selon moi assez pertinente.
- Tu conclus en disant qu'une conscience ne peut fonctionner qu’avec l’esprit via un corps (physique ou virtuel).
Remarque 1 :
Pour moi, selon ce que je comprends et formule, je considère plutôt l'esprit non comme l'annexe fonctionnelle (intégrative) cérébrale elle-même, mais comme tu le sais : je le vois comme une structure terminale de la Source (intégrative aussi) qui lui est associée, non située dans la même couche de la réalité en soi que l'encéphale biologique physique, structure responsable de la conscience, bien qu'un cerveau soit aussi en lui-même ce qu'on pourrait appeler un "esprit", mais ce n'est pas de cette esprit là dont je parle.
Remarque 2 :
Bien que tu parles également d'un corps virtuel, il me semble que tu ne le vois pas vraiment comme tel, contrairement à moi. Il me semble que tu n'a pas tilté sur le sens du mot "virtuel", employé par moi pour désigner une pure d'apparence.
Il faut bien sûr une structure intégrative fondamentale qui prenne le relais du cerveau à la mort physique, mais tu la vois encore comme une sorte de corporéité comme la matérielle que nous connaissons, bien que "spirituelle", fait sans doute, je l'imagine d'une autre substance peut-être ? Alors que selon moi c'est l'esprit lui-même, terminaison de la Source, déjà pleinement structuré (ce n'est pas qu'une simple mémoire passive), qui prend le relais du cerveau avec la participation de la Source pour reproduire une réalité virtuelle dans laquelle un corps virtuel peut être utile pour des raisons similaires à celle du jeu en ligne de mon analogie. Ce petit bonhomme, tous les joueurs le voient, il entre en interaction avec leurs propres personnages, mais il n'existe pas en dehors du cadre fictif du jeu.
Le petit bonhomme que l'on fait se déplacer sur l'écran n'a en effet rien dans son crâne.
BenFis a écrit : 09 avr.21, 04:55
Je précise que je ne considère pas que le cerveau puisse être en lui-même ce qu'on pourrait appeler un esprit dans le sens donné par nos analogies.
Oui, car même s'il a une certaine autonomie décisionnelle ou délibérative, il ne produit pas à lui seul la conscience.
Rappel :
J'en resterais à nommer "esprit" toute structure fondamentale intégrative : 1) capable d'autonomie décisionnelle ou délibérative et 2) capable de produire une conscience, c'est-à-dire un vécu mental (perceptions, sensations, affects et représentations).
BenFis a écrit : 09 avr.21, 04:55
Quelque chose de virtuel est en quelque sorte une simulation. Si la source parvient à associer une simulation corporelle avec l’esprit, la conscience pourrait être réactivée au niveau où elle se situait avant sa dissociation d’avec le corps physique.
Oui, mais selon moi à proprement parler : la conscience n'est jamais directement associée à un corps. En effet, ce n'est pas elle en tant que telle qui est associée ou dissociée d'un corps, c'est l'esprit qui la produit qui l'est ou non. C'est l'esprit qui la produit, que cela soit à partir de données prétraitées en provenance d'un corps ou à partir de données de la Source quand l'esprit n'est pas associé à une corporéité physique.
BenFis a écrit : 09 avr.21, 04:55Oui, je considère l’esprit comme un support mémoriel capable de restituer une conscience intacte. Soit par association avec un corps virtuel, ou spirituel (une autre forme d’esprit ?), ou matériel. C’est une sorte de substance dans le sens de nature spirituelle et non pas celle d’une entité autonome.
Si tu parles d'un support mémoriel tu parles bien d'autre chose que moi quand je parle d'esprit.
Tu parles en réalité selon moi non de ce que je définis comme un "esprit" mais de ce que je définis comme un "support mémoriel de conscience".
BenFis a écrit : 09 avr.21, 04:55
En fait, est-ce l’esprit qui commande le cerveau ou l’inverse ?
C’est le cas de ton petit bonhomme.
J’ai tendance à penser que c’est une interactivité totale cerveau/esprit..
Le petit bonhomme est aussi bien produit par le cerveau en condition d'association corporelle, que par la Source quand l'esprit est dans son mode de fonctionnement dissocié (quand il y a petit bonhomme, car ce n'est pas toujours nécessaire). Même en association corporelle il y a un petit bonhomme, lequel est une représentation mentale de soi.
Oui le petit bonhomme influence aussi l'esprit, mais non par des pensées qu'il aurait, mais pas des contraintes qu'il représentent, comme en jeu par exemple, ce petit bonhomme ne peut pas faire ce que l'on veut. Il répond d'une certaine manière au commandes et non autrement (sauf si beugue ou si piratage du logiciel), ne peut par exemple pas sauter plus haut ou plus loin que ce qui est permis par le programme.
J'm'interroge a écrit : 08 avr.21, 08:44
Comment ça un support ? Je ne vois pas où tu situes ce support dans la réalité.
Comment expliques-tu une sauvegarde des esprits dans ton système ?
Dans ma façon de voir la chose : les esprits terminaisons de la Source s'adaptent, se modèlent, se calquent, se structurent sur les "esprits cérébraux" si je peux les appeler ainsi, avec qui ils sont en contact, lesquels sont annexes fonctionnelles et en quelque sorte tuteurs des esprits de la Source, bien que les esprits terminaisons de la Source influencent ses derniers aussi et les orientent.
En fait, l'adaptation se fait en parallèle, des 2 cotés et dans une influence mutuelle que je qualifie de symbiotique.
- Et la conscience est le fait des esprits terminaisons de la Source, non des structures cognitives des cerveaux, et cela même si les cerveaux fournissent effectivement le contenu des vécus conscients en association corporelle.
BenFis a écrit : 09 avr.21, 04:55Je parlais de l’esprit qui fonctionne en symbiose avec le corps. La sauvegarde des esprit est le modèle courant.
Pour prendre encore une analogie ; c’est comme lorsqu’on supprime un fichier informatique, celui-ci demeure dans la corbeille, qui peut éventuellement être épurée par l’ordinateur. Si tu ne sors pas les fichiers à temps de la corbeille, ils risquent de passer à la trappe.
Donc la source peut avoir décidé d'un automatisme capable de pérenniser certains fichiers qui répondent à des conditions spécifiques.
Je suis d'accord avec le fait que la Source pourrait décider d'un automatisme capable de pérenniser les esprits.
Mais attention : les esprits ne sont pas de simple fichiers ou données mémorielles contrairement aux contenus de consciences.
Les esprits ne sont pas l'équivalent de simples ficher informatiques ("soft"), ni même l'équivalent de logiciels. Ils seraient plutôt l'équivalent de circuits imprimés, appartenant au "hard" de l'ordinateur.
Une différence cependant avec un ordinateur : c'est que les structures fondamentales de la Source et des esprits sont évolutives*.
*
note : elles sont évolutives dis-je, mais en un sens difficile à expliquer, étant donné qu'en soi, fondamentalement, tout est statique, immuable. Si tu veux des explications j'ai un excellent exemple d'évolutivité statique, comme quoi ce n'est pas contradictoire.
J'm'interroge a écrit : 08 avr.21, 08:44
À la différence de nous, les animaux dont les pré-humains n'ont pas d'esprits de la Source qui leur sont associés. Il faut pour cela qu'apparaissent certaines structures relais bien spécifiques dans les cerveaux (ça c'est la Source qui fait ce qu'il faut pour que les bonnes mutations se produisent.
La Source gère les espèces animales et pré-humaines collectivement, les influence et reçoit d'elles une énorme masse de données, par d'autres canaux (apparus plus anciennement), par d'autres connexions que celles très spéciales utilisées pour les Esprits terminaux.
Remarque 1 : l'espèce humaine est aussi gérée collectivement de la même manière. C'est indépendant de sa particularité récemment acquise à l'échelle des temps géologiques, sa gestion collective continue.
Remarque 2 : si ce que je dis est vrai, cela ne signifie cependant pas que nos chères animaux de compagnie n'ont conscience de rien, qu'ils soient sans âme, sans le moindre vécu conscient. La réalité est plus complexe que ça.
PS : la conscience dont je parle n'à rien à voir avec ce que l'on nomme par ailleurs la "conscience réflexive".
BenFis a écrit : 09 avr.21, 04:55
J’ai toujours du mal à considérer l’option où la Source attribuerait un esprit à un corps physique et n’aurait commencé à le faire disons à partir d’un moment particulier ; par ex. celui où le cortex préfrontal aurait acquis un développement suffisant. Dans le cadre biblique les animaux sont aussi des âmes. Donc pour moi, qui dit âme dit dans un 1er temps, symbiose corps-esprit.
Je comprends ta remarque et ta réticence. Mais les animaux et même les végétaux, s'ils n'ont pas d'esprit (comme je le définis) qui leur sont associés, cela ne signifie pas qu'ils ne sont pas en lien, ni gérés par la Source collectivement comme je l'ai précisé.
Il faut voir tout ce que cela implique.
Tu poses la question de l'origine des esprits.
BenFis a écrit : 09 avr.21, 04:55
Selon moi, la conscience réflexive n’est qu’une conscience capable d’une introspection obtenue par le raisonnement intelligent.
Oui. Ce n'est pas à proprement parler une conscience, c'est un raisonnement intelligent, tout-à-fait. C'est ce que je dis.
BenFis a écrit : 09 avr.21, 04:55
Les consciences sont de différents degrés entre l’homme et l’animal, mais restent fondamentalement de même nature.
La conscience animale est supposée par anthropomorphisme.
------> C'est une extrapolation.
Rien ne prouve en effet, qu'il existe une conscience animale, préhumaine ou végétale, même si d'évidence il existe une intelligence animale et même une intelligence végétale, et sans nulle doute même une intelligence minérale.
Intelligence n'est pas toujours conscience ou productrice de conscience.
BenFis a écrit : 09 avr.21, 04:55
- Supposition: si le support mémoriel des évènements n’est dévolu qu’au cerveau, alors il conviendrait sans doute de considérer l’esprit comme étant aussi le support mémoriel de la conscience, si ce n’est la conscience elle-même !?
C'est l'inverse..
Les esprits engramment les consciences, le support mémoriel de celles-ci est le support mémoriel permanent dont se servent les esprits.
(En association corporelles ils se servent aussi, mais indirectement par le fonctionnement naturels des cerveaux, des supports mémoriels matériels (provisoires) engrammés sous formes de chaines peptidiques et de structures neuronales mémoires *.)
* note : il se peut que de telles structures (structures intégratives mémoires) existent au sein même des esprits. Mais je ne développerai pas ce point pour le moment, car ça compliquerait inutilement la compréhension de ce que j'essaye d'expliquer ici.
BenFis a écrit : 09 avr.21, 04:55
D'un autre côté cela poserait des problèmes aux personnes qui font soi-disant des voyages astraux, car comment saurait-ils qui ils sont, s'ils ne disposent pas de leur mémoire évènementielle?
Je ne vois là aucun problème.
Pourrais-tu repréciser ta question ?
Il me semble que j'y ai déjà répondu.
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