Re: Ce qui se passera bientot (anlyses et non pas propheties
Posté : 18 oct.15, 02:41
vous cherchez une réponse a vos question ? a savoir comment pouvons nous sen sortir ? ect ... toutes ses réponses sont inscrit dans le livre de vie de l agneau un extrait pour vous le montrer ; Connaissant l’évolution des mondes du ciel, je sais que la fin viendra dès
après que la bonne nouvelle du royaume aura été prêchée dans le monde entier.
Mais avant de venir m’asseoir en face de vous, je me suis purifié l’esprit, comme le
fait aussi Jonas avec le ricin que Dieu fit pousser sur sa tête. Car, faire lever la
lumière sur le monde et sauver ceux qui sont sur le point de disparaître, ne peut se
faire qu’avec un esprit purifié. Ce que vous pouvez également entr’apercevoir dans
cette citation de l’Écriture :
Le peuple de la contrée voisine de la mer,
Du pays au-delà du Jourdain,
Et de la Galilée des Gentils,
Ce peuple, assis dans les ténèbres,
A vu une grande lumière ;
Et sur ceux qui étaient assis dans la région et l’ombre de la mort,
La lumière s’est levée.
La lumière est la reine du midi qui se lève pour condamner le monde, et dont Jésus
parle par ailleurs. Mais cette parole de l’Écriture ci-dessus me remplit d’espoir quant
à votre entendement, car elle indique que vous êtes aujourd’hui en mesure d’être
éclairés et sauvés.
(15) Connaissant la bonté de Dieu et sa miséricorde, Jonas craint que la grande
ville tarde à être détruite. Voyant cela Dieu lui répond :
Tu as pitié du ricin qui ne t’a coûté aucune peine et que tu n’as pas fait
croître, qui est né dans une nuit et qui a péri dans une nuit. Et moi, je
n’aurais pas pitié de Ninive, la grande ville, dans laquelle se trouvent
plus de cent vingt mille hommes qui ne savent pas distinguer leur droite
de leur gauche, et des animaux en grand nombre !
(16) En vérité, ce n’est pas de Ninive en soi dont il s’agit, mais de la grande ville.
Je vous le dis, dans peu de temps, vous saurez si Dieu a eu pitié ou non de ces
grandes agglomérations composées d’hommes qui ne distinguent plus rien ! Mais,
quoi qu’Il fasse, je vous conseille de quitter les grandes villes des plaines, car celles
407
Les derniers jours
qui ne seront point détruites seront forcément abandonnées. Qu’avez-vous alors à
gagner d’y demeurer plus longtemps ?
(17) Que voit-on dans les villes si ce n’est, comme on l’a dit, des gens pressés qui
vont et viennent pour s’entasser les uns sur les autres, et des mouvements de
machines de fer qui occupent toute la place, qui tuent, perturbent, polluent,
enfument, irritent, assourdissent, déchirent et corrompent les habitants ? Il n’y a
point d’étoiles visibles, ni de saisons, mais seulement du bitume, du ciment, des
vapeurs nocives, des fumées, des immondices et des rats.
(18) Alors qu’à la campagne, les saisons marquent le paysage de leur empreinte
et dictent les travaux ; le printemps réveille ce qui s’était endormi durant l’hiver, les
couleurs et les odeurs changent. Les animaux s’ébattent ; les arbres découvrent peu
à peu leurs fleurs et leurs fruits ; l’air est transparent, les astres s’enorgueillissent
dans le ciel. On procède aux labours, aux semailles, aux moissons, aux fenaisons,
aux cueillettes et aux vendanges qui sont autant de satisfactions et d’occasions de
joie. L’ennui et la désolation ne sont point des mots que l’on prononce.
ce n'est qu'une infime partie pour ma part je vous conseille de le lire en entier sans porter jugement a ce lui qui la ecrit mais bien comprendre ce qui contien car c'est en certaine partie Dieu qui a écrit ce livre vous me croyez pas ? lisez le après quoi vous comprendrez ce que je dit
après que la bonne nouvelle du royaume aura été prêchée dans le monde entier.
Mais avant de venir m’asseoir en face de vous, je me suis purifié l’esprit, comme le
fait aussi Jonas avec le ricin que Dieu fit pousser sur sa tête. Car, faire lever la
lumière sur le monde et sauver ceux qui sont sur le point de disparaître, ne peut se
faire qu’avec un esprit purifié. Ce que vous pouvez également entr’apercevoir dans
cette citation de l’Écriture :
Le peuple de la contrée voisine de la mer,
Du pays au-delà du Jourdain,
Et de la Galilée des Gentils,
Ce peuple, assis dans les ténèbres,
A vu une grande lumière ;
Et sur ceux qui étaient assis dans la région et l’ombre de la mort,
La lumière s’est levée.
La lumière est la reine du midi qui se lève pour condamner le monde, et dont Jésus
parle par ailleurs. Mais cette parole de l’Écriture ci-dessus me remplit d’espoir quant
à votre entendement, car elle indique que vous êtes aujourd’hui en mesure d’être
éclairés et sauvés.
(15) Connaissant la bonté de Dieu et sa miséricorde, Jonas craint que la grande
ville tarde à être détruite. Voyant cela Dieu lui répond :
Tu as pitié du ricin qui ne t’a coûté aucune peine et que tu n’as pas fait
croître, qui est né dans une nuit et qui a péri dans une nuit. Et moi, je
n’aurais pas pitié de Ninive, la grande ville, dans laquelle se trouvent
plus de cent vingt mille hommes qui ne savent pas distinguer leur droite
de leur gauche, et des animaux en grand nombre !
(16) En vérité, ce n’est pas de Ninive en soi dont il s’agit, mais de la grande ville.
Je vous le dis, dans peu de temps, vous saurez si Dieu a eu pitié ou non de ces
grandes agglomérations composées d’hommes qui ne distinguent plus rien ! Mais,
quoi qu’Il fasse, je vous conseille de quitter les grandes villes des plaines, car celles
407
Les derniers jours
qui ne seront point détruites seront forcément abandonnées. Qu’avez-vous alors à
gagner d’y demeurer plus longtemps ?
(17) Que voit-on dans les villes si ce n’est, comme on l’a dit, des gens pressés qui
vont et viennent pour s’entasser les uns sur les autres, et des mouvements de
machines de fer qui occupent toute la place, qui tuent, perturbent, polluent,
enfument, irritent, assourdissent, déchirent et corrompent les habitants ? Il n’y a
point d’étoiles visibles, ni de saisons, mais seulement du bitume, du ciment, des
vapeurs nocives, des fumées, des immondices et des rats.
(18) Alors qu’à la campagne, les saisons marquent le paysage de leur empreinte
et dictent les travaux ; le printemps réveille ce qui s’était endormi durant l’hiver, les
couleurs et les odeurs changent. Les animaux s’ébattent ; les arbres découvrent peu
à peu leurs fleurs et leurs fruits ; l’air est transparent, les astres s’enorgueillissent
dans le ciel. On procède aux labours, aux semailles, aux moissons, aux fenaisons,
aux cueillettes et aux vendanges qui sont autant de satisfactions et d’occasions de
joie. L’ennui et la désolation ne sont point des mots que l’on prononce.
ce n'est qu'une infime partie pour ma part je vous conseille de le lire en entier sans porter jugement a ce lui qui la ecrit mais bien comprendre ce qui contien car c'est en certaine partie Dieu qui a écrit ce livre vous me croyez pas ? lisez le après quoi vous comprendrez ce que je dit