[quote="MonstreLePuissant"
RT2 a écrit :pourquoi Abel a offert des sacrifices d'animaux qui lui ont été agrée alors que Dieu n'avait rien ordonné à ce sujet; et j'ajoute,
Parce que tu crois que tout ce qu'a pu dire Dieu aux humains est consigné dans la Bible ?
[quote="RT2"Dieu n'avais jamais eu à l'esprit que sa création animale devait devenir un sacrifice.[/quote]
Donc, ce n'est Dieu qui demande à Abraham de sacrifier son fils, et finalement un mouton. Il ne l'a tellement pas eu à l'esprit qu'il le demande expressément.
Tu es drôle !
RT2 a écrit :De plus tu parles de sacrifices humains au pluriel alors que c'est faux du point de vue des écritures et que l'écriture te permet d'établir qu'il fallait un sacrifice humain et pas n'importe lequel... [/quote
C'est toujours un sacrifice humain organisé par Dieu en personne. Il en avait bien demandé un à Abraham, même si il n'est pas aller au bout.
Exiger un sacrifice humain en échange du pardon, se faire payer en sang animal et humain pour accorder son pardon, ne trouves tu pas cela ignoble ? Réclames tu du sang en échange de ton pardon toi ?
Les écritures ont été beaucoup manipulé par les prêtres juifs. Matière à réflexion:
..L'habitude de considérer le récit des expériences des Hébreux comme l'histoire sainte, et les opérations du reste du monde comme l'histoire profane est responsable d'une grande partie de la confusion qui existe dans le mental humain au sujet de l'interprétation de l'histoire.
Cette difficulté s'élève parce qu'il n'existe pas d'histoire laïque des Juifs.
Durant l'exil à Babylone, les prêtres commencèrent par préparer leur nouveau récit des rapports, supposés miraculeux, de Dieu avec les Hébreux l'histoire sainte d'Israël telle qu'elle est relatée dans l'Ancien Testament. Ensuite, ils détruisirent soigneusement et complètement les archives existantes des affaires hébraïques les livres tels que " Les Actes des Rois d'Israël " et " Les Actes des Rois de Juda ", ainsi que divers documents plus ou moins exacts de l'histoire des Hébreux.
Mais cinq-cents ans de suzeraineté par des chefs étrangers dépassaient la mesure, même pour les Juifs patients et endurants. Les prophètes et les prêtres commencèrent à crier : " Jusques à quand, Seigneur, jusques à quand ? " Quand un Juif honnête sondait les Écritures, la confusion de ses pensées s'aggravait encore.
Un ancien voyant avait promis que Dieu protègerait et délivrerait son " Peuple élu ". Amos avait formulé la menace que Dieu abandonnerait Israël si ce peuple ne rétablissait pas ses critères de droiture nationale.
Le scribe du Deutéronome avait décrit le Grand Choix entre le bien et le mal, entre la bénédiction et la malédiction. Le premier Isaïe avait prêché un bienfaisant roi-libérateur. Jérémie avait proclamé une ère de droiture intérieure l'alliance écrite sur les tablettes du coeur.
Le second Isaïe avait parlé du salut par le sacrifice et la rédemption. Ézéchiel avait proclamé la délivrance par le service dévoué, et Ezra avait promis la prospérité par adhésion à la loi. Mais, malgré tout cela, les Juifs se trainaient dans la servitude, et leur délivrance était différée. Daniel présenta alors le drame de la " crise " imminente le bris de la grande statue et l'établissement immédiat du règne perpétuel de la droiture, le royaume messianique.