Re: Le baiser du Coran par le pape Jean-Paul II.
Posté : 07 nov.16, 09:42
Tu as raison, il y a une chose qui donne froid dans le dos, c'est ne pas comprendre cet autre qui agit comme un monstre.
Quelquefois je me dis que nous humains, tout compte fait, nous ne sommes pas égaux.
Comment expliquer l'effroi que l'on ressent à regarder ne serait ce qu'une prise de sang sur quelqu'un, moi en l'occurrence, c'est mon pire cauchemar que de voir ça à la télé, je détourne le regard, je suis horrifiée à la vue de ce sang qui coule à travers cette seringue et puis les autres qui, d'un coup d'un seul, inonde le visage de son enfant de ce poison qui va lui donner pour toute une vie un goût d'enfer dans la bouche.
Comment pouvons nous comprendre ce qu'il se passe dans ces têtes. Je ne met pas le dos sur quoi que ce soit, non, il faut être comme ça, c'est une nature. Ces gens là ont été éduqués comme ça ? Peut etre c'est l'éducation, oui religieuse aussi, mais à qui la faute, à leurs ancêtres, la faute à ceux qui ont été les premiers à la donner.
Aujourd'hui, j'ai regardé une émission à la 2, des gens qui s'opposent à toutes formes d'exclusion. Il y avait un homme à la peau noire venant d'un pays d'Afrique, je ne sais plus lequel, et il m'a stupéfaite. Il a décidé de mener un combat contre l'exclusion des personnes agées, de celles que "l'on met" dans ces maisons mouroirs car il ne le supporte pas. Il a créé une association et a sollicité des familles pour les héberger, avec un coût oui, moins que la maison de retraite, mais tellement plus agréable que d'etre au sein d'une famille, elle est la grand mère, il est le grand père, merveilleux.
Cette idée il l'a eue car ayant vécu tout le temps dans ce pays d'Afrique, il a dit, moi, mon grand père a eu 98 femmes et plein d'enfants. Je vivais dans une famille si grande, et nous étions tous frères. On peut le dire tous frères car en plus des vrais frères de sang. Les mères allaitaient à tour de rôle et les anciens, moi je les enviais car nous, nous avions droit de manger debout ou à terre mais eux avaient des privilèges, des morceaux de choix et la meilleure place à table. Alors mon plus grand désir a été celui de devenir vieux afin d'avoir les mêmes privilèges. Ma grande tribu était une très grande famille et les anciens étaient les plus considérés.
J'ai compris 2 choses, la polygamie a du bon dans certaines contrées, la famille prend des airs de tribu et la tribu des airs de famille et tout le monde est tellement lié.
Une deuxième chose, cet homme m'a donné ce sentiment de culpabilité que nous occidentaux sommes à donner nos vieux à des centres.
Ils n'auraient jamais dû exister ces centres, au moins, les familles auraient trouvé une autre solution que de les abandonner.
Alors cet homme là, musulman, m'a donné une leçon.
Je me dis que ce n'est pas ce que nous lisons qui fait notre éducation, c'est ce que nous apprennent nos parents qui eux l'ont appris, et depuis des millénaires, cette tradition se poursuit.
Si des hommes violentent leurs enfants, eux surement ont subi des violences et des chiens ne font pas des chats...
La faute à ceux qui ont dit la première fois des consignes si ignobles, non pas en ayant lu, non plus en ayant compris, en l'ayant fait volontairement pour donner à ce peuple un gout rigoriste de totalitarisme afin de mieux les diriger et les utiliser comme bon leur semble.
Quelquefois je me dis que nous humains, tout compte fait, nous ne sommes pas égaux.
Comment expliquer l'effroi que l'on ressent à regarder ne serait ce qu'une prise de sang sur quelqu'un, moi en l'occurrence, c'est mon pire cauchemar que de voir ça à la télé, je détourne le regard, je suis horrifiée à la vue de ce sang qui coule à travers cette seringue et puis les autres qui, d'un coup d'un seul, inonde le visage de son enfant de ce poison qui va lui donner pour toute une vie un goût d'enfer dans la bouche.
Comment pouvons nous comprendre ce qu'il se passe dans ces têtes. Je ne met pas le dos sur quoi que ce soit, non, il faut être comme ça, c'est une nature. Ces gens là ont été éduqués comme ça ? Peut etre c'est l'éducation, oui religieuse aussi, mais à qui la faute, à leurs ancêtres, la faute à ceux qui ont été les premiers à la donner.
Aujourd'hui, j'ai regardé une émission à la 2, des gens qui s'opposent à toutes formes d'exclusion. Il y avait un homme à la peau noire venant d'un pays d'Afrique, je ne sais plus lequel, et il m'a stupéfaite. Il a décidé de mener un combat contre l'exclusion des personnes agées, de celles que "l'on met" dans ces maisons mouroirs car il ne le supporte pas. Il a créé une association et a sollicité des familles pour les héberger, avec un coût oui, moins que la maison de retraite, mais tellement plus agréable que d'etre au sein d'une famille, elle est la grand mère, il est le grand père, merveilleux.
Cette idée il l'a eue car ayant vécu tout le temps dans ce pays d'Afrique, il a dit, moi, mon grand père a eu 98 femmes et plein d'enfants. Je vivais dans une famille si grande, et nous étions tous frères. On peut le dire tous frères car en plus des vrais frères de sang. Les mères allaitaient à tour de rôle et les anciens, moi je les enviais car nous, nous avions droit de manger debout ou à terre mais eux avaient des privilèges, des morceaux de choix et la meilleure place à table. Alors mon plus grand désir a été celui de devenir vieux afin d'avoir les mêmes privilèges. Ma grande tribu était une très grande famille et les anciens étaient les plus considérés.
J'ai compris 2 choses, la polygamie a du bon dans certaines contrées, la famille prend des airs de tribu et la tribu des airs de famille et tout le monde est tellement lié.
Une deuxième chose, cet homme m'a donné ce sentiment de culpabilité que nous occidentaux sommes à donner nos vieux à des centres.
Ils n'auraient jamais dû exister ces centres, au moins, les familles auraient trouvé une autre solution que de les abandonner.
Alors cet homme là, musulman, m'a donné une leçon.
Je me dis que ce n'est pas ce que nous lisons qui fait notre éducation, c'est ce que nous apprennent nos parents qui eux l'ont appris, et depuis des millénaires, cette tradition se poursuit.
Si des hommes violentent leurs enfants, eux surement ont subi des violences et des chiens ne font pas des chats...
La faute à ceux qui ont dit la première fois des consignes si ignobles, non pas en ayant lu, non plus en ayant compris, en l'ayant fait volontairement pour donner à ce peuple un gout rigoriste de totalitarisme afin de mieux les diriger et les utiliser comme bon leur semble.