ne savez pas que ce Sin est EL=yahweh

la fléche Jaune=
Croix
la fléche Rouge=
Soleil
la fléche Vert
=La lune
Deuxième âge de fer C,
le dieu Lune revêt les caractères locaux. Figure anthropomorphe vêtue à l’assyrienne, on le voit sur son trône, entre les deux cyprès. Les diverses représentations, qui symbolisent ses divers attributs, montrent que le trône peut être imaginé au creux d’une barque, figurant le ciel tout autant que le croissant de lune.
Sîn, le dieu lunaire souverain de Mésopotamie, s’identifie, sous sa forme anthropomorphe
, au dieu El, toujours vénéré en Canaan. Or, depuis le Premier âge de fer, ce dernier
se confond
avec Yhwh dans les anciens royaumes d’Israël et de Juda, avec d’autres divinités locales, ailleurs. Tandis qu’au Deuxième âge de fer B, la symbolique solaire de Baal dévoile le Seigneur du ciel, au Deuxième âge de fer C,
les caractères de El reparaissent. Au concept de Seigneur de toute la terre semble appartenir le qualificatif
Elyôn (Très-Haut) appliqué à El (Dt. XXXII, 8). L’on a retrouvé, à Jérusalem, un fragment de vase votif portant l’expression «
El, créateur de la terre », à côté de
s noms de trois adorateurs de Yhwh. Cela confirme qu’au Deuxième âge de fer C, tout au moins en Judée
, El et Yhwh sont à ce point associés que Yhwh peut être adoré en tant que El créateur. Une autre inscription datée de l’an 700 av JC suppose cette confusion : «
Interviens, Yh[wh], El miséricordieux, acquitte, Yh[wh], Yhwh. ». C’est ainsi que l’on trouve au VIIe s. av JC, dans l’ancien royaume de Juda
, le dieu Lune représenté sous la forme humaine du dieu El et, dans le même temps, le dieu Yhwh confondu avec le dieu El. Un cylindre-sceau trouvé à Beth-Shân présente une scène particulièrement intéressante. Le dieu portant la barbe apparaît en vêtement long, assis sur le trône. Le cyprès stylisé est derrière lui, avec un homme armé saluant. Devant le dieu se tient un serviteur qui agite l’éventail, de sorte que le dieu est assimilé à un roi. La symbolique qui se dessine devant le personnage autorise
l’identification au dieu El. A sa droite, le palmier stylisé est flanqué d’un caprin et d’un griffon ailé. Il s’agit de symboles associés à l’Ashèrah : entouré des caprins, l’arbre évoque le caractère bienfaisant de la déesse ; gardé par les chérubins ou les griffons, il est objet de culte. La relation du dieu avec le palmier stylisé qui médiatise sa bénédiction évoque particulièrement la représentation
du dieu El et
de son Ashérah. Nous voyons qu’en pays de Canaan, au Deuxième âge de fer C,
le dieu lunaire Sîn, maître de la Mésopotamie, et le dieu El, régnant à l’ouest du Jourdain,
sont identifiées l’un à l’autre comme une double manifestation d’un seul dieu Très-Haut. L’arbre stylisé, le palmier est désormais associé
au dieu Sîn comme au dieu El. L’époque se caractérise, non seulement par le caractère astral et nocturne de l’esprit religieux, mais encore par le fait que le dieu souverain est représenté tant de façon astrale, qu’emblématique ou anthropomorphe.
http://www.chemins-cathares.eu/050400_d ... canaan.php
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les trois divinités astrales : Nanna (=
Sin, Yerah),
dieu de la lune, Utu (=
Shamash), dieu du soleil et Inanna (=Ishtar), déesse de Vénus.
http://home.nordnet.fr/caparisot/html/s ... igion.html
shamass ?? c est un croisé
la question est

Liturgie de
la nouvelle lune. La prière d'action de grâces est récité à la réapparition périodique de le croissant de la lune.
En hébreu, la prière est connu sous plusieurs noms:
Birkat ha-Levanah ("la bénédiction de la lune") ou
Kiddouch Levanah («sanctification de la lune"). Il peut être récité avant le troisième soir après l'apparition de la nouvelle lune jusqu'à ce que le 15e jour du mois lunaire, après ce jour-là, la lune commence à diminuer. La prière est récitée que si la lune est visible (pas quand il est caché par les nuages) et il doit de préférence être déclaré à l'air libre. Selon le Talmud (Sanh. 42a): «Celui qui prononce la bénédiction sur la nouvelle lune en son temps dû se félicite, pour ainsi dire, la présence de la
Shekhinah" ("Présence Divine") et par conséquent, il est recommandé (Sof. 20 : 1) de prononcer la bénédiction, si possible, sur le soir, après le départ du sabbat quand on est toujours dans une ambiance festive et vêtus de beaux vêtements de un.
La bénédiction de la nouvelle lune et le caractère festif de Roch Hodech (nouveau mois) originaires du temps du Second Temple. En raison de l'importance de la lune dans
le calendrier juif (. Voir Ex 12:2), il peut être d'origine beaucoup plus ancienne; dans le cours du temps, il a toutefois subi des changements substantiels. Le rite prend la lune comme un symbole de la renaissance dans la nature ainsi que de la rénovation et de la rédemption d'Israël. Divers autres éléments, certains d'entre eux de nature kabbalistique, se sont attachés au rite.
http://www.virtualjudaica.com/Item/2818 ... ha-Levanah
le mot hébreu pour “ lune ” yerah ou yaréahet
Yerah - La Lune Dieu de Canaan