La PASSION DU CHRIST, le film, et la bible!
Posté : 25 févr.04, 04:57

Oui, même moi qui voulait tant aller voir le film au cinéma. Moi qui avait tant hâte de sa sortie cinémotographie au Star Cité local. Je pense que j'aurais payé n'importe quel prix d'entrée pour vour ça. Je m'étais même arranger avec le cousin de mon mari, et sa charmante épouse, pour que nous faisons parties de leur groupe. Nous étions censés d'y aller ensemble peut-être environ une vingtaine d'aimi chrétien. Mais là, mon coeur change de bord après avoir vu, à la télé ce matin, un autre cliché de ce film. Celui dans lequel, Judas donne le baissé de trahison à Jésus. C'est toute en relentie, et le son est extra-ordinaire, et dans cette partie du fils, les apôtre ne sont pas éffiminisés. Mais, ce qui n'est pas étonnant dutout, c'est la réaction de Pierre, le réactionnaire. Lui, il a la violence au coeur! Et les Maries, elles sont typiquement une continuité des représentations du genre religieuses-juive retrouvées dans c'autre films chrétiens antérieurs.
La Passion du Christ, par Mel Gibson, un invertissement personnel de sa propre poche, lui a coût seulement qu'un peitit $25million U.S. Mais, selon Mel, ça en vallait la peine pour ne montrer que Jésus, notre Christ, est venue, qu'Il a été prit, qu'Il a souffert, qu'Il est mort, et qu'Il en est sortie "gagnant"! Pas pire pour un simple carpentier qui se vêtait du linge de sa classe sociale de temps.
Il y a aussi des critiques. Tels les 'juifs' qui se plaigneraient d'être démontrer comme étant des bêtes c r u e l s. Ça ils n'aiment pas ça! Je suis d'accard avec les crétiques, (en particulier cette femme Canadienne qui réflichie et analyse logiquement bien). Dans ce fils particulier de la Passion du Christ, il y a le juif Ponce Pilate qui est plutôt bleuté; un mou. Cantrairement à ses actions socio-polique envers les juifs. Il part souvent en guerre favorisant les romains. Mais dans ce fils, il se ramolli en laissant les juifs débattre le chois entre Jésus et son cousin Barabasse.
Aussi, le film rend aucunement préjudice comme tel envers les juifs, puisque Jésus est Lui-même l'un des leur, un juif. Les aportes sont des juifs. Même le traitre, Judas Escarias est un juif. En fait, nous voulons être parfaitement honnête vis-à-vis les actions des rôles jouer dans ce film, ce sont les soldats Romains qui sont sans-coeur, froid, et sadiquement cruel. Puisque c'est eux qui l'affligent tout au cours du film.
Ceci me ramènerait à la mémoire vive, l'action du Pape actuel, Jean-Paul II qui demanda pardon aux Juifs et demanda réconciliation avec eux pour les rebutades et les cruautés dont l'Église qu'il représente a faite subir au Juif au cours de l'histoire humaine depuis le 3ième siècle. Mais surtout, lors de la 2ième guerre mondiale, lorsqu'elle faillie de les protèger et de les secourir au nom de la réprimance et de la vengeance du Christ.
Il y a aussi dans ce film, préjudice rendue aux femmes et aux hommes à part égales. En ce qui a trait aux femmes, bien elles doivent jouer le rôles d'époque, celui de soumission aux hommes. Et les hommes eux, bien ils sont eux-aussi, comme on dit en anglais, (typed casted) embarré à cléf dans l'époque en question.
Le film qui représenterait les derniers 12 heures de la vie sur terre de Jésus (avant sa résurrection), se concentrerait plutôt sur la persécussion qu'Il a subit, et ce dans la vaine espoire de présenter un tableau, ralentie dans le temps, de la souffrance et du don de soi, de l'abondon de son égo. Ce qui est de valeur, puisqu'il outre-passerait une chance inouie de démontrer l'amour infinie du Christ. Parcontre contrairement aux nombreux critiques qui se penchent sur cette évidence, je dirais que c'est à peut près temps que nous nous censurions plus, et démontrer la cruauté du malin envers Dieu venu sur terre. M. Gibson démontre ci bien par son filsm, un diable déchêné...
Il va sans dire aussi, que nous devons nous préparer à nous trouver de l'argent pour s'acheter les nombreuses panoplies qui vont faire partie de l'aspect commercial de ce films. Le fils lui-même a déjà rentré dans son argent à cause de la prévente aux églises baptistes Américaines. Qui avaient un engagement avec M. Gibson, lui-même un Catholique fervent et pratiquant.