La formation de bassins océaniques, etc. ...
Posté : 02 mars04, 02:59
Texte d'après: Gilles Bernier et qui est une continuité du déluge de Noé pas Cocotte.
[/b]5. La formation de nos bassins océaniques et la formation de nos continents et des chaînes de montagnes
Nous avons pris la liberté de fusionner quelques thèmes ici. Tout comme pour le commencement du déluge, la fin a aussi été provoquée par une intervention miraculeuse. Pour les auteurs, les sommets et les vallées n'étaient pas ce qu'ils a aujourd'hui (p. 40). Cela est encore basé sur les textes bibliques.
Un sixième texte for intéressant se trouve dans le livre de Psaumes. Ce passage poétique, tout comme plusieurs psaumes bibliques, contient aussi des éléments qui se présentent comme des faits historiques. En particulier, il fait semble-t-il référence aux événements du déluge de la Genèse, qu'on y croit ou non. Celà ressort en tout cas d'une lecture tout ce qu'il y a de plus naturelle du texte.
"Les eaux s'arrêtaient sur les montagnes;
Elles ont fui devant ta menace,
Elles se sont précipitées à la voix de ton tonnerre,
Des montagnes se sont élevées, des vallées se sont abailssées,
Au lieu que tu leur avais fixé" (Psaumes 104:6-8).
C'est dans une portion précise de ce texte que se trouverait un élément clé. Il ne décrirait pas le moment de la création, mais un évènement subséquent durant lequel un nouvel ordre (grec kosmos; ordre, arrangement, équilibre) est établi, "Des montagnes se sont élevées et des vallées se sont abaissées. Ainsi, "le Psaume 104:8 dit clairement que Dieu a surnaturellement soulevé les grandes chaînes de montagnes dans les étendues continentales, pour équilibrer les nouvelles profondeurs des bassins océaniques". (p. 42).
Qu'est-ce qui fait que ce ne soit pas une affirmation gratuite?
Contrairement à la théorie uniformiste selon laquelle les processus géomorphologiques à l'oeuvre actuellement (érosion, sédimentation, glaciation, volcanisme, et autres) ont toujours été essentiellement les mêmes, les auteurs démontreront par des données extérieures à la Bible que "la topographie globale telle que nous la voyons aujourd'hui n'a pas été formée par une succession de changements infinitésimaux tout au long de vastes périodes de temps..." (p. 42) L'uniformisme et ses changements très lents ne peut pas expliquer à lui seul tout les caractéristiques géologiques de la terre.
Leur lecture des événements anciens se comprend dans cette déclaration qui résume ce qui a été dit jusqu'à présent:
"Le déluge constitue une importante démarcation entre notre monde actuel, avec son cycle basiquement uniforme de semailles et de moisson, de froid et de chaleur, d'été et d'hiver, de jour et de nuit (Genèse 8:22), et "le monde qui fut" (2 Pierre 3:6-7), avec ses montagnes basses sans fossiles et sans glaces, son ciel sans pluie, son climat universellement chaud et humide et ses mers peu profondes" (p. 43).
Pour l'objection affirmant qu'en altitude (eau submergeant les sommets), les animaux auraient manqué d'oxygène, d'une part il y a le fait que les sommets ne dépassaient probablement pas quelques dizaines et centaines de mètres, mais surtout, la réponse à cette objection est que "c'est un fait élémentaire que la pression atmosphérique dépend de l'élévation relativement au niveau de la mer" (p. 50).
Pour la question de la datation du déluge, nous référons au livre lui-même.
Pour les considérations grammaticales en réponse aux objections à un déluge de portée mondiale, nous référons encore au livre (p. 66-70). Soulignons simplement que le déluge marque la jonction de deux sections du récit de la Genièse: 1) les chapitres 1 à 11 décrivent les origines universelles, tandis que 2) les chapitres 1 à 50 mènent vers les origines particulières de la nation hébraique (p. 67; nation qui jouera un rôle important pour la révélation du salut).
La Creation Research Society fondée en 1963 dans le contexte du débat créationniste-évolutionniste au sein de la communauté scientifique américaine a inclus le déluge biblique et universel en ces mots dans sa profession de foi: "Le grand déluge décrit dans la Genèse, couramment appelé le déluge de Noé, a été événement historique, mondial dans son extension et dans ses effets" (Le monde qui a péri, p. 73).
Nous passons maintenant à une autre étape pour parler davantage des effets qu'aurait eu un déluge mondiale de l'importance de celui décrit dans le livre de la Genèse. Si celà est vrai, il devrait alors y avoir des traces de cet événement.
Y a-t-il des preuves extérieures à la Bible pour supporter un déluge global
Voici la réponse fournie par les auteurs du livre Le monde qui a péri: "Ce point de vue (déluge global selon la Bible) peut aussi être vérifié hydrodynamiquement et paléontologiquement dans les couches fossilifères incroyablement vastes de chque continent, phénomène qui exige une interprétation catastrophiste plutôt qu'uniformiste" (p. 58).
Traces géologiques du déluge de la Genèse
Sur la base de Genèse 6:13, "... nous devons nous attendre à trouver partout sur le globe les effets géologiques de cette catastrophe hydraulique" (p. 79).
Partant des affirmations bibliques comme hypothèse de départ, les auteurs vont maintenant jouer le jeu et s'appliquer à les vérifier géologiquement. Si un déluge mondial durant lequel les eaux couvrirent la topographie d'alors pendant des mois n'est qu'une fable, alors les scientifiques athées n'ont absolument rien à craindre d'un tel exercice pour le moins amusant. Toutefois...
[/b]5. La formation de nos bassins océaniques et la formation de nos continents et des chaînes de montagnes
Nous avons pris la liberté de fusionner quelques thèmes ici. Tout comme pour le commencement du déluge, la fin a aussi été provoquée par une intervention miraculeuse. Pour les auteurs, les sommets et les vallées n'étaient pas ce qu'ils a aujourd'hui (p. 40). Cela est encore basé sur les textes bibliques.
Un sixième texte for intéressant se trouve dans le livre de Psaumes. Ce passage poétique, tout comme plusieurs psaumes bibliques, contient aussi des éléments qui se présentent comme des faits historiques. En particulier, il fait semble-t-il référence aux événements du déluge de la Genèse, qu'on y croit ou non. Celà ressort en tout cas d'une lecture tout ce qu'il y a de plus naturelle du texte.
"Les eaux s'arrêtaient sur les montagnes;
Elles ont fui devant ta menace,
Elles se sont précipitées à la voix de ton tonnerre,
Des montagnes se sont élevées, des vallées se sont abailssées,
Au lieu que tu leur avais fixé" (Psaumes 104:6-8).
C'est dans une portion précise de ce texte que se trouverait un élément clé. Il ne décrirait pas le moment de la création, mais un évènement subséquent durant lequel un nouvel ordre (grec kosmos; ordre, arrangement, équilibre) est établi, "Des montagnes se sont élevées et des vallées se sont abaissées. Ainsi, "le Psaume 104:8 dit clairement que Dieu a surnaturellement soulevé les grandes chaînes de montagnes dans les étendues continentales, pour équilibrer les nouvelles profondeurs des bassins océaniques". (p. 42).
Qu'est-ce qui fait que ce ne soit pas une affirmation gratuite?
Contrairement à la théorie uniformiste selon laquelle les processus géomorphologiques à l'oeuvre actuellement (érosion, sédimentation, glaciation, volcanisme, et autres) ont toujours été essentiellement les mêmes, les auteurs démontreront par des données extérieures à la Bible que "la topographie globale telle que nous la voyons aujourd'hui n'a pas été formée par une succession de changements infinitésimaux tout au long de vastes périodes de temps..." (p. 42) L'uniformisme et ses changements très lents ne peut pas expliquer à lui seul tout les caractéristiques géologiques de la terre.
Leur lecture des événements anciens se comprend dans cette déclaration qui résume ce qui a été dit jusqu'à présent:
"Le déluge constitue une importante démarcation entre notre monde actuel, avec son cycle basiquement uniforme de semailles et de moisson, de froid et de chaleur, d'été et d'hiver, de jour et de nuit (Genèse 8:22), et "le monde qui fut" (2 Pierre 3:6-7), avec ses montagnes basses sans fossiles et sans glaces, son ciel sans pluie, son climat universellement chaud et humide et ses mers peu profondes" (p. 43).
Pour l'objection affirmant qu'en altitude (eau submergeant les sommets), les animaux auraient manqué d'oxygène, d'une part il y a le fait que les sommets ne dépassaient probablement pas quelques dizaines et centaines de mètres, mais surtout, la réponse à cette objection est que "c'est un fait élémentaire que la pression atmosphérique dépend de l'élévation relativement au niveau de la mer" (p. 50).
Pour la question de la datation du déluge, nous référons au livre lui-même.
Pour les considérations grammaticales en réponse aux objections à un déluge de portée mondiale, nous référons encore au livre (p. 66-70). Soulignons simplement que le déluge marque la jonction de deux sections du récit de la Genièse: 1) les chapitres 1 à 11 décrivent les origines universelles, tandis que 2) les chapitres 1 à 50 mènent vers les origines particulières de la nation hébraique (p. 67; nation qui jouera un rôle important pour la révélation du salut).
La Creation Research Society fondée en 1963 dans le contexte du débat créationniste-évolutionniste au sein de la communauté scientifique américaine a inclus le déluge biblique et universel en ces mots dans sa profession de foi: "Le grand déluge décrit dans la Genèse, couramment appelé le déluge de Noé, a été événement historique, mondial dans son extension et dans ses effets" (Le monde qui a péri, p. 73).
Nous passons maintenant à une autre étape pour parler davantage des effets qu'aurait eu un déluge mondiale de l'importance de celui décrit dans le livre de la Genèse. Si celà est vrai, il devrait alors y avoir des traces de cet événement.
Y a-t-il des preuves extérieures à la Bible pour supporter un déluge global
Voici la réponse fournie par les auteurs du livre Le monde qui a péri: "Ce point de vue (déluge global selon la Bible) peut aussi être vérifié hydrodynamiquement et paléontologiquement dans les couches fossilifères incroyablement vastes de chque continent, phénomène qui exige une interprétation catastrophiste plutôt qu'uniformiste" (p. 58).
Traces géologiques du déluge de la Genèse
Sur la base de Genèse 6:13, "... nous devons nous attendre à trouver partout sur le globe les effets géologiques de cette catastrophe hydraulique" (p. 79).
Partant des affirmations bibliques comme hypothèse de départ, les auteurs vont maintenant jouer le jeu et s'appliquer à les vérifier géologiquement. Si un déluge mondial durant lequel les eaux couvrirent la topographie d'alors pendant des mois n'est qu'une fable, alors les scientifiques athées n'ont absolument rien à craindre d'un tel exercice pour le moins amusant. Toutefois...