LA TENTATION DU SUICIDE: deuxième partie.
Posté : 05 mars04, 03:54
Texte d'après: Gilles Bernier.
- Deuxième partie: une réflexion chrétienne sur l'espoir et le désespoir la valeur de la vie et ce que ce monde tend à offrir.
Le suicide est-il un acte de bravoure?
Il faut certainement du cran pour oser s'enlever la vie. Mais ne faut-il pas devantage de courage pour affronter la souffrance?
La souffrance interpelle nos valeurs.
Un des aspects à considérer est que la souffrance offre une occasion de repenser notre mode de vie incluant nos priorités et nos valeurs.
On ne saurait négliger cette réalitéÉ Pour le croyant chrétien sincère, Dieu parle parfois par la souffrance. Il existe une tristesse qui ne mène à rien et parfois même à l'abondon. Mais il existe également une tristesse selon Dieu, laquelle mène à la restauration intérieure (souvent même extérieure) et à la vie.
Que vaut la vie?
Que vaut la vie? D'où vient et où va la vie? Sui-je un animal évolué soumis à la loi du plus fort, ou suis-je une créature merveilleuse issue par la procréation, d'ancêtres créés par Dieu?
Toute la question est là. "Il n,y a rien de nouveau sous le soleil" dit Salomon, un roi d'Israel qui a connu la dépression après avoir connu Dieu pour ensuite user de la foi sans discernement et chercher le bonheur dans les nombreuses femme, le matérialisme et le vin qui coule à flot. Son histoire est résumée dans la Bible.
Les grandes questions existentielles de l'homme ont été et seront à peu de chose près: Qui suis-je? D'où est-ce que je viens? Quest-ce qui je fais ici, sur la terre? Où est-ce que je m'en vais? Pourquoi la souffrance? Pourquoi la conscience et même le bonheur ou les bonheurs? Pourquoi une chose et son contraire?
Comment conduire un peuple à la perte du sens de la vie?
Si on voulait conduire un peuple à son autodestruction, on pourrait créer un immense laboratoire étalé sur quelques dénérations, dont les cobayes seraient ce peuple lui-même.
Imaginez ce peuple né dans une cité dont il n'est jamais sorti et à qui on donne certaines informations communes.
On leur dit qu'ils descendent d'une race de lézards.
On leur enseigne dès le jeune âge, dans les écoles d'État, que la nature dont ils voient une partie, le ciel et les astres, les arbres et animaux des parcs, leur corps avec ses systèmes, se sont faits par hasard avec quelques milliards d'années.
On leur dit que ressentir la culpabilité, après un acte quelconque, est quelque chose qui nécessite une thérapie, si celà persiste. Que les choses ne sont ni bien, ni mal mais sont comme des forces énergétiques qui s'annulent ou tantôt s'additionnent. Qu'il s'agit de trouver son équilibre personnel entre ces principes positifs et négatifs en essayant de ne pas trop crée de trouble à la Cité.
On leur dit qu'après leur vie, c'est la fosse, l'inconscience totale, la fin du sentimentalisme d'existence et de toute souffrance y étant rattachée.
On leur enseigne encore que lorsque ça ira mal, et qu'on aura essayé toutes les ressources des personnes et de l'État, il n'y aura aucune ressouce extérieure. On devra compter sur soi-même.
On prend aussi soin de dire aux jeunes adultes que les drogues n'ont pas d'impacte sur la juste perception de la vie. L'État fournit m^me bientôt des lieux spéciaux pour consommer drogues et filtres en toute sécurité.
Soudain quand certains individus souffrent intensément, selon les aléas de la vie, on s'étonne que plusieurs aient des pensées suicidaires persistantes, et qu'un nombre croissant va jusqu'à commettre l'acte irréversible et fasse la une ou la trois du journal de la Cité.
Qu'a ce monde à offrir?
Pourquoi le suicide augment-t-il à mesure que la société se laicise (par exemple Québec, de 1970 à 2000)? A t-on jeté le bébé avec l'eau du bain quand on a abandonné une religion pour les spritiualités orientale, occulte, animiste ou autre. N'était-il pas possible d'abondonner la religion en tant qu'imposée de l'extérieur pour plutôt se préoccuper de la relation avec Dieu et son prochain?
Ce siècle rejette la création et l'intervention possible du Créateur dans la vie des hommes et dans l'Histoire. Croyant encourager les gens on leur proclame qu'ils sont issus d'un singe ou d'un lézard. On leur proclame que Dieu n'existe pas. Que tout vient d'un gros big-bang originel. Mais on ne sait pas ce qu'il y avait avant. On leur dit que la vie prient du seu hasard, moyennant quelques milliards d'années (à quelques millieards près). comme si l'ordre et le maintien de l'énergie pouvaient naître du seul hasard.
Pas étonnant que la Bible dénonce l'imposture en disant au sujet de ceux qui s'élèvent contre la connaissance de Dieu:
[/i]"La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute inpiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive, car ce qu'on peut connaitre de Dieu est manifeste pour eux, dieu le leur ayant fait connaitre. En effect les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l'oeil nu, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables, car ayant connu Dieu, ils ne l'ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâce; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur coeur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres. Se vantant d'être sages, ils sont devenue fous" (Épitre aux Romains, chap 1, versets 18-22).
Ce monde dit sans rire que seuls quelques sectaires croient en la création, alors des milliers de personnes dont des scientifiques avant une formation supérieure croient en Dieu et en un acte de création. Le big-bang n'est qu'une échappatoire, une réalité spirituelle. Il est le refus de reconsidérer ses voies face à la forte impression (conviction) de l'Éesprit de Dieu sur lesprit humain. Oui il y a peut-être eu un bing-bang, mais là n'est pas le problème. Le problème est dans le refus de venir au Dieu à l'origine du commencement de l'univers.
N'est-il pas étonnant que, disant aux gens qu'il n'y a pas de secours extérieur possible si les solutions terrestres n'ont pas fonctionné, l'on s'interroge encore ensuite et se demande: "Pourquoi se suidie-t-on de plus en plus alors que le progès humain est évident?".
- Deuxième partie: une réflexion chrétienne sur l'espoir et le désespoir la valeur de la vie et ce que ce monde tend à offrir.
Le suicide est-il un acte de bravoure?
Il faut certainement du cran pour oser s'enlever la vie. Mais ne faut-il pas devantage de courage pour affronter la souffrance?
La souffrance interpelle nos valeurs.
Un des aspects à considérer est que la souffrance offre une occasion de repenser notre mode de vie incluant nos priorités et nos valeurs.
On ne saurait négliger cette réalitéÉ Pour le croyant chrétien sincère, Dieu parle parfois par la souffrance. Il existe une tristesse qui ne mène à rien et parfois même à l'abondon. Mais il existe également une tristesse selon Dieu, laquelle mène à la restauration intérieure (souvent même extérieure) et à la vie.
Que vaut la vie?
Que vaut la vie? D'où vient et où va la vie? Sui-je un animal évolué soumis à la loi du plus fort, ou suis-je une créature merveilleuse issue par la procréation, d'ancêtres créés par Dieu?
Toute la question est là. "Il n,y a rien de nouveau sous le soleil" dit Salomon, un roi d'Israel qui a connu la dépression après avoir connu Dieu pour ensuite user de la foi sans discernement et chercher le bonheur dans les nombreuses femme, le matérialisme et le vin qui coule à flot. Son histoire est résumée dans la Bible.
Les grandes questions existentielles de l'homme ont été et seront à peu de chose près: Qui suis-je? D'où est-ce que je viens? Quest-ce qui je fais ici, sur la terre? Où est-ce que je m'en vais? Pourquoi la souffrance? Pourquoi la conscience et même le bonheur ou les bonheurs? Pourquoi une chose et son contraire?
Comment conduire un peuple à la perte du sens de la vie?
Si on voulait conduire un peuple à son autodestruction, on pourrait créer un immense laboratoire étalé sur quelques dénérations, dont les cobayes seraient ce peuple lui-même.
Imaginez ce peuple né dans une cité dont il n'est jamais sorti et à qui on donne certaines informations communes.
On leur dit qu'ils descendent d'une race de lézards.
On leur enseigne dès le jeune âge, dans les écoles d'État, que la nature dont ils voient une partie, le ciel et les astres, les arbres et animaux des parcs, leur corps avec ses systèmes, se sont faits par hasard avec quelques milliards d'années.
On leur dit que ressentir la culpabilité, après un acte quelconque, est quelque chose qui nécessite une thérapie, si celà persiste. Que les choses ne sont ni bien, ni mal mais sont comme des forces énergétiques qui s'annulent ou tantôt s'additionnent. Qu'il s'agit de trouver son équilibre personnel entre ces principes positifs et négatifs en essayant de ne pas trop crée de trouble à la Cité.
On leur dit qu'après leur vie, c'est la fosse, l'inconscience totale, la fin du sentimentalisme d'existence et de toute souffrance y étant rattachée.
On leur enseigne encore que lorsque ça ira mal, et qu'on aura essayé toutes les ressources des personnes et de l'État, il n'y aura aucune ressouce extérieure. On devra compter sur soi-même.
On prend aussi soin de dire aux jeunes adultes que les drogues n'ont pas d'impacte sur la juste perception de la vie. L'État fournit m^me bientôt des lieux spéciaux pour consommer drogues et filtres en toute sécurité.
Soudain quand certains individus souffrent intensément, selon les aléas de la vie, on s'étonne que plusieurs aient des pensées suicidaires persistantes, et qu'un nombre croissant va jusqu'à commettre l'acte irréversible et fasse la une ou la trois du journal de la Cité.
Qu'a ce monde à offrir?
Pourquoi le suicide augment-t-il à mesure que la société se laicise (par exemple Québec, de 1970 à 2000)? A t-on jeté le bébé avec l'eau du bain quand on a abandonné une religion pour les spritiualités orientale, occulte, animiste ou autre. N'était-il pas possible d'abondonner la religion en tant qu'imposée de l'extérieur pour plutôt se préoccuper de la relation avec Dieu et son prochain?
Ce siècle rejette la création et l'intervention possible du Créateur dans la vie des hommes et dans l'Histoire. Croyant encourager les gens on leur proclame qu'ils sont issus d'un singe ou d'un lézard. On leur proclame que Dieu n'existe pas. Que tout vient d'un gros big-bang originel. Mais on ne sait pas ce qu'il y avait avant. On leur dit que la vie prient du seu hasard, moyennant quelques milliards d'années (à quelques millieards près). comme si l'ordre et le maintien de l'énergie pouvaient naître du seul hasard.
Pas étonnant que la Bible dénonce l'imposture en disant au sujet de ceux qui s'élèvent contre la connaissance de Dieu:
[/i]"La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute inpiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive, car ce qu'on peut connaitre de Dieu est manifeste pour eux, dieu le leur ayant fait connaitre. En effect les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l'oeil nu, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables, car ayant connu Dieu, ils ne l'ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâce; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur coeur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres. Se vantant d'être sages, ils sont devenue fous" (Épitre aux Romains, chap 1, versets 18-22).
Ce monde dit sans rire que seuls quelques sectaires croient en la création, alors des milliers de personnes dont des scientifiques avant une formation supérieure croient en Dieu et en un acte de création. Le big-bang n'est qu'une échappatoire, une réalité spirituelle. Il est le refus de reconsidérer ses voies face à la forte impression (conviction) de l'Éesprit de Dieu sur lesprit humain. Oui il y a peut-être eu un bing-bang, mais là n'est pas le problème. Le problème est dans le refus de venir au Dieu à l'origine du commencement de l'univers.
N'est-il pas étonnant que, disant aux gens qu'il n'y a pas de secours extérieur possible si les solutions terrestres n'ont pas fonctionné, l'on s'interroge encore ensuite et se demande: "Pourquoi se suidie-t-on de plus en plus alors que le progès humain est évident?".