Cette mécanique a bien un créateur ?
Posté : 23 avr.07, 02:23
Les coquillages ne doivent pas être trop élégants ni trop simples mais complexes et faciles à entendre
La courbe de tes yeux font le tour de mon coeur
Le monde est un roman - La vérité est une absurdité dont j'ai besoin. Les besoins une absurdité.
Isabella m'a donné à comprendre le Monde. Je ne l'ai pas compris. J'y ai cherché trop souvent le sens. Or le Monde se donne lorsque je tiens la main d’Isabella.
Je sais simplement la couleur de ses yeux amoureux. Ces miroirs inversés disent mieux que moi que je me suis perdu de vue.
Le Monde se donne alors à mieux être compris non d'elle ni de moi mais de nous lorsque tu sais que tu ne le comprends pas.
Autour de nous comme une colombe qui s'envole et plongés dans cette nuit étrange nous formons le voeux d'être à tout jamais parlant de l'être aimé, que nous voguions sans cesse d'éclairer l'autre de sa ferveur et de sa grâce - car à vrai dire il tient de la grâce d'être ainsi suspendus.
Alors peut-être tenant entre nos lèvres, Les larmes et les roses, le sang et le soleil viendront teindre nos choses,
Et que contemplant la merveilleuse rosace de notre union dans le cosmos nous puissions vivre de l'éternel soif.
Certes il faudra dormir mais nos songes seront que l'autre dort et qu'il fait un même songe.
Cette mécanique a bien un créateur ?
http://lesflicsmetaphysiques.blogspot.com/
La courbe de tes yeux font le tour de mon coeur
Le monde est un roman - La vérité est une absurdité dont j'ai besoin. Les besoins une absurdité.
Isabella m'a donné à comprendre le Monde. Je ne l'ai pas compris. J'y ai cherché trop souvent le sens. Or le Monde se donne lorsque je tiens la main d’Isabella.
Je sais simplement la couleur de ses yeux amoureux. Ces miroirs inversés disent mieux que moi que je me suis perdu de vue.
Le Monde se donne alors à mieux être compris non d'elle ni de moi mais de nous lorsque tu sais que tu ne le comprends pas.
Autour de nous comme une colombe qui s'envole et plongés dans cette nuit étrange nous formons le voeux d'être à tout jamais parlant de l'être aimé, que nous voguions sans cesse d'éclairer l'autre de sa ferveur et de sa grâce - car à vrai dire il tient de la grâce d'être ainsi suspendus.
Alors peut-être tenant entre nos lèvres, Les larmes et les roses, le sang et le soleil viendront teindre nos choses,
Et que contemplant la merveilleuse rosace de notre union dans le cosmos nous puissions vivre de l'éternel soif.
Certes il faudra dormir mais nos songes seront que l'autre dort et qu'il fait un même songe.
Cette mécanique a bien un créateur ?
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