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poème sur l'Islam
Posté : 18 mai07, 09:20
par l'espoir
salam à tous;
j'ai trouvé ce jolie poème et j'ai voulu le partagé avec vous mes frères et soeurs Musulmans.
Suivre le chemin de Dieu
C'est vouloir devenir pieux
Trop de gens restent dans l'ignorance
Croyant que l'Islam est une religion de souffrance
La caractériser ainsi est une offense
Car son mot d'ordre est tolérance
Elle recommande la bonté et la générosité
Et réprouve la vanité et l'iniquité
Elle nous dit d'aimer et de pardonner
Et les pauvres nous interdit de mépriser
Elle n'est pas religion d'oppression
Où la femme n'a pas de droit d'expression
Mais plutôt religion de compassion
Où chacun recherche la juste rétribution
Mes frères et soeurs prenez conscience
du message qui nous a été transmis
Armons nous de patience et pour récompense
nous aurons le Paradis
Eloignons nous du Chaytan et de ses tentations
Ne laissons pas ce bas-monde nous entraîner vers ses passions
Evitons pour nous la confusion et pour notre âme sa perdition
Notre seul refuge est auprès d'Allah , l'Unique le Vivant
Notre prophète- bien aimée (saw) a mené une vie
Suivre ses pas signifie le salut pour notre âme
Il nous montre la voie et le bon comportement
Grâce à la Sunna et au Saint Coran
Il a offert aux générations suivant la sienne un présent somptueux
Il nous a enseigné comment vivre heureux
Grâce à Allah Ta'ala le Tout Miséricordieux
Qui destine une demeure dans les cieux aux plus vertueux
Malheureusement les hommes sont par nature ingrats
Ils ne sont pas tous reconnaissants, certains ne comprennent pas
Le savoir et la science sont une lumière qui est accessible à chacun
Alors ne passez pas votre vie à accumuler des biens
Ne préférez pas le matériel au spirituel
Et aspirez au Paradis éternel
La purification il ne faut pas oublier
De la foi elle représente la moitié
Alors mes frères et soeurs prions notre Seigneur
Demandons lui le pardon pour nos erreurs
Dhikr et Du'a doivent être pratiqués régulièrement
Car c'est un devoir pour tout musulman
L'expiation fait partie de la religion
Multiplier les bonnes actions repoussent les tentations
L'Islam est bâti sur 5 piliers :
- "Achâdou anna lâ illaha ilallah wahdah la chârika lah wa achâdu anna
Mohamad abdouhou warasoulloulah "
est le premier
- La prière on se doit de pratiquer
- Le mois de Ramadan il faut jeûner
- Le pèlerinage aux lieux saints on doit effectuer
Pratiquer cela avec assiduité
ne permet aucune perte de temps en futilité
Ne faîtes pas de cette religion une difficulté
Alors qu'elle n'est que facilité
Si vous avez la foi en Allah Ta'ala
N'ayez crainte, Il vous protègera
Soyez cependant vigilants dans vos propos
pensez aux conséquences, aux dégats des mots
Le Seigneur Tout Puissant a dit dans le Saint Coran :
"Alors veillent sur vous des gardiens, des nobles scribes qui savent ce que vous faîtes" (S82.V10-12)
Il fait ici mention des Anges qui prennent notes au-dessus de notre tête
Donc craignez Allah, car Il connaît parfaitement les choses inconnaissables
Les épreuves nous musulmans nous devons surmonter
Avec le souvenir de Dieu nous sommes réconforté
Car la grande récompense accordée en prix à la dévotion
Inshaa Alah nous l'obtiendrons
Vous procréez pour mourir après, vous construisez ce qui sera détruit
Vous convoitez ce qui va être anéanti car c'est la destinée
Et vous délaissez ce qui est fait pour durer
La vie est brève et la mort nous guette à chaque instant
Soyons frères et soeurs musulmans persévérants
Car la vie présente n'est qu'un objet de jouissance trompeuse
Et pour nous chaque minute de notre temps est précieuse
Nous aurons tous des comptes à rendre au jour du jugement
Vous ne vous en rendez peut-être pas compte en ce moment
Nous serons tous intérrogé au sujet de ce que nous faisions
Alors revenez tous vers une véritable soumission
Vous voyez, l'Islam parle de tout,
Mes frères et soeurs, lisez et cultivez-vous
Ce poème n'est qu'une goutte d'eau dans un océan de connaissances
A tout moment n'oubliez jamais Sa Présence
Musulmans du Monde entier
Soyez bénis où que vous soyez
Restons forts et unis
Et Inshaa Allah on se retrouvera au Paradis
Amin, Amin, Amin

Posté : 19 mai07, 00:49
par l'espoir
O Toi ya Allah…
Un fil qui nous lie à Toi,
Aussi long que notre foi
L'espoir est auprès de Toi
Ta lumière n'est en nous que joie et rahma,
C'est Toi qui guide nos pas
Vers Toi l'on chemine et c'est près de Toi que le bonheur croît,
Petite lueur bordée d'une enveloppe, Toi tu es certes l'essence et Sa lumière,
Chaque détail, chacun de Tes signes sont pour nous autant de prière ;
Ressentir Ta présence de la plus belle des manières
Dans ce bas monde avant notre départ pour notre demeure dernière ;
T'appeler par Tes plus beaux Noms, Te servir humblement
Réclamer sans cesse Ton amour grandissant et éternellement présent.
Tes paroles si pures, parfument notre quotidien
Nous guident pour vivre de meilleur lendemain
O toi ya ALlah , guide nous dans le droit chemin,
Illumine nos visages sans Toi nous ne sommes rien...
Permet-nous de revenir à toi aussi pure que la neige et sa blancheur
Mets en nous le reflet de Ta présence, afin de ressentir Ta grandeur
Pardonne-nous nos péchés et permets-nous de parfaire nos vies,
De parler avec tes paroles, De penser à Toi à l'infini
Posté : 19 mai07, 00:57
par l'espoir
La peur envahit mon coeur
A la pensé de l'heure.......
Suis je, de tes serviteurs,
oh! Mon seigneur??
Ma foi est comme le
champs de blé,
par le vent bercé...
au dounia je ne veut m'attacher
mais il et dans mes pensées...
Ya Allah ne me laisse pas
toucher par le relâchement...
fais de moi une croyante reconnaissante...
qui persévère dans la voie
du musulman.....
lahi laha allah,
est la clef de ma foi...
La prosternation
est le signe de ma soumission...
Ton rappel vit sur mes lèvres,
et naît plus doux que le miel...
Ma vie et mon oeuvre
n'ont de valeur,
que par la satisfaction de mon seigneur !
Posté : 19 mai07, 01:00
par l'espoir
Poème d'une convertie
Depuis je suis Musulmane
Je sens que je gagne
Cette confiance en moi longtemps refoulée
J'en étais désespéré
Puis MON coeur s'est ouvert
En prenant ce grand bol d'air
Ma vie a pris un sens
Alors que je vivais dans l'absence ...
Les choses sont devenues d'une logique incontournable
Tout mon être s'est sentit enfin stable
C'est évident comme 1+1 = 2
Pour moi il n'y a q'un seul DIEU
IL nous a créé, ainsi que tout ce qui nous entoure
Comment ne pas lui montrer tout notre amour ?
IL est notre créateur
Notre bienfaiteur
Inch'Allah que ma vie dure encore quelques années
Pour pouvoir faire le bien et être acceptée
Dans LE plus beau lieu qui existe : Le Paradis
A vous mes frères et mes soeurs, mes ami(e)s, nos familles
Je vous souhaite inch'Allah d'acquérir cette magnifique résidence
Inch'Allah nous aurons tous notre chance !
Posté : 22 mai07, 03:07
par Allahu_akbar
Baraka ALLAH oufik
Posté : 22 mai07, 06:28
par l'espoir
merci; Amin

Posté : 22 mai07, 06:29
par l'espoir
Mohamed saws;
Illustre Prophète, tu as elevé mon âme
Sache que je t'aime et proclame
L'Unicité de Celui que mon coeur réclame
Avec l'espoir d'être digne de la sentence d'Abraham
Esperant être de tes frères, Ahmad le loué
Salut sur toi, ta famille, postérité
Tes compagnons, dignes et inestimables heritiers
Mouhammad, tes larmes ont coulé pour moi
Avant même que ma mère ne pleure de joie
Fasse ô Allah, que la demeure réservée
Invoque Mouhammad pour invité de l'Eternité,
Eloigne moi des chemins dévoyés
Rafermi mon engagement pour sa voie bien guidée
Tout au long de ma vie jusqu'au moment de Vérité
Eclaire mon visage de sereine fierté.
Posté : 22 mai07, 06:42
par l'espoir
la vie...
O toi qui a oublié l'Au Delà,
Pauvre humain regarde ton état,
Ta vie c'est sûr elle se terminera,
Et à la mort tu y gouteras,
La vue de l'Ange de la mort t'effraiera,
Dans ta tombe on te jetera,
Seul et dans le noir on te laissera,
Vers Allah tout reviendra,
Et c'est Lui qui te jugera,
Alors dis moi veux tu toujours cette vie d'ici-bas ?
Posté : 22 mai07, 06:46
par l'espoir
Soyez indulgents entre vous mes frères et soeurs
Afin que Allah également pardonne vos erreurs
Et que vous rameniez ensemble votre foi vers le meilleur
Que votre amitié soit plus forte que vos rancoeurs
Efforcons nous de louer sans cesse notre Seigneur
Et être la plus possible de bons et patients serviteurs
Priez-le afin qu'il vous accorde la grandeur du coeur
Et non pas l'aigreur mais plutôt la douceur
Ne le savez-vous pas qu'il faut être prêt pour votre prochaine Heure?
Et que Dieu fasse que ce jour-là vous soyez de ceux qui n'aient pas trop peur
Ce sera leur récompensse pour leur droiture et leur position sera un honneur
Pour cela encore une fois rendez-vous service pour le meilleur
Pas pour le pire et surement pas pour le malheur
Que l'amour que vous vous portez jamais lui ne meure
Pardonnez et n'écoutez pas le Shaytan c'est un leurre
Tendez-vous la main pour apaiser vos peines et vos pleurs
Cela vous facilitera pour accéder à l'Ultime Bonheur
Seulement si vous le méritez et certes Allah est notre seul Sauveur!
Posté : 23 mai07, 10:14
par enigma
Salam Espoir
C'et magnifique , Baraka ALLAH oufik
Posté : 23 juil.07, 06:44
par l'espoir
merci enigma; "amin"
j'ai trouvé ce poème ecrit par victor hugo, certain disent qu'ils s'est convertit...je ne sais pas, en tout cas, il a ecrit ce joli poème:
L’AN NEUF DE L’HEGIRE
Comme s’il pressentait que son heure était proche,
Grave, il ne faisait plus à personne une reproche ;
Il marchait en rendant aux passants leur salut ;
On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu’il eût
A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ;
Il s'arrêtait parfois pour voir les chameaux boire,
Se souvenant du temps qu’il était chamelier.
Il semblait avoir vu l’Eden, l’âge de d’amour,
Les temps antérieurs, l’ère immémoriale.
Il avait le front haut, la joue impériale,
Le sourcil chauve, l’œil profond et diligent,
Le cou pareil au col d’une amphore d’argent,
L’air d’un Noé qui sait le secret du déluge.
Si des hommes venaient le consulter, ce juge
Laissait l’un affirmer, l’autre rire et nier,
Ecoutait en silence et parlait le dernier.
Sa bouche était toujours en train d’une prière ;
Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ;
Il s’occupait de lui-même à traire ses brebis ;
Il s’asseyait à terre et cousait ses habits.
Il jeûnait plus longtemps qu’autrui les jours de jeûne,
Quoiqu’il perdît sa force et qu’il ne fût plus jeune.
A soixante-trois ans une fièvre le prit.
Il relut le Coran de sa main même écrit,
Puis il remit au fils de Séid la bannière,
En lui disant : " Je touche à mon aube dernière.
Il n’est pas d’autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. "
Et son œil, voilé d’ombre, avait ce morne ennui
D’un vieux aigle forcé d’abandonner son aire.
Il vint à la mosquée à son heure ordinaire,
Appuyé sur Ali le peuple le suivant ;
Et l’étendard sacré se déployait au vent.
Là, pâle, il s’écria, se tournant vers la foule ;
" Peuple, le jour s’éteint, l’homme passe et s’écroule ;
La poussière et la nuit, c’est nous. Dieu seul est grand.
Peuple je suis l’aveugle et suis l’ignorant.
Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde. "
Un cheikh lui dit : " o chef des vrais croyants ! le monde,
Sitôt qu’il t’entendit, en ta parole crut ;
Le jour où tu naquit une étoile apparut,
Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent. "
Lui, reprit : " Sur ma mort les Anges délibèrent ;
L’heure arrive. Ecoutez. Si j’ai de l’un de vous
Mal parlé, qu’il se lève, ô peuple, et devant tous
Qu’il m’insulte et m’outrage avant que je m’échappe ;
Si j’ai frappé quelqu’un, que celui-là me frappe. "
Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton.
Une vieille, tondant la laine d’un mouton,
Assise sur un seuil, lui cria : " Dieu t’assiste ! "
Il semblait regarder quelque vision triste,
Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : " voilà,
Vous tous, je suis un mot dans la bouche d’Allah ;
Je suis cendre comme homme et feu comme prophète.
J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite.
Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.
Le soleil a toujours l’aube pour précurseur.
Jésus m’a précédé, mais il n’est pas la Cause.
Il est né d’une Vierge aspirant une rose.
Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,
Je ne suis qu’un limon par les vices noirci ;
J’ai de tous les péchés subi l’approche étrange ;
Ma chair a plus d’affront qu’un chemin n’a de fange,
Et mon corps par le mal est tout déshonoré ;
O vous tous, je serais bien vite dévoré
Si dans l’obscurité du cercueil solitaire
Chaque faute engendre un ver de terre.
Fils, le damné renaît au fond du froid caveau
Pour être par les vers dévoré de nouveau ;
Toujours sa chair revit, jusqu’à ce que la peine,
Finie ouvre à son vol l’immensité sereine.
Fils, je suis le champ vil des sublimes combats,
Tantôt l’homme d’en haut, tantôt l’homme d’en bas,
Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne
Comme dans le désert le sable et la citerne ;
Ce qui n’empêche pas que je n’aie, ô croyants !
Tenu tête dans l’ombre au x Anges effrayants
Qui voudraient replonger l’homme dans les ténèbres ;
J’ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ;
Souvent, comme Jacob, j’ai la nuit, pas à pas,
Lutté contre quelqu’un que je ne voyais pas ;
Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie ;
Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie,
Et, comme je sentais en moi la vérité,
Je les ai combattus, mais sans être irrité,
Et, pendant le combat je criais : " laissez faire !
Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère.
Qu’ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis !
Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis
Auraient, pour m’attaquer dans cette voie étroite,
Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite,
Ils ne me feraient point reculer ! " C’est ainsi
Qu’après avoir lutté quarante ans, me voici
Arrivé sur le bord de la tombe profonde,
Et j’ai devant moi Allah, derrière moi le monde.
Quant à vous qui m’avez dans l’épreuve suivi,
Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi,
Vous avez bien souffert, mais vous verrez l’aurore.
Après la froide nuit, vous verrez l’aube éclore ;
Peuple, n’en doutez pas ; celui qui prodigua
Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega,
Les perles à la mer et les astres à l’ombre,
Peut bien donner un peu de joie à l’homme sombre. "
Il ajouta ; " Croyez, veillez ; courbez le front.
Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront
Sur le mur qui sépare Eden d’avec l’abîme,
Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ;
Presque personne n’est assez pur de péchés
Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez,
En priant, que vos corps touchent partout la terre ;
L’enfer ne brûlera dans son fatal mystère
Que ce qui n’aura point touché la cendre, et Dieu
A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ;
Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ;
Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes,
Les chevaux sellés d’or, et, pour fuir aux sept dieux,
Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ;
Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse,
Habite un pavillon fait d’une perle creuse ;
Le Gehennam attend les réprouvés ; malheur !
Ils auront des souliers de feu dont la chaleur
Fera bouillir leur tête ainsi qu’une chaudière.
La face des élus sera charmante et fière. "
Il s’arrêta donnant audience à l’espoir.
Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit :
" O vivants ! Je répète à tous que voici l’heure
Où je vais me cacher dans une autre demeure ;
Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu,
Que je sois dénoncé par ceux qui m’ont connu,
Et que, si j’ai des torts, on me crache aux visages. "
La foule s’écartait muette à son passage.
Il se lava la barbe au puits d’Aboufléia.
Un homme réclama trois drachmes, qu’il paya,
Disant : " Mieux vaut payer ici que dans la tombe. "
L’œil du peuple était doux comme un œil de colombe
En le regardant cet homme auguste, son appui ;
Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui,
Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière,
Et passèrent la nuit couchés sur une pierre
Le lendemain matin, voyant l’aube arriver ;
" Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever,
Tu vas prendre le livre et faire la prière. "
Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ;
Il écoutait pendant qu’Aboubékre lisait,
Et souvent à voix basse achevait le verset ;
Et l’on pleurait pendant qu’il priait de la sorte.
Et l’Ange de la mort vers le soir à la porte
Apparut, demandant qu’on lui permît d’entrer.
" Qu’il entre. " On vit alors son regard s’éclairer
De la même clarté qu’au jour de sa naissance ;
Et l’Ange lui dit : " Dieu désire ta présence.
- Bien ", dit-il. Un frisson sur les tempes courut,
Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut.
Victor Hugo, le 15 janvier 1858.
Posté : 23 juil.07, 06:54
par l'espoir
un autre:
Même si des centaines d'années
Nous séparent de notre bien-aimé
Tout ce qu'il a dit, tout ce qu'il a fait
Nous parvint comme il se devait
Et fermement
Nous préservons
Un beau diamant
Qu'il nous laissa
Dont la lumière guide nos vies
Sur cette terre le jour, la nuit
Et ce joyau que nous gardons
C'est l'islam la vraie religion
Même si centaines d'années
Nous séparent de notre bien-aimé
Tous ce qu' il a dit, tout ce qu'il a fait
Nous parvint comme il se devait
Et patiemment
Oui, nous marchons
Sur le chemin
Qui est le sien
Ceux qui le suivent seront heureux
Le paradis sera pour eux
Ce droit chemin que nous suivrons
C'est l'islam la vraie religion
Posté : 23 juil.07, 07:01
par l'espoir
Mets ta confiance en Lui
Ta confiance doit être immense
Quand tu connais son excellence
Allah l'unique, Allah le grand
Notre créateur, notre sauveur
Si tu le crains, suis son chemin
Car demain n'est pas si loin
Eteins le moteur de ton scooter
Et viens prier ton créateur
Ton escalier faut l'oublier
A la mosquée, tu dois aller.
Drogué, perdu, tu ne dois plus
Car mon frère t'es pa vaincu
Allah est là, c'est lui le roi
Il te sauvera, si tu y crois
Le musulman doit pas se détruire
Bien au contraire il doit se construire
Arrêtes ce gâchis, jettes ton techi
c'est vendredi, il faut qu'on prie.
Abderrahmane est mort de came
Sans que son âme connaisse l'Islam
Cette société nous a roulé
Y en a assez, faut se reveiller
Les musulmans sont les meilleurs
Lorqu'ils sont proches de leur Seigneur
Allah est grand et tout-puissant.