nerjes a écrit :
je suis contre le soufisme c'est une théorie qui est née d'une philosophie greque et du boudhisme ,le soufiste croit à l'unité du créteur avec les créature et prétende avoir rencontrer dieu ce qui est contre les principes de l'islam
pour rester sur le bon chemin il faut suivre la sounna du prophète et des sahabas
pourquoi cherche-t-on dans le soufisme alors qu'on ne sait meme pas si les créteurs du souffisme sont dans le paradis ou l'enfer
est ce que vous trouvez logique de laisser la sounna et aller chercher dans le souffisme
n'oubliez pas que le prophète nous a prévenus de ne suivre que son chemein c'est la seule vérité (parmis les 73 chemins)
les souffistes se considèrent différent du reste des musulmans alors le prophète nous a conseillé de rester dans le groupe ,en plus il se donnent de l'importance et se mettent dans un rang qui n'est pas le leur , l'islam est contre l'orgueil surtout qd il est mal placé
si tu connait l'arabe je peut te donner des sites interessant et les avis des oulemes sur le souffisme
Nerjes c'est vraiment un ramassis de mensonge et désinformation que tu dis là , renseigne toi d'abord , lis des maitres soufis anciens et actuels et fais toi une idée par toi-même au lieu de répéter bêtement ce qu'on t'a dit et ce qu'on veut te faire croire !
Qui se dit musulman ne peut ignorer le soufisme , qui est la quintessance de l'Islam.
Le soufisme est l’ésotérisme de l’Islam , le cœur , le centre .Il tire son origine du Prophète lui-même , qui a donné deux enseignements :un exotérique pour le plus grand nombre , et un ésotérique , seulement compris par de rares disciples plus évolués .Si bien que le plus grand nombre ne peut comprendre le soufisme et que les soufis furent de tout temps critiqués et persécutés .Et pourtant il n’y a pas plus non violent et tolérant et soumis à Dieu qu’eux .
La Loi religieuse, extérieure, qui est appelée en Islam la sharî’at, ou « grande route », en ce sens qu’elle concerne l’ensemble des croyants musulmans, figure une enveloppe, une écorce, dont la haqîqah ou Vérité – la réalité essentielle, immuable – est le noyau, lequel n’est accessible qu’à un petit nombre. C’est ainsi que d’une part le soufisme est la voie de ceux « pour qui le Paradis est encore une prison », comme le dit René Guénon, de ceux qui ne se contentent pas de l’aspiration à un état paradisiaque, comme la majorité des croyants, qui se contentent, eux, d’obéir, et que, d’autre part, il « a son but en lui-même, en ce sens qu’il peut donner accès à la connaissance immédiate de l’éternel. »
la Loi est donc semblable à la circonférence qui entoure un point central qui est la Vérité. Or, pour passer de la Loi à la Vérité, il faut emprunter une chemin, « voie étroite », qui est comme le rayon de la circonférence au centre. Cette voie est appelée tarîqah, voie initiatique qui fait passer de l’exotérisme à l’ésotérisme : " La circonférence ne saurait exister sans le centre, dont elle procède en réalité tout entière, et, si les êtres qui sont liés à la circonférence ne voient point le centre ni même les rayons, chacun d’eux ne s’en trouve pas moins inévitablement à l’extrémité d’un rayon dont l’autre extrémité est le centre même. Seulement, c’est ici que l’écorce s’interpose et cache tout ce qui se trouve à l’intérieur, tandis que celui qui l’aura percée, prenant par là même conscience du rayon correspondant à sa propre position sur la circonférence, sera affranchi de la rotation indéfinie de celle-ci et n’aura qu’à suivre ce rayon pour aller vers le centre".