MYSTÈRE D'INIQUITÉ, Origine Ultime du Péché

Science et religion ne sont plus considérées comme incompatibles. The Daily Telegraph, Londres, 26 mai 1999.
Répondre
Nickie

Christianisme [Pentecôtiste]
Christianisme [Pentecôtiste]
Messages : 3682
Enregistré le : 21 nov.03, 20:38
Réponses : 0
Localisation : Canada

MYSTÈRE D'INIQUITÉ, Origine Ultime du Péché

Ecrit le 06 juin04, 03:06

Message par Nickie »

J'ai trouvé cet article suite aux discussions retrouvées sur ce forum. Un sujet qui pique la curiosité de l'érudit théologique et doctrinal de la Bible. Où le péché commença-t-il, et son impaque sur le monde, les enfants de Dieu. Plusieurs imputerait au péché d'être à la source de la souffrance humaine, une punition de Dieu. D'autres propose que nous sommes des innoçant en la matière, donc la souffrance est une injustice à notre égard.

Qu'en dites vous?


UN MYSTÈRE D'INIQUITÉ
et l'Origine Ultime du Péché

Traduction par: cocotte

L'un des grand mystères de la vie est la question de la souffrance humaine. Pourquoi Dieu permet-t-Il que les gens "innocents" souffrent? Pourquoi y a-t-il des guerres? Pourquoi y a-t-il de la famine? Pourquoi y a-t-il de la maladie, des tempêtes tirribles, de la violence humaine, de la violence chez les animaux, etc., et ainsi de suite, et ainsi de suite. Il y a un sens inné dans chacun de nous que rien de ceci est vraiment "normal," et qu'il y a une cause profonde derrière cette condition dans le monde, d'autre personnes, et, bien sûr, même chez nous-mêmes. Car, en réalité, la plus grand partie des batailles dans lesquelles nous sommes engagés au quotidien impliquent notre propre nature. Le prophète Jérémie a écrit: "Le coeur est tortueux par-dessus tout, et il est méchant: Qui peut le connaître?" (Jérémie 17:9). Paul l'apôtre a écrit: "Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu;" (Romains 3:23). La Bible ne révèle non-seulement la vrai nature et la cause ce cette agonie dans la nature humaine, mais aussi elle y jette une lumière sur le comment celà fut arrivé; en premier l'intermédiaire angélique, et puis par l'intermédiaire de l'humanité, à savoir dans nos parents, Adam et Ève. Le problême de la "douleur et de l'angoise," soit-il une souffrance émotive, ou spirituelle, est, de façon générale, tellement une question difficile pour l'homme, et même jusqu'à un certain degré pour le croyant en la bible qui , au fait, tient lui-même les oracles de Dieu, que s'il y aurait des "armes" quel quelles soient, d'aucunes conséquences contre la foi Chrétienne dans l'arsénal du athé cette question en serait vraisemblablement le "gros fusil". Toute vrai science et histoire, si bien comprises, supportent le fait de Dieu. La preuve est tellement forte que, telle le dit la Bible: "(...) L'insensé dit en son coeur: Il n'y a point de Dieu! (...)" (Psaumes 14:1). L'infidèle fait face à la mort dans un état de pure terreur parce qu'il sait qu'il y a un Dieu à qui il est redevable et avec qui il ne sait pas réconcilié. Une grande partie des athés, alors, avec aucune preuve objective sur laquelle baser la foi en "pas de Dieu," doit finalement avoir recours à des objections philosophiques. Ce problême de la souffrance est le plus grand de ceux-ci. Comment Dieu peut-il permettre de telles choses s'Il est en fait bon? La bible indique clairement l'origine de la souffrance humaine comme résidant dans le péché. Le péché est la transgression de l'homme contre l'unité du Saint de Dieu, de sa législation morale qui est juste et bonne (Romains 7:12).

La doctrine sur le mystère s'appuyant sur l'origine et l'historique du péché et de sa malignité spécifique, n'écarte pas le point de vu profond accepté pa plusieurs théologiens, des quels sont présentés dans ce qui suit. La théologie, bien sûr, est comme un édifice composé de la compréhension humaine construite de matériaux bruts qui ont été miné d'une carrière sacré de révélations Divines, la Bible. L'homme régénéré est appelé à chercher les Écritures pour y "voir si ce qu'on leur disait était exact." (Actes 17:11) et pour y bâtir sa compréhension sur cette fondation.

Prèsque que tout de ce que nous connaisson au sujet l'origine ultime du péché, même d'avant l'Éden, se retrouvent audedans de deux passages quelque peu obscures mais significatis des Écritures, à savoir Ézékiel 28, et Isaie 14. Plusieurs autres passages en font illusion mais peut-être qu'aucun de façon tellement évidente que ces deux-ci. Nos "spéculations" sont ainsi basé principalement sur ces deux portions des Écritures, et sur quelques autres d'un moindre degré qui se rapportent à ce sujet. Selon une point de vu plutôt communément proponné, les anges, avant la chute, avaient reçu une révélation de l'incarnation future du Fils de Dieu. Cette théorie a sa fondation la plus fine dans la supposition, autrement pas tenu de façon générale, que le Monde incarné, qui selon l'Apôtre Paul est à la tête de toutes principalités et pouvoirs et le premier né entre toutes les créatures, fut dès le tout début prédestiné dans le plan de dieu que l'univers d'être la tête et le roi des anges, et ainsi devait être la source de la grâce supernaturelle et de gloire pour eux, aussi. En traitant le mystère de l'incarnation, les mérites spéculatifs ce cette hypothèses vont être discuté.

Présentement, la plausibilité de ce point de vu peut être assumé. Ensuite la conséquence va nécessairement s'en suivre que les anges devaient adorer, en tant que leur Dieu, le Fils de l'homme présenté ainsi à eux sous forme humaine. D'autant plu dans le porteur de la nature humaine, dans un homme, ils furent obliger de reconnaître et de révérer la source de la grâce et de la gloire voulu pour eux, ainsi que ceux d'entre eux qui demeurèrent fidèle ont dû plutard, selon l'Apôtre, adorer le premier-né lors de Son entré dans le monde.

Bien sûr, ceci fut potentiellement une grande humiliation pour les anges. Élevés tel qu'ils étaient de par la nature haut audessus de l'homme, il avant tout de même de le considéré si sensiblement préféré à eux que la nature humaine fut élevé au-dessus de leur propre dignité. Ils devaient reconnaître que malgré de leurs perfections naturelles sublimes ils n'avaient pas le droit à la divine position de "filseté", et qu'il pourraient être des membres de la maisonné de Dieu seulement en tant qu'étrangers qui ont été reçun avec de la gracieuse condéscendance. En outre, ils devaient se contenter que le seul-engendré de Dieu, qui selon sa volonté leur communique à eux Sa divine dignité, mais a érigé le trône de Sa grâce dans la nature humaine qui fut si endessus de la leur, et qui répenderait les raoyons de Sa gloire divine à eux de ce plus-basse classe. De plus, ils devaient remercier Dieu de savoir unifié Lui-même d'une façon si itime avec l'humanité, d'y avoir situer là le fils de la grâce, et pour l'avoir choisi comme étant le point central de l'univers.

Le péché des anges peut-il être mieux expliqué de façon naturelle, et le malice de leur insurrection réprésenté plus profondément, que dans cette hypothèse? Si un ange, tout spécialement le plus brillant d'entre-eux, Lucifer, devint absorbé dans la contemplation de sa nature glorieuse se voyant lui-même comme étant "la lumière" au lieu d'un porteur de lumière, et conçu l'idé que Dieu préfèrait la nature humaine à sa nature noble, et l'a même fait dépendant sur un homme pour sa propre prérogative la plus élevé et la plus noble, ne saurait-il pas considéré comme étant méprisé par Dieu, son exaltation naturelle ne saurait-elle pas tournée en un amour-propre grièvement blessé, n'aurait-il pas eu une telle valeur pour que Dieu par-dessus sa nature, n'aurait-il pas brûler avec envi au sujet de la race humain préférée, et pardessus tout autre chose, n'aurait-il pas été consommé par haine ingouvernable contre le Fils de l'homme, à qui il devait payer homage, à qui il fut ordonné d'adorer? Nous n'avons pas besoin de proposer, comme des théologiens le font, que Lucifer dans la fièreté ait été aussi loin que de réclâmer l'union hypostatique pour lui-même. Une telle supposition est contraire à toutes vraisemblances; il lui aurait fallu d'abandonner la propre personnalité, tandisque la fièreté est entièrement immergée dans la vanité propre de l'un. Si, comme l'indique les Écritures, Lucifer avait un besoin maladif dans son raisonnement imprudent d'être comme le Plus Élevé et d'y établire sa propre empire contre Lui, l'explication la plus simple devrait retrouvée dans son ressentiment face à l'idée qu'aucune nature créée, et tout spécialement la nature humaine, devrait être exaltée audessus de lui-même et qu'il devrait être assujeti à celle-ci. Le courroux à l'exaltation de la nature humaine, et à l'offense immaginaire envers la sienne, semblerait être la forme originale de la fièreté, qui a aussi inclu l'envie envers les hommes qui furent préférés à lui-même et et de leur tête, le Fils de l'homme, et une rébéllion contre Dieu qui était l'ingénieur de cet arrangement qui était tant hait par lui-même.

Cette théorie tant proposée par les théologiens, qui placent le péché des anges dans l'envi de l'homme, peut être justifier seulement d'après cette hypothèse. Car à sa création, l'homme n'avait pas autrement reçcu d'attributs ou de privilèges capables de suciter l'envi de l'ange autrement que la possibilité de son pouvoir unique de reproduction qui est seulement un attribue que l'homme partage pourtant qu'avec les créatures d'un ordre inférieur. Que ce soit dans l'ordre de la nature ou dans la l'ordre de la grâce; rien ne peut avoir provoquer un tel ressentiment feroce pour l'élévation à la dignité de l'union hypostatique avec le Fils de Dieu, et d'où à la tête et à la royauté audessus des anges. Ce point de vu, pourtant pas travaillé au menu détail, peut être considérer comme prêtant un support positif à la théorie avancée.

Si une telle révélation de l'incarnation de la Parole fournirait à Lucifer et à ses anges l'élan à une rébellion contre Dieu, qui ont préféré se soumettre eux-mêmes à l'un de leurs dans une guerre contre Dieu au lieu de se soumettre à un homme, même s'il était vraiment Dieu, alors le péche revêt un nouveau charactère de malice encore plus terrible et plus épouvantable que ce que l'on a trouvé jusqu'ici. Puisque cette fièreté et cette haine envers Dieu furent occasionnés par l'opposition au mystère de l'amour divin le plus sublime, nous avons ici un enfer venémeurx de malice qui est doublement incompréhensif. La volonté du rebel ne vise pas seulement à se tirer violemment libre de la domination de Dieu; ça s'efforce de façon soutenu et principalement à tuer, à détruire le Fils de Dieu dans sa nature mortelle, humaine, ayant comme conviction que seulement ainsi que la réparation gagner pour l'affront auquel celà recul devant. Le plus montrueux et le plus sombres des crimes, et à la foi le plus inconcevable de tous, le déicide, est le résultat inévitable de la rébellion des anges, et expliquerait la malignité épeurante manifestée dans sa raison d'être.

Ce "mystère de l'iniquité" épouvantable considéré dans son origine devient, à son tour, un phare qui sert à y jeter une lumière sur le subséquent courant du péché en entier. Celà nous permet de voir audedans des profondeur de la haine avec laquelle le diable poursuit l'homme. Satan persécute l'homme non-seulement parce que l'homme est destiné à succéder à la gloire à laquelle il a lui-même perdu, mais beaucoup plus à cause que l'homme est un membre du corps du Fils de Dieu. Il persécute l'humanité à cause de sa tête et représentant fédéral, et en retour il persécute ce dernier parce qu'Il s'est join aux hommes en tant que leur tête dirigeante. Il ne se repose pas ni ne s'arrête jusqu'à ce qu'il a détruit de même la race humaine, jusqu'à ce qu'il ait établi son règne, le rège de la mort sur la Terre, jusqu'à ce qu'il ait entraîné les hommes de façon traîte de lui payer homage à la place de l'Oint du Seigneur, de l'adorer, de lui apporter des offrandes, des offrandes de la mort, d'ignominie, et d'une dégradation la plus profonde. Encore plus férocement persécute-t-il la race humaine dans la personne de ceux qui, après l'incarnation du Christ, se join ses couleurs, et qui cherchent à détruire l'empire de l'enfer dans eux-mêmes et chez les autres; et puisque ce fut une femme, un simple être humain, qui en tant que mère à Dieu-homme devait devenir, dans un très vrai sense, la "Reine des Anges," la haine de l'enfer devait se tourner spécialement contre cette femme, et ainsi contre sa progéniture entière.

Les atrocités affreuses de la paienneté, les sacrifices humains en particuliers, et le cult du vice idiot dans sa forme la plus anormale, comme l'est l'attaque systématique contre la Chrétienneté avec toutes les armes de la fausseté et de la calomnie, ne trouvent-elles pas ainsi leurs pleines expliquations? Les passions des hommes ne les dirigeraient jamais, du moins sur une si grande échelle, les diriger de rager de façon féroce contre eux-mêmes, et d'attaquer l'ornement le plus exalté de leur race; ils peuvent être emmener à une telle passe seulement par la ruse et la tromperie de celui qui les envis. Mais en tenant compte à ses incitations ils peuvent, et le font en réalité, arriver à de tels extréminités que dès que l'incarnation du Fils de Dieu est étendu devant eux, et que la commande de L'adorer en tant que leur Dieu, leur Roi, et la source de leur joie leur est délivrée, ils se mettent en furie, ils s'élèvent contre leur Roi céleste avec de la malice superhumaine, ils se vantent eux-mêmes d'être audessus de Lui, et cherchent à Le détruire avec Son royaume. Ainsi, à leur époque, les Juifs se se joint aux dessein du démon pour le meurtre de Dieu et se sont permis d'être utiliser en tant qu'outils du diable. Au courant des siècles subséquents, les agents de l'enfer ont continués leur subversion vénimeuse avec désespoire puisque le Christ incarné est audelà de leurs poignes, ils poursuivent Son corps mystique avec une frénésie diabolique.

Le scandal dont le mystère du Dieu-homme est aux anges déchus et les hommes qui les suivent résulte dans leur refus d'accepter la vérité de Dieu avec amour et révérence qui sont dûs à Sa Parole, et dans leur rejet de la foi au sens propre de la croyance "volontaire". Mais la mécroyance qui répudie la croyance pour la seule raison que son object sucitte le ressentiment, ne diminue en rien la culpabilité; celà augmente la culpabilité, celà devoile la pleine étendue du malice impliqué dans la persécution le bienfait qui est proposé dans la croyance. La non-croyance peut exuser en partie seulement où de l'incertitude s'y glisse. Puisque la révélation de ce mystère ne s'impose pas sur les hommes avec la même claireté qu'elle le fait avec les anges, spéciallement lorsque les hommes sont induit en erreur par les pouvoirs de l'enfer, la culpabilité et la malice des hommes ne se mesurent jamais à la hauteur de ceux des anges. Pourtant, les hommes peuvent partager dans la malice des diables à un dégré élevé; en fait, la mécroyance moderne est en grande partie une mécroyance démoniaque.

De toute façon, nous ne pouvons pas échaper la conclusion que le mystère de l'iniquité s'est, au fil du temps, formé en tant que haine formelle et en conflit contre le mystère de l'Incarnation, et donc que cet abyme de sa malice ne peut être saisie qu'uniquement en termes de ce mystère. Puisque que le malice qui est occasionné est de façon essentielle plus odieuse qu'aucune autre, et nous ne pouvons pas facilement supposer que le prince de la noirceur négligerait de poser ces fondation sur le roc du mal en y établissant son royaume, qu'est ce qui est plus naturel que la supposition que dès le tout début, qu'il aurait désiré d'établir son royaume en opposition direct d'avec le royaume du Fils de Dieu fait homme?

Quelle que soit la façon nous proposons cette théorie entière sur la question de l'origine et l'histoire du péché, elle est offerte seulement pour ce qu'elle vaut, comme une opinion théologique sérieuse qui n'est pas sévèrement déductible des données de la révélation, mais qui a une probabilité intrinsique forte. Quelque soit la manière avec laquelle le péché s'est manifesté en premier parmis les esprits du ciel, nous tenons comme certitude de la révélation Biblique qu'il est provenu de ce domaine, et le mistère de l'iniquité est descendu des anges aux hommes, et de par lui, que le mystère a été transmi à l'entièreté de la race humaine avec des conséquences désastrueuses. Au courant de l'histoire, Satan et son "nouvel ordre mondial" ont essayé d'empêcher les hommes de voir le Christ et d'entrer en union avec Lui et d'établir le Royaume de Dieu sur Terre.

Répondre
  • Sujets similaires
    Réponses
    Vues
    Dernier message

Retourner vers « Sciences et Religions »

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 70 invités