À la fille de mon peuple
Posté : 05 janv.08, 00:33
Une vision...un message...
Alors que j'approche, avec mes compagnons, devant le lieu d'une maison qu'ils avaient ruiné dans le passé. Je le sais car ils ont dit, mes oreilles l'entendant, allons voir ce qu'ils ont reconstruit sur les ruines de la maison que nous avons détruit. Et arrivé devant le lieu, ils disent : il y mieu valu que nous ne les laissions pas reconstruire sur ces ruines.
Et je m'avancai pour voir de plus près. Voici, une construction peu soigné, le désordre partout, pas de finition extérieur, des fenêtres fermé avec du plastique, je vous dis; personne voudrait vivre dans un lieu semblable avant d'avoir tout refait. Je m'approche de la fenêtre pour voir un peu l'intérieur, mais j'entrevois la forme d'un homme, sans le voir distinctement à cause de l'opacité du plastique, je me recule imédiatement afin de ne pas être vu.
Me reculant, j'apperçoi une enfant courrant comme pour se sauver de la maison, sitôt je l'attrape par le bras et la monte jusque dans mes bras. Elle a peur, je lui dit : ne craint pas, je ne te ferai aucun mal. Elle est rassuré et plus confiante.
Et la déposant par terre, devant moi, en ayant les deux mains sur le côté de ses épaules, je lui dit : Tu devras supporter l'injustice de ceux-ci, ceux de la maison, encore un peu de temps, et à la fin ils comprendront, et toi tu seras consolé. Et là, avec elle, je pleure un peu.
Me réveillant, effrayé, inquiet et émerveillé de la puissance de cette vision, tout de suite je dis, soucieux : La fille de mon peuple!
Amen! Seigneur, à l'accomplissement de ton oeuvre.
JP
Alors que j'approche, avec mes compagnons, devant le lieu d'une maison qu'ils avaient ruiné dans le passé. Je le sais car ils ont dit, mes oreilles l'entendant, allons voir ce qu'ils ont reconstruit sur les ruines de la maison que nous avons détruit. Et arrivé devant le lieu, ils disent : il y mieu valu que nous ne les laissions pas reconstruire sur ces ruines.
Et je m'avancai pour voir de plus près. Voici, une construction peu soigné, le désordre partout, pas de finition extérieur, des fenêtres fermé avec du plastique, je vous dis; personne voudrait vivre dans un lieu semblable avant d'avoir tout refait. Je m'approche de la fenêtre pour voir un peu l'intérieur, mais j'entrevois la forme d'un homme, sans le voir distinctement à cause de l'opacité du plastique, je me recule imédiatement afin de ne pas être vu.
Me reculant, j'apperçoi une enfant courrant comme pour se sauver de la maison, sitôt je l'attrape par le bras et la monte jusque dans mes bras. Elle a peur, je lui dit : ne craint pas, je ne te ferai aucun mal. Elle est rassuré et plus confiante.
Et la déposant par terre, devant moi, en ayant les deux mains sur le côté de ses épaules, je lui dit : Tu devras supporter l'injustice de ceux-ci, ceux de la maison, encore un peu de temps, et à la fin ils comprendront, et toi tu seras consolé. Et là, avec elle, je pleure un peu.
Me réveillant, effrayé, inquiet et émerveillé de la puissance de cette vision, tout de suite je dis, soucieux : La fille de mon peuple!
Amen! Seigneur, à l'accomplissement de ton oeuvre.
JP