Religions du monde :: forum religion

D'après un dictionnaire traitant de la Bible et ses origines:

Citation: “La forme de la ‘croix’, deux poutres à angle droit, a son origine dans l’antique Chaldée; elle était employée comme symbole du dieu Tammouz (étant en forme de Tau mystique, initiale de son nom) dans ce pays et dans les pays limitrophes, y compris l’Égypte.

si vous désirez savoir le lien entre ce dieu et la croix que l'on connait dans la religion catholique. n'hesistez à me le faire savoir!

Tout le monde sait bien que la croix c'est païen catho
et que le poteau de suplice c'est la Watch tower

Que si on le sait, en plus, c'est grave, de rester sans se convertir !

C'est pourquoi j'ai choisi le poisson des évangélistes

J'aime beaucoup ta compréhension de ces symboles et ça me donne à réfléchir.
Je n'ai pas tout à fait la sensibilité évangélique (peut-être encore petit dans la foi, méfiance de la tropgde crédulité, peur des extrêmisme de la foi aveugle..et j'ai du mal avec le prosélytisme). Non pas que tous ces ingrédients soient dans tous les mouvements évangéliques mais on en retrouvent certains. Je ne les condamen pas, mais je me préfère une foi dans le recueillement, l'usage de la raison et parfois...du doute.
Je pense qu'il n'y a pas qu'une catégorie de croyants sincères et justifié, tout comme il y a des millions de témoignages de foi différents.
J'imagine le Divin bien moins dogmatique que nos consciences;

Mais l' ichtus est un beau symbole, cependant la croix a beau être païenne, nous ne la sacralisons pas pour ça. Quand bien même, vénérer un instrument de torture aurait effrayé les premiers chrétiens.
Le crucifix catho (je l'ai été) est un beau symbole de la souffrance christique (mais pour moi est abolie donc pas nécéssaire d'être représentée).
La croix simple, peut-être une idée d'un Jésus triomphant, ne s'y trouvant plus.
Mon explication est bien laborieuse ce matin, mais je pense qu'un symbole accepte beaucoup de définition. A chacun de voir si c'est une bonne chose ou un usage trop permissif.