Les mamans en islam
Posté : 18 juin09, 23:30
Salam,
voilà un texte traduit en français d'une conférence de Amr khaled qui entame le sujet de la maman en Islam, lisez bien ils très important pour ceux qui ignorent que la femme est très importante en Islam.
Au nom d’Allah le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Louange à Allah Seigneur de l'Univers, et que la Bénédiction et le Salut d’Allah soient accordés à notre maître, le Messager d’Allah.
Aujourd’hui nous allons parler de la mère, non pas de ses responsabilités mais de sa valeur. Que chacun vive cet instant avec l’évocation de sa mère, combien elle nous est chère, et combien le titre de « mère » rend la femme précieuse pour Allah (SWT).
Dans cette émission nous ne cherchons pas à résoudre les problèmes de chaque famille, mais nous tentons de revenir aux principes essentiels sur lesquels repose la famille afin de partir d’un bon pied et sur une base saine pour réformer nos familles. Le principe dont nous parlons aujourd’hui est la grande valeur de la mère.
Quel titre plus attachant, plus glorieux, plus beau que celui de mère, après le titre de prophète bien sûr ?! Aucun titre au monde n’a son pareil…
Ar-Rahman, Ar-Rahim, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux, c’est l’un des plus beaux Noms d’Allah, par lequel débutent les sourates du Coran, et sans lequel nous ne pourrions vivre. Or Allah (SWT) lorsqu’il créa la miséricorde la créa en 100 parts ; il en fit descendre une sur terre et conserva auprès de Lui jusqu’au Jour de la Résurrection 99 parts. Le Jour de la Résurrection, Allah (SWT) joindra cette part aux 99 autres et les étendra sur ses créatures.
Cette part de miséricorde sur Terre est bien visible lorsqu’on contemple les mères.
Le Prophète, face au spectacle d’une mère portant son enfant avec un soin extrême, s’adressa à ses compagnons et leur dit : « Pouvez-vous imaginer que cette mère jette son enfant au feu ? » Ils répondirent : « Non, ô Messager d’Allah ». Alors le Prophète (BP sur lui) reprit : « Allah est plus miséricordieux envers vous que cette mère envers son enfant. » Le Prophète (BP sur lui) semble ainsi nous dire que la mère incarne la miséricorde sur terre. Et elle nous permet d’imaginer les 99 parts de miséricordes auprès d’Allah. Ainsi en devenant mère, la femme devient un des signes manifestes de la miséricorde divine.
Pour ressentir la miséricorde divine, rapproche-toi de ta mère. Certes, les signes de la miséricorde divine sont nombreux autour de nous, le soleil, la pluie… mais ce sont des signes muets. Par contre la mère est une incarnation vivante et bien présente parmi nous de la miséricorde divine. C’est cette miséricorde qu’Allah a placée en chaque mère qui lui fait accomplir des tâches qui paraissent impossible à accomplir à tout autre qu’elle. Depuis la grossesse, lorsque le foetus puise dans les réserves de la mère pour se nourrir et se former, la miséricorde de la mère envers son enfant est manifeste. C’est pourquoi dès les débuts de l’accouchement, ses mauvaises actions sont entièrement pardonnées.
Pendant la prière en congrégation, le Prophète (BP sur lui) terminait rapidement la prière quand il entendait les pleurs d’un enfant, par tendresse et miséricorde envers le cœur de la mère de l’enfant.
A l’époque de Dawoûd (David) et Salaïmane (Salomon), un loup a dévoré l’un des deux enfants nouveaux-nés dans un village. Chaque mère prétendit que l’enfant sauf était le sien. Elles prirent alors Dawoûd pour arbitre pour régler leur différend et celui-ci jugea en faveur de la plus âgée qui réussit à le convaincre avec ses pleurs et ses jurements. Mais Solaïman eut une idée pour découvrir la vérité, il prit un couteau et déclara d’un ton sans réplique qu’il allait couper l’enfant en deux pour ensuite donner une moitié à chacune d’entre elles ; aussitôt, l’une des femmes protesta vivement en lui disant : « Qu’Allah te fasse miséricorde ! C’est son fils ! » Alors Solaïman sut qu’elle était la mère de l’enfant, car il reconnut la tendresse et la miséricorde dans le cœur de cette mère.
La rétribution de la mère pour l’éducation de son enfant est immense puisque c’est la rétribution du jeûneur qui passe la nuit en prière.
Le Coran ne manque pas d’enregistrer l’une des scènes les plus significatives de la miséricorde de la mère, l’allaitement de son enfant, lorsqu’il dit – ce qui peut être traduit par : « Et Nous révélâmes à la mère de Moïse [ceci]: «Allaite-le »[1] (TSC)[2].
Etre mère est un fait reconnaissable dans les livres célestes divins. C’est ce qu’a dit Allah à une mère craignant de perdre son enfant : l’histoire de Moise et de sa mère. C’est très important et ça mérite d’être cité aussi dans le Coran. Cela témoigne d’une pitié extraordinaire, d’une compassion sans égale, c’est en fait un aspect, une fraction de la miséricorde d’Allah (SWT) sur terre.
Ainsi, la règle d’or d’aujourd’hui est que « Tu es si chère ma mère ». Et par la même occasion, j’aimerai bien dire une chose, une idée inhabituelle, bien qu’elle ne soit pas nouvelle : c’est que « Toi ma mère, tu es une source de vie ».
N’est-ce pas qu’Allah a crée Adam et Eve de ses propres mains et qu’Il a assuré la continuité du genre (de l’espèce humaine) par cet acte d’accouplement et de reproduction (procréation). La mère porte dans son utérus les spermatozoïdes en quête d’un ovule pour sa fécondation et pour aboutir au bout de l’accouchement à un nouveau né. C’est une mission grandiose et extrêmement valorisante pour la maman d’assurer la continuité du genre, de l’être humain. Certes, « Tu es si chère ma mère».
Cette idée est toujours vivante, on l’aperçoit et on la ressent chaque mois au moment de la période des règles de la femme ; toujours un ovule, toujours des hormones et toujours des douleurs. Les règles ne devraient pas représenter un signe d’infériorité ou d’humiliation. C’est un aboutissement normal et très honorable d’un processus de procréation visant la continuité de l’être humain. Auparavant, les juifs de Médine considéraient impure toute chose touchée par la femme en période des règles. Le prophète Mohammed (BP sur lui) a fini par démentir par les paroles et par les actes cette vision d’ingratitude vis-à-vis de la femme. Il (BP sur lui) lisait le noble Coran entre les mains de sa femme Aicha en sa période des règles. Il (BP sur lui) buvait juste après elle, en suivant l’emprunte de ces lèvres sur le verre. Une fois, Il demanda à sa femme Umm Salama de lui faire passer une chose. Elle hésita de la toucher sous prétexte qu’elle était en règles. Le prophète lui dit que les règles n’étaient pas dans ses mains ! Tout cela afin de transmettre un message, changer une mentalités et corriger un concept : la femme n’est pas impure, n’est pas intouchable durant la période des règles. Qui oserait dire après que l’islam a humilié la femme !?
Dans le même ordre d’idée, on dit abusivement que les femmes sont déficientes en matière de prescriptions religieuses. C’est seulement une déficience de nombre et pas de genre. Certes, la femme ne fait pas la prière et ne peut jeûner en période des règles, mais la rétribution n’est pas pour autant réduite puisque tout en étant en mission le fardeau est en contrepartie allégé par pitié et par équité et justice ; sa mission universelle est d’assurer la continuité de l’être humain, et c’est grandiose. Et encore une fois, qui oserait dire que l’islam a opprimé la femme !?
J’aimerai donner conseil aux filles : Allah vous a créées pour être mères, soyez en fières. Ne soyez pas éblouies et emportées par les mensonges de l’occident qui veut vous faire croire que la liberté et la modernité résident dans le désengagement de votre noble mission d’être mères et de tisser des liens de compassion au sein d’une famille. L’occident a enfin réalisé qu’il a eu tort, et il en souffre maintenant. Il cherche par tous les moyens à encourager les jeunes filles à former une famille et à devenir mères. Il est en vogue dans les médias de prendre des photos de vedettes enceintes en espérant que ces ‘‘idoles’’ serviront d’exemples à imiter.
Attention, ne gâchez pas ce dont vous avez besoin pour devenir mère, évitez de nouer ou de vous marier de façon prohibée et illégale.
La personnalité d’une maman est innée depuis la naissance de la fille. C’est une prédisposition naturelle depuis le bas âge, érigée d’une affection qui atteindra son apogée au moment de la grossesse.
Ce sentiment est prématurément constaté chez la petite fille qui prend soin de sa poupée, la coiffe, l’habille et l’assimile à son petit enfant.
Encore une fois, l’occident a tenté d’ignorer cette spécificité en abolissant les frontières entre ce qui est réservé aux garçons et ce qui est destiné aux filles, ce qui est strictement pour les hommes et ce qui est spécialement féminin. Ils prétendent que tout est bon pour tous les deux. Ils vont même jusqu’à vouloir renverser les rôles, les hommes au foyer pour garder et veiller sur les enfants et les femmes au travail à l’extérieur. Le fait est que la science et la médecine ont prouvé que chaque genre a ses propres caractéristiques et ne peut en aucune manière mener une vie saine et normale s’il s’en détache.
Imaginez quel serait le devenir de l’humanité s’il n’y avait pas de mère prédisposée à entourer son enfant, fragile et vulnérable, d’affection et de tendresse ; il n’y aura plus de descendants, et donc l’extinction inéluctable de l’être humain.
Elle est la seule capable de décoder ses cris, elle est extrêmement patiente à l’égard de son enfant, , elle devient féroce une fois ses enfants menacés et elle est bien veillante et rationnelle dans la gestion du budget alloué par son mari ; elle porte le secret d’Allah pour être ainsi tenace et affective.
Nos mères représentent bel et bien un modèle vivant, sur terre, de la miséricorde d’Allah. Elles sont si chères. Inclinons-nous devant elles pour les saluer et prendre leurs mains avec pitié, soumission et obéissance.
voilà un texte traduit en français d'une conférence de Amr khaled qui entame le sujet de la maman en Islam, lisez bien ils très important pour ceux qui ignorent que la femme est très importante en Islam.
Au nom d’Allah le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Louange à Allah Seigneur de l'Univers, et que la Bénédiction et le Salut d’Allah soient accordés à notre maître, le Messager d’Allah.
Aujourd’hui nous allons parler de la mère, non pas de ses responsabilités mais de sa valeur. Que chacun vive cet instant avec l’évocation de sa mère, combien elle nous est chère, et combien le titre de « mère » rend la femme précieuse pour Allah (SWT).
Dans cette émission nous ne cherchons pas à résoudre les problèmes de chaque famille, mais nous tentons de revenir aux principes essentiels sur lesquels repose la famille afin de partir d’un bon pied et sur une base saine pour réformer nos familles. Le principe dont nous parlons aujourd’hui est la grande valeur de la mère.
Quel titre plus attachant, plus glorieux, plus beau que celui de mère, après le titre de prophète bien sûr ?! Aucun titre au monde n’a son pareil…
Ar-Rahman, Ar-Rahim, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux, c’est l’un des plus beaux Noms d’Allah, par lequel débutent les sourates du Coran, et sans lequel nous ne pourrions vivre. Or Allah (SWT) lorsqu’il créa la miséricorde la créa en 100 parts ; il en fit descendre une sur terre et conserva auprès de Lui jusqu’au Jour de la Résurrection 99 parts. Le Jour de la Résurrection, Allah (SWT) joindra cette part aux 99 autres et les étendra sur ses créatures.
Cette part de miséricorde sur Terre est bien visible lorsqu’on contemple les mères.
Le Prophète, face au spectacle d’une mère portant son enfant avec un soin extrême, s’adressa à ses compagnons et leur dit : « Pouvez-vous imaginer que cette mère jette son enfant au feu ? » Ils répondirent : « Non, ô Messager d’Allah ». Alors le Prophète (BP sur lui) reprit : « Allah est plus miséricordieux envers vous que cette mère envers son enfant. » Le Prophète (BP sur lui) semble ainsi nous dire que la mère incarne la miséricorde sur terre. Et elle nous permet d’imaginer les 99 parts de miséricordes auprès d’Allah. Ainsi en devenant mère, la femme devient un des signes manifestes de la miséricorde divine.
Pour ressentir la miséricorde divine, rapproche-toi de ta mère. Certes, les signes de la miséricorde divine sont nombreux autour de nous, le soleil, la pluie… mais ce sont des signes muets. Par contre la mère est une incarnation vivante et bien présente parmi nous de la miséricorde divine. C’est cette miséricorde qu’Allah a placée en chaque mère qui lui fait accomplir des tâches qui paraissent impossible à accomplir à tout autre qu’elle. Depuis la grossesse, lorsque le foetus puise dans les réserves de la mère pour se nourrir et se former, la miséricorde de la mère envers son enfant est manifeste. C’est pourquoi dès les débuts de l’accouchement, ses mauvaises actions sont entièrement pardonnées.
Pendant la prière en congrégation, le Prophète (BP sur lui) terminait rapidement la prière quand il entendait les pleurs d’un enfant, par tendresse et miséricorde envers le cœur de la mère de l’enfant.
A l’époque de Dawoûd (David) et Salaïmane (Salomon), un loup a dévoré l’un des deux enfants nouveaux-nés dans un village. Chaque mère prétendit que l’enfant sauf était le sien. Elles prirent alors Dawoûd pour arbitre pour régler leur différend et celui-ci jugea en faveur de la plus âgée qui réussit à le convaincre avec ses pleurs et ses jurements. Mais Solaïman eut une idée pour découvrir la vérité, il prit un couteau et déclara d’un ton sans réplique qu’il allait couper l’enfant en deux pour ensuite donner une moitié à chacune d’entre elles ; aussitôt, l’une des femmes protesta vivement en lui disant : « Qu’Allah te fasse miséricorde ! C’est son fils ! » Alors Solaïman sut qu’elle était la mère de l’enfant, car il reconnut la tendresse et la miséricorde dans le cœur de cette mère.
La rétribution de la mère pour l’éducation de son enfant est immense puisque c’est la rétribution du jeûneur qui passe la nuit en prière.
Le Coran ne manque pas d’enregistrer l’une des scènes les plus significatives de la miséricorde de la mère, l’allaitement de son enfant, lorsqu’il dit – ce qui peut être traduit par : « Et Nous révélâmes à la mère de Moïse [ceci]: «Allaite-le »[1] (TSC)[2].
Etre mère est un fait reconnaissable dans les livres célestes divins. C’est ce qu’a dit Allah à une mère craignant de perdre son enfant : l’histoire de Moise et de sa mère. C’est très important et ça mérite d’être cité aussi dans le Coran. Cela témoigne d’une pitié extraordinaire, d’une compassion sans égale, c’est en fait un aspect, une fraction de la miséricorde d’Allah (SWT) sur terre.
Ainsi, la règle d’or d’aujourd’hui est que « Tu es si chère ma mère ». Et par la même occasion, j’aimerai bien dire une chose, une idée inhabituelle, bien qu’elle ne soit pas nouvelle : c’est que « Toi ma mère, tu es une source de vie ».
N’est-ce pas qu’Allah a crée Adam et Eve de ses propres mains et qu’Il a assuré la continuité du genre (de l’espèce humaine) par cet acte d’accouplement et de reproduction (procréation). La mère porte dans son utérus les spermatozoïdes en quête d’un ovule pour sa fécondation et pour aboutir au bout de l’accouchement à un nouveau né. C’est une mission grandiose et extrêmement valorisante pour la maman d’assurer la continuité du genre, de l’être humain. Certes, « Tu es si chère ma mère».
Cette idée est toujours vivante, on l’aperçoit et on la ressent chaque mois au moment de la période des règles de la femme ; toujours un ovule, toujours des hormones et toujours des douleurs. Les règles ne devraient pas représenter un signe d’infériorité ou d’humiliation. C’est un aboutissement normal et très honorable d’un processus de procréation visant la continuité de l’être humain. Auparavant, les juifs de Médine considéraient impure toute chose touchée par la femme en période des règles. Le prophète Mohammed (BP sur lui) a fini par démentir par les paroles et par les actes cette vision d’ingratitude vis-à-vis de la femme. Il (BP sur lui) lisait le noble Coran entre les mains de sa femme Aicha en sa période des règles. Il (BP sur lui) buvait juste après elle, en suivant l’emprunte de ces lèvres sur le verre. Une fois, Il demanda à sa femme Umm Salama de lui faire passer une chose. Elle hésita de la toucher sous prétexte qu’elle était en règles. Le prophète lui dit que les règles n’étaient pas dans ses mains ! Tout cela afin de transmettre un message, changer une mentalités et corriger un concept : la femme n’est pas impure, n’est pas intouchable durant la période des règles. Qui oserait dire après que l’islam a humilié la femme !?
Dans le même ordre d’idée, on dit abusivement que les femmes sont déficientes en matière de prescriptions religieuses. C’est seulement une déficience de nombre et pas de genre. Certes, la femme ne fait pas la prière et ne peut jeûner en période des règles, mais la rétribution n’est pas pour autant réduite puisque tout en étant en mission le fardeau est en contrepartie allégé par pitié et par équité et justice ; sa mission universelle est d’assurer la continuité de l’être humain, et c’est grandiose. Et encore une fois, qui oserait dire que l’islam a opprimé la femme !?
J’aimerai donner conseil aux filles : Allah vous a créées pour être mères, soyez en fières. Ne soyez pas éblouies et emportées par les mensonges de l’occident qui veut vous faire croire que la liberté et la modernité résident dans le désengagement de votre noble mission d’être mères et de tisser des liens de compassion au sein d’une famille. L’occident a enfin réalisé qu’il a eu tort, et il en souffre maintenant. Il cherche par tous les moyens à encourager les jeunes filles à former une famille et à devenir mères. Il est en vogue dans les médias de prendre des photos de vedettes enceintes en espérant que ces ‘‘idoles’’ serviront d’exemples à imiter.
Attention, ne gâchez pas ce dont vous avez besoin pour devenir mère, évitez de nouer ou de vous marier de façon prohibée et illégale.
La personnalité d’une maman est innée depuis la naissance de la fille. C’est une prédisposition naturelle depuis le bas âge, érigée d’une affection qui atteindra son apogée au moment de la grossesse.
Ce sentiment est prématurément constaté chez la petite fille qui prend soin de sa poupée, la coiffe, l’habille et l’assimile à son petit enfant.



Encore une fois, l’occident a tenté d’ignorer cette spécificité en abolissant les frontières entre ce qui est réservé aux garçons et ce qui est destiné aux filles, ce qui est strictement pour les hommes et ce qui est spécialement féminin. Ils prétendent que tout est bon pour tous les deux. Ils vont même jusqu’à vouloir renverser les rôles, les hommes au foyer pour garder et veiller sur les enfants et les femmes au travail à l’extérieur. Le fait est que la science et la médecine ont prouvé que chaque genre a ses propres caractéristiques et ne peut en aucune manière mener une vie saine et normale s’il s’en détache.
Imaginez quel serait le devenir de l’humanité s’il n’y avait pas de mère prédisposée à entourer son enfant, fragile et vulnérable, d’affection et de tendresse ; il n’y aura plus de descendants, et donc l’extinction inéluctable de l’être humain.
Elle est la seule capable de décoder ses cris, elle est extrêmement patiente à l’égard de son enfant, , elle devient féroce une fois ses enfants menacés et elle est bien veillante et rationnelle dans la gestion du budget alloué par son mari ; elle porte le secret d’Allah pour être ainsi tenace et affective.
Nos mères représentent bel et bien un modèle vivant, sur terre, de la miséricorde d’Allah. Elles sont si chères. Inclinons-nous devant elles pour les saluer et prendre leurs mains avec pitié, soumission et obéissance.