La définition de NAZARA (partisans du Massih) en Islam
Posté : 22 août14, 20:19
Les chrétiens sont nommés dans le Qur'an al Hakim: NAZARA.
Que signifie ce terme? Il est lié à la Yahoudate aussi (Torat).
Wikipédia:
Le nazir (en hébreu : נזיר), nazirite, nazarite, nazarien ou naziréen1 est une personne qui, selon la Bible hébraïque, fait vœu d’ascétisme suivant une prescription décrite au Livre des Nombres (Nb 6. 1-21). Le mot nazir vient d'un mot hébreu qui signifie « consacré » ou « séparé ».
Le nazir est une personne, homme ou femme, qui se consacre à Dieu pendant une période de temps déterminée, durant laquelle elle s'engage à rester en état de pureté. Le vœu est volontairement exprimé pour trente jours. Pendant ce temps, le nazir s'abstient de boire du vin ou de toute autre boisson alcoolisée, de tirer profit d'un produit de la vigne, de se couper les cheveux, ou d'approcher un cadavre, même celui d'un membre de sa propre famille. Si, pour une raison ou l'autre, le nazir contracte une impureté par contact avec un cadavre, la Bible comporte une prescription de purification : se raser le crâne, attendre sept jours et, le huitième, apporter deux tourterelles et deux pigeons au prêtre comme offrande d'expiation pour le péché d'impureté. Le vœu peut dès lors recommencer.
La période de vœu accomplie, le nazir doit apporter une brebis et un bélier en offrande au Temple, se raser le crâne et brûler ses cheveux sur l'autel ; il peut alors boire du vin et retourner à la vie normale2.
Le vœu du nazir est souvent prononcé en remerciement, par exemple pour un rétablissement de santé, ou pour la naissance d'un enfant, ou simplement comme acte de purification spirituelle. Les rabbins décourageaient le vœu de naziréat, tout comme d'autres pratiques d'ascèse3 ; selon eux, les lois du naziréat s'appliquaient uniquement en Terre d'Israël et, plus précisément, seulement quand les prêtres officiaient au Temple. On a relevé cependant des cas en diaspora.
Si le naziréat engage le plus souvent pour une période limitée, la Bible mentionne deux cas de naziréat à vie : Samson4, consacré à Dieu dès avant sa conception et habité par l’esprit de sainteté aussi longtemps qu’il demeure dans son naziréat, et Samuel5. Le statut du nazir à vie était différent en ce que l'interdiction de tout contact avec un cadavre ne s'appliquait pas à lui. Ce sujet est développé dans le traité Nazir de la Mishna1.
Écrivant au ier siècle, Flavius Josèphe évoque encore cette tradition dans ses Antiquités judaïques6.
En hébreu moderne, par un phénomène de glissement sémantique, le mot « nazir » est couramment employé pour désigner un moine, qu'il soit chrétien.
Le verbe hébreu correspondant à cette racine est נזר (nâzar) qui, suivant le mode, signifie « séparer » (dix occurrences bibliques) ou « consacrer », c’est-à-dire « séparer au profit de la divinité » (douze occurrences). L'acteur de cette consécration est un nazir, נז(י)ר (seize occurrences dans la Bible hébraïque, la première en Genèse 49, 26). Si le juge danite Samson fut consacré à Dieu dès (avant) la naissance (Jg 13. 6-24), la plupart de celles et ceux qui s'engageaient volontairement dans le nazirat le faisaient pour une période limitée, fixée par elle ou lui au préalable (voir Deutéronome).
Le Livre des Nombres (Nb 6. 1-21) précise la loi applicable aux nazirs :
« YHWH dit à Moïse :
[…] Si un homme ou une femme formule le vœu d'être nazir en l'honneur de l'Éternel,
il s'abstiendra de vin et de boissons alcoolisées, il ne boira non plus ni vinaigre ni vinaigre d'alcool […] il ne mangera ni raisins frais ni raisins secs. […] ni même peaux de raisins… […].
[…] le rasoir ne passera pas sur sa tête ; […]
Pendant tous les jours qu'il a mis à part pour YHWH, il ne s'approchera pas d'un mort7 ».
Au début de l'ère commune, ces prescriptions étaient toujours en vigueur chez les Juifs et, bien que semblant suivies par un nombre restreint de personnes, l'étaient avec rigueur : dans les familles pieuses, l'un des enfants devait être nazir. Était nazir, en général, le premier-né, fille ou garçon. Il l'était pour une période plus ou moins longue, à vrai dire tant qu'il n'avait pas révoqué ce vœu. Si l'aîné refusait ou ne pouvait pas, le suivant prenait la relève et ainsi de suite, car ce vœu impliquait de nombreuses obligations : se vêtir de blanc, n'absorber ni vin, ni viande, ne pas porter de cuir, ne pas se couper cheveux et ongles, ne pas forniquer, ne pas commettre de violence en actes ou en paroles, etc.[réf. nécessaire]
Cette prescription particulièrement contraignante pour des gens jeunes ou même d'âge mûr (surtout sur la durée), énoncée à Moïse, semble avoir régressé, au cours des siècles, au rang de simple coutume, plus ou moins délaissée au fil du temps (pour prendre un exemple, un peu comme aujourd'hui les processions religieuses).
Voici ce que dit wikipédia sur le NAZIR,
Les seuls partisans du Massih Aïssa ben Mariam, ben Daoud ben Imran sont en fait ceux qui font voeu d'ascétisme total comme le Messih (Messie). C'est pourquoi Allah nomme les chrétiens NAZARA. Cela ne vient pas de NAZARETH, c'est faux! Mais du Messih qui est lui-même un NAZIR.
Dans la Yahoudate (torat), le Massih ben Daoud (Aissa ben Mariam) devait être ainsi:
- jeûner comme Daoud, un jour sur deux, tous les jours de l'année,
- rester prosterné un maximum dans le Masjid (Temple) pour Allah,
- verser la saddaqa,
- mûrir sa formation de la torat et son exégèse (injil) par étude intensive.
- etc.
Le Messih doit ramener la TSHEKHINAH (présence divine) dans le Temple et pour son peuple et l'humanité.
Mais c'est trop tard pour les juifs, ils n'ont pas cru en lui et se moquent de lui, l'insultent, il le refera pour ceux qui le suivent vraiment.
Que signifie ce terme? Il est lié à la Yahoudate aussi (Torat).
Wikipédia:
Le nazir (en hébreu : נזיר), nazirite, nazarite, nazarien ou naziréen1 est une personne qui, selon la Bible hébraïque, fait vœu d’ascétisme suivant une prescription décrite au Livre des Nombres (Nb 6. 1-21). Le mot nazir vient d'un mot hébreu qui signifie « consacré » ou « séparé ».
Le nazir est une personne, homme ou femme, qui se consacre à Dieu pendant une période de temps déterminée, durant laquelle elle s'engage à rester en état de pureté. Le vœu est volontairement exprimé pour trente jours. Pendant ce temps, le nazir s'abstient de boire du vin ou de toute autre boisson alcoolisée, de tirer profit d'un produit de la vigne, de se couper les cheveux, ou d'approcher un cadavre, même celui d'un membre de sa propre famille. Si, pour une raison ou l'autre, le nazir contracte une impureté par contact avec un cadavre, la Bible comporte une prescription de purification : se raser le crâne, attendre sept jours et, le huitième, apporter deux tourterelles et deux pigeons au prêtre comme offrande d'expiation pour le péché d'impureté. Le vœu peut dès lors recommencer.
La période de vœu accomplie, le nazir doit apporter une brebis et un bélier en offrande au Temple, se raser le crâne et brûler ses cheveux sur l'autel ; il peut alors boire du vin et retourner à la vie normale2.
Le vœu du nazir est souvent prononcé en remerciement, par exemple pour un rétablissement de santé, ou pour la naissance d'un enfant, ou simplement comme acte de purification spirituelle. Les rabbins décourageaient le vœu de naziréat, tout comme d'autres pratiques d'ascèse3 ; selon eux, les lois du naziréat s'appliquaient uniquement en Terre d'Israël et, plus précisément, seulement quand les prêtres officiaient au Temple. On a relevé cependant des cas en diaspora.
Si le naziréat engage le plus souvent pour une période limitée, la Bible mentionne deux cas de naziréat à vie : Samson4, consacré à Dieu dès avant sa conception et habité par l’esprit de sainteté aussi longtemps qu’il demeure dans son naziréat, et Samuel5. Le statut du nazir à vie était différent en ce que l'interdiction de tout contact avec un cadavre ne s'appliquait pas à lui. Ce sujet est développé dans le traité Nazir de la Mishna1.
Écrivant au ier siècle, Flavius Josèphe évoque encore cette tradition dans ses Antiquités judaïques6.
En hébreu moderne, par un phénomène de glissement sémantique, le mot « nazir » est couramment employé pour désigner un moine, qu'il soit chrétien.
Le verbe hébreu correspondant à cette racine est נזר (nâzar) qui, suivant le mode, signifie « séparer » (dix occurrences bibliques) ou « consacrer », c’est-à-dire « séparer au profit de la divinité » (douze occurrences). L'acteur de cette consécration est un nazir, נז(י)ר (seize occurrences dans la Bible hébraïque, la première en Genèse 49, 26). Si le juge danite Samson fut consacré à Dieu dès (avant) la naissance (Jg 13. 6-24), la plupart de celles et ceux qui s'engageaient volontairement dans le nazirat le faisaient pour une période limitée, fixée par elle ou lui au préalable (voir Deutéronome).
Le Livre des Nombres (Nb 6. 1-21) précise la loi applicable aux nazirs :
« YHWH dit à Moïse :
[…] Si un homme ou une femme formule le vœu d'être nazir en l'honneur de l'Éternel,
il s'abstiendra de vin et de boissons alcoolisées, il ne boira non plus ni vinaigre ni vinaigre d'alcool […] il ne mangera ni raisins frais ni raisins secs. […] ni même peaux de raisins… […].
[…] le rasoir ne passera pas sur sa tête ; […]
Pendant tous les jours qu'il a mis à part pour YHWH, il ne s'approchera pas d'un mort7 ».
Au début de l'ère commune, ces prescriptions étaient toujours en vigueur chez les Juifs et, bien que semblant suivies par un nombre restreint de personnes, l'étaient avec rigueur : dans les familles pieuses, l'un des enfants devait être nazir. Était nazir, en général, le premier-né, fille ou garçon. Il l'était pour une période plus ou moins longue, à vrai dire tant qu'il n'avait pas révoqué ce vœu. Si l'aîné refusait ou ne pouvait pas, le suivant prenait la relève et ainsi de suite, car ce vœu impliquait de nombreuses obligations : se vêtir de blanc, n'absorber ni vin, ni viande, ne pas porter de cuir, ne pas se couper cheveux et ongles, ne pas forniquer, ne pas commettre de violence en actes ou en paroles, etc.[réf. nécessaire]
Cette prescription particulièrement contraignante pour des gens jeunes ou même d'âge mûr (surtout sur la durée), énoncée à Moïse, semble avoir régressé, au cours des siècles, au rang de simple coutume, plus ou moins délaissée au fil du temps (pour prendre un exemple, un peu comme aujourd'hui les processions religieuses).
Voici ce que dit wikipédia sur le NAZIR,
Les seuls partisans du Massih Aïssa ben Mariam, ben Daoud ben Imran sont en fait ceux qui font voeu d'ascétisme total comme le Messih (Messie). C'est pourquoi Allah nomme les chrétiens NAZARA. Cela ne vient pas de NAZARETH, c'est faux! Mais du Messih qui est lui-même un NAZIR.
Dans la Yahoudate (torat), le Massih ben Daoud (Aissa ben Mariam) devait être ainsi:
- jeûner comme Daoud, un jour sur deux, tous les jours de l'année,
- rester prosterné un maximum dans le Masjid (Temple) pour Allah,
- verser la saddaqa,
- mûrir sa formation de la torat et son exégèse (injil) par étude intensive.
- etc.
Le Messih doit ramener la TSHEKHINAH (présence divine) dans le Temple et pour son peuple et l'humanité.
Mais c'est trop tard pour les juifs, ils n'ont pas cru en lui et se moquent de lui, l'insultent, il le refera pour ceux qui le suivent vraiment.