L'inexistence du douzième Imam des chiites
Posté : 10 mai15, 08:21
L'inexistence du douzième Imam des chiites et de son occultation
Il ne nous incombe pas de croire en l’existence d'un douzième "Imam". C'est est un personnage imaginaire. Les chiites le comptent mensongèrement parmi les fils de El Hassan ibnou 'Ali El ‘Askarî, alors que ce dernier était stérile. Son frère de sang, Ja’far ibnou ‘Alî, mit au courant ses héritiers qu’il n’avait pas eu d’enfant.
Les ‘Alawiyûn (les descendants de ‘Alî) conservent un registre des naissances. Un doyen (Naqîb) de l’époque consignait chacun de leurs accouchements. Aucune naissance affiliée à el Hassan el ‘Askarî ne fut relevée. Les ‘Alawiyûn contemporains à el ‘Askarî était au courant que ce dernier n’avait laissé aucun enfant mâle après sa mort. Le problème, c’est que cet homme était stérile. La chaîne des Imams tout comme la croyance Imamite devait donc s’éteindre avec lui.
Les partisans Imamites ne pouvaient plus se revendiquer comme tels puisqu’ils n’avaient plus d’Imam. C’est pourquoi, l’un de leur démon qui porte le nom de Mohammed ibn Nosaïr, captif de la tribu Noumaïr, leur a trouvé une échappatoire ! Il leur a monté de toute pièce la légende du fils imaginaire d’el ‘Askarî qui se serait caché dans la galerie de la maison paternelle.
Les chiites n’avaient pas accès à cette fameuse galerie –en supposant qu’elle exista vraiment – et ils n’avaient pas le droit d’y entrer. Ja’far, le frère d’el Hasan en était le responsable. Cependant, ce dernier affirme que son frère n’avait laissé aucune descendance ni à l’intérieur d’une galerie imaginaire ni même ailleurs. S’il est fait allusion toutefois à plusieurs galeries, le problème reste de pouvoir le retrouver !
Lui et ses complices cherchaient à travers cela, à escroquer le commun des chiites et la classe aisée afin de leur soutirer la Zakât (l’Aumône) au nom du supposé Imam. Il faisait ainsi une pierre deux coups, car cela lui permettait également d’entretenir la légende Imamite. Pour se faire, il se désigna le gardien de la galerie imaginaire ou la « porte » (el Bâb) qui serait l’intermédiaire entre l’Imam et ses partisans. Il avait la fonction de récolter la Zakât. Ses malicieux acolytes s’opposèrent à cette idée et ils résolurent que le gardien des lieux devait être un fabriquant d’huile (Zaïyyât) ou de beurre (Sammân).
Leur boutique à l’intérieur de laquelle les visiteurs pouvaient se ravitailler en affaires domestiques, devait donner devant la maison d’el Hasan et de son père. Après cette dissension, l’auteur du concept décida de se séparer de ses compères et il fonda la tendance Nosaïriya dont le nom fut formé sur le sien.
Ses anciens complices ne s’en sont pas arrêtés là. Ils voulaient trouver une astuce pour sortir au grand jour leur prétendu douzième Imam. Il devait se marier et assurer une descendance afin de perpétuer la tendance Imamite. Une telle machination cependant allait attirer les foudres des doyens ‘Alawites, et de tous ses membres. La colère allait s’étendre également chez leurs cousins germains de la dynastie abbasside. Ils conclurent alors qu’il devait rester cacher dans sa galerie mais que sa disparition (Ghaïba) prendrait deux aspects ; il y aurait désormais une disparition mineure et une disparition majeure. Les païens grecs eux-mêmes n’ont pas fait mieux en matière de légende !
Ces gens-là réclament en prime aux mouslimines de croire en ces balivernes, après qu’Allah leur a fait jouir de la raison, sous prétexte de parvenir à une entente ! Nous louons Allah pour nous avoir doté de la raison sans laquelle l’individu ne serait pas responsable. Après une foi saine, la raison est considéré comme le bienfait le plus noble et le plus précieux dont peut jouir l’être humain.
Les croyants prennent pour allié tout croyant dont la foi est sincère, et dont font partie notamment les gens pieux de Ahlou el Baït. Ils ne s’en tiennent pas à un nombre déterminé.
Il faut compter en premier lieu l’élite des croyants qui sont les dix élus auxquels le Prophète -صلى الله عليه وسلم– a annoncé le Paradis.
Le simple fait que les chiites contestent au Prophète -صلى الله عليه وسلم– que ses dix hommes soient effectivement des habitants du Paradis, est une raison pour les considérer apostats. En outre, les mouslimines prennent pour alliés le reste des Compagnons qui portèrent l’Islam sur leurs épaules et qui poussèrent les frontières de ses adeptes au bout du monde.
Il ne nous incombe pas de croire en l’existence d'un douzième "Imam". C'est est un personnage imaginaire. Les chiites le comptent mensongèrement parmi les fils de El Hassan ibnou 'Ali El ‘Askarî, alors que ce dernier était stérile. Son frère de sang, Ja’far ibnou ‘Alî, mit au courant ses héritiers qu’il n’avait pas eu d’enfant.
Les ‘Alawiyûn (les descendants de ‘Alî) conservent un registre des naissances. Un doyen (Naqîb) de l’époque consignait chacun de leurs accouchements. Aucune naissance affiliée à el Hassan el ‘Askarî ne fut relevée. Les ‘Alawiyûn contemporains à el ‘Askarî était au courant que ce dernier n’avait laissé aucun enfant mâle après sa mort. Le problème, c’est que cet homme était stérile. La chaîne des Imams tout comme la croyance Imamite devait donc s’éteindre avec lui.
Les partisans Imamites ne pouvaient plus se revendiquer comme tels puisqu’ils n’avaient plus d’Imam. C’est pourquoi, l’un de leur démon qui porte le nom de Mohammed ibn Nosaïr, captif de la tribu Noumaïr, leur a trouvé une échappatoire ! Il leur a monté de toute pièce la légende du fils imaginaire d’el ‘Askarî qui se serait caché dans la galerie de la maison paternelle.
Les chiites n’avaient pas accès à cette fameuse galerie –en supposant qu’elle exista vraiment – et ils n’avaient pas le droit d’y entrer. Ja’far, le frère d’el Hasan en était le responsable. Cependant, ce dernier affirme que son frère n’avait laissé aucune descendance ni à l’intérieur d’une galerie imaginaire ni même ailleurs. S’il est fait allusion toutefois à plusieurs galeries, le problème reste de pouvoir le retrouver !
Lui et ses complices cherchaient à travers cela, à escroquer le commun des chiites et la classe aisée afin de leur soutirer la Zakât (l’Aumône) au nom du supposé Imam. Il faisait ainsi une pierre deux coups, car cela lui permettait également d’entretenir la légende Imamite. Pour se faire, il se désigna le gardien de la galerie imaginaire ou la « porte » (el Bâb) qui serait l’intermédiaire entre l’Imam et ses partisans. Il avait la fonction de récolter la Zakât. Ses malicieux acolytes s’opposèrent à cette idée et ils résolurent que le gardien des lieux devait être un fabriquant d’huile (Zaïyyât) ou de beurre (Sammân).
Leur boutique à l’intérieur de laquelle les visiteurs pouvaient se ravitailler en affaires domestiques, devait donner devant la maison d’el Hasan et de son père. Après cette dissension, l’auteur du concept décida de se séparer de ses compères et il fonda la tendance Nosaïriya dont le nom fut formé sur le sien.
Ses anciens complices ne s’en sont pas arrêtés là. Ils voulaient trouver une astuce pour sortir au grand jour leur prétendu douzième Imam. Il devait se marier et assurer une descendance afin de perpétuer la tendance Imamite. Une telle machination cependant allait attirer les foudres des doyens ‘Alawites, et de tous ses membres. La colère allait s’étendre également chez leurs cousins germains de la dynastie abbasside. Ils conclurent alors qu’il devait rester cacher dans sa galerie mais que sa disparition (Ghaïba) prendrait deux aspects ; il y aurait désormais une disparition mineure et une disparition majeure. Les païens grecs eux-mêmes n’ont pas fait mieux en matière de légende !
Ces gens-là réclament en prime aux mouslimines de croire en ces balivernes, après qu’Allah leur a fait jouir de la raison, sous prétexte de parvenir à une entente ! Nous louons Allah pour nous avoir doté de la raison sans laquelle l’individu ne serait pas responsable. Après une foi saine, la raison est considéré comme le bienfait le plus noble et le plus précieux dont peut jouir l’être humain.
Les croyants prennent pour allié tout croyant dont la foi est sincère, et dont font partie notamment les gens pieux de Ahlou el Baït. Ils ne s’en tiennent pas à un nombre déterminé.
Il faut compter en premier lieu l’élite des croyants qui sont les dix élus auxquels le Prophète -صلى الله عليه وسلم– a annoncé le Paradis.
Le simple fait que les chiites contestent au Prophète -صلى الله عليه وسلم– que ses dix hommes soient effectivement des habitants du Paradis, est une raison pour les considérer apostats. En outre, les mouslimines prennent pour alliés le reste des Compagnons qui portèrent l’Islam sur leurs épaules et qui poussèrent les frontières de ses adeptes au bout du monde.