vic a écrit :marhmonie a cité wikipédia.
Qu'est-ce que cette histoire ? Je n'ai pas cité Wikipédia.
Attention à la présomption d'innocence, je te prie.
Que Wiki ait barboté sur des moines, cela ne m'étonnerait pas. Par contre, mes sources sont sans rapport avec Wiki qui n'est pas de référence en francophonie, inconnue en Chine et en Inde pour ses articles pastiches absurdes.
Il fallait rétablir les faits.
Navam a écrit :Hmmm ... Intéressant !

Le sujet sur les erreurs de Google traduction est parti ailleurs, c'était aussi du bon, j'ai cru par erreur, mais l'excès de prudence est nécessaire, que je pouvais blesser kaboo, et donc cette analyse des fautes de sens des traducteurs automatiques a été enlevée. C'est très intéressant.
Constatez donc qu'avec le français, sans le signalement si la source est hindouiste de tradition orale, ou chinoise écrite, le dzogchen n'a absolument pas la même pratique, puisqu'elle est en effet secondaire.
Entre l'image erronée d'une assise obligatoire, la belle image du moine zen, et la liberté du corps qui s'exprime de lui-même dans des enchaînements qui viennent comme les paroles, et les idées, vos déplacements sont autrement - à ma sensibilité - plus enrichissants, et pour l'esprit qui se libère mieux ainsi, porté par le corps, et pour le corps qui retrouve une santé harmonieuse en se libérant lui aussi de ses attitudes apprises et qui ne sont pas forcément les meilleurs pour lui.
2 voies, une réalité.
La conduite des textes sanskrit et chinois en bilingue que je proposais - et qui est partie ailleurs - permettait de faire le constat effarant qu'on ne peut étudier sans revenir aux sources. On a fini en français par parler du judaïsme également sans plus rien connaître de cette civilisation, de sa langue, de son patrimoine monumental. Le premier dictionnaire au monde date d'il y a 3000 ans et est hébreu. Les chinois le savent tous, les français jamais.
Pour conduire un sujet aussi magnifique de notre ami savant Stephan H, il faut passer au bilinguisme, et cesser de faire dans les écoles, pour vous donner les moyens, d'abord de savoir de quoi il est question, du pourquoi, et de quel véhicule allez-vous emprunter.
Une image sur les deux voies du dzogchen, le tennis. Soit vous vous interdisez de toucher au terrain, et vous faites du tennis de table. Soit vous empruntez sans cesse le terrain, et vous faites du tennis en y marchant dessus.
Pour ma part, je marche dessus, mon corps est fait pour se mouvoir en toute liberté et découvrir l'équilibre bien mieux enraciné dans un apparent déséquilibre qui vous met à l'épreuve du constat, que dans l'assise "stable et confortable", et en réalité invérifiable.
J'avais ouvert mes livres chinois et sanskrit pour vous scanner tout ça, ça sera pour un autre jour, ailleurs. J'ai tout rangé.
Concilio et prudencia.