la watchtower n'en a pas fini avec la pedophilie
Posté : 16 oct.15, 00:54
Petits soucis pour la watchtower. Esperons que les victimes aient gain de cause.
Nouvelles d'Australie :
Inutile d'encombrer toute la Justice australienne avec des centaines et des centaines de procès simultanés, alors qu'ils relèvent tous du seul Collège Central des Témoins de Jéhovah, à New York.
Comme la loi l'autorise, le cabinet Artémis va engager une "class action", c'est-à-dire une procédure collective, pour qu'un seul Tribunal traite de façon urgente et équitable tous les cas d'agressions sexuelles connus au sein de la Watchtower.
Parmi les griefs portés contre la Watchtower notons :
http://www.artemislegal.com.au/jehovahwitness
. La loi des deux témoins, qui précise qu'aucune action judiciaire ne peut être entamée s'il n'y a pas deux témoins oculaires de l'agression.
. Le rôle des femmes (ou leur absence...). Lorsque des femmes, ou fillettes sont agressées, elles sont obligées de donner les détails de leur agression seulement à un groupe de 3 hommes anciens. Les femmes n'ayant droit à aucune fonction dans les congrégations.
. Il est prévu que les victimes soient confrontées à leurs agresseurs.
. Il n'y a pas d'obligation pour que les "anciens" signalent les agressions sexuelles aux autorités.
. Les agressions ne sont pas signalées parce que la Watchtower n'a aucune confiance aux "non Témoins"
. Aucune confiance dans les conseils que pourraient donner des psychologues, parce qu'ils pourraient être contraires aux principes de la Watchtower.
. La doctrine de la "Guerre théocratique" qui demande aux adeptes de mentir et de se parjurer eux mêmes si cela est nécessaire, dans l’intérêt du mouvement.
Dès que la demande de la "class action" sera approuvée par les autorités judiciaires australiennes, et avant même le procès lui-même, la Watchtower devra apporter toutes les garanties financières nécessaires.
Nouvelles d'Australie :
Inutile d'encombrer toute la Justice australienne avec des centaines et des centaines de procès simultanés, alors qu'ils relèvent tous du seul Collège Central des Témoins de Jéhovah, à New York.
Comme la loi l'autorise, le cabinet Artémis va engager une "class action", c'est-à-dire une procédure collective, pour qu'un seul Tribunal traite de façon urgente et équitable tous les cas d'agressions sexuelles connus au sein de la Watchtower.
Parmi les griefs portés contre la Watchtower notons :
http://www.artemislegal.com.au/jehovahwitness
. La loi des deux témoins, qui précise qu'aucune action judiciaire ne peut être entamée s'il n'y a pas deux témoins oculaires de l'agression.
. Le rôle des femmes (ou leur absence...). Lorsque des femmes, ou fillettes sont agressées, elles sont obligées de donner les détails de leur agression seulement à un groupe de 3 hommes anciens. Les femmes n'ayant droit à aucune fonction dans les congrégations.
. Il est prévu que les victimes soient confrontées à leurs agresseurs.
. Il n'y a pas d'obligation pour que les "anciens" signalent les agressions sexuelles aux autorités.
. Les agressions ne sont pas signalées parce que la Watchtower n'a aucune confiance aux "non Témoins"
. Aucune confiance dans les conseils que pourraient donner des psychologues, parce qu'ils pourraient être contraires aux principes de la Watchtower.
. La doctrine de la "Guerre théocratique" qui demande aux adeptes de mentir et de se parjurer eux mêmes si cela est nécessaire, dans l’intérêt du mouvement.
Dès que la demande de la "class action" sera approuvée par les autorités judiciaires australiennes, et avant même le procès lui-même, la Watchtower devra apporter toutes les garanties financières nécessaires.