claudem a écrit :
Je suis bien d'accord avec toi mais il y a plus aussi pour réaliser la fraternité planétaire. Comme:
Même sur les mondes évolutionnaires normaux, il n’est pas facile de réaliser la fraternité mondiale des hommes. Sur une planète comme Urantia où règnent la confusion et le désordre, cet accomplissement demande beaucoup plus de temps et nécessite un effort bien plus grand. Il est presque impossible a une évolution sociale d’aboutir, sans aide extérieure, à ces heureux résultats sur une sphère spirituellement isolée. La révélation religieuse est essentielle pour que se réalise la fraternité sur Urantia. Jésus a bien montré le chemin pour atteindre immédiatement la fraternité spirituelle, mais la réalisation de la fraternité sociale sur votre monde dépend beaucoup de l’accomplissemnt des transformations personnelles et des ajustements planétaires suivants :
1. Fraternité sociale. Multiplication des contacts sociaux internationaux et interraciaux, et des associations fraternelles par les voyages, le commerce et les jeux de compétition. Développement d’un langage commun et prolifération des multilinguistes. Échanges nationaux et raciaux d’étudiants, de professeurs, d’industriels et de philosophes religieux.
2. Fécondation croisée de la pensée. La fraternité est impossible sur un monde dont les habitants sont trop primitifs pour reconnaître la folie d’un égoïsme que rien ne vient adoucir. Il faut un échange de littérature internationale et raciale. Chaque race doit se familiariser avec la pensée de toutes les races ; chaque nation doit connaître les sentiments de toutes les nations. L’ignorance engendre la suspicion, et la suspicion est incompatible avec l’attitude essentielle de sympathie et d’amour.
3. Réveil éthique. Seule la conscience éthique peut démasquer l’immoralité de l’intolérance humaine et le péché des luttes fratricides. Seule une conscience morale peut condamner les maux de l’envie nationale et de la jalousie raciale. Seuls des êtres moraux rechercheront toujours la clairvoyance spirituelle qui est essentielle pour vivre la règle d’or.
4. Sagesse politique. La maturité émotive est indispensable pour la maitrise de soi. Seule, la maturité émotive garantit que les techniques internationales de jugement civilisé se substitueront à l’arbitrage barbare de la guerre. Les hommes d’état avisés travailleront un jour pour le bien-être de l’humanité, même quand ils s’efforceront de promouvoir l’intérêt de leurs groupes nationaux ou raciaux. La sagacité politique égoïste aboutit au suicide — à la destruction de toutes les qualités durables qui assurent la survie des groupes planétaires.
5. Clairvoyance spirituelle. Après tout, la fraternité des hommes est basée sur la reconnaissance de la paternité de Dieu. La manière la plus rapide de réaliser la fraternité des hommes sur Urantia est d’effectuer la transformation spirituelle de l’humanité d’aujourd’hui. La seule technique pour accélérer la tendance naturelle de l’évolution sociale consiste à exercer une pression spirituelle par en haut, ce qui augmente la clairvoyance morale tout en rehaussant la capacité de l’âme de tous les hommes à comprendre et à aimer tous leurs semblables. La compréhension mutuelle et l’amour fraternel sont des civilisateurs transcendants et de puissants facteurs pour la réalisation mondiale de la fraternité des hommes.c.f. Livre d'Urantia

Tout à fait.
J' exposais qu'un seul élément.
Les autres sont tous ici!
http://www.ca.bahai.org/fr/les-enseigne ... %A1%C3%ADs
L’humanité est une.
Les enseignements bahá’ís insistent sur le fait qu’en tant que créatures d’un Dieu unique, nous appartenons tous à la même famille humaine.
Bahá’u’lláh a dit : « Le tabernacle de l'unité est dressé; ne vous considérez pas comme des étrangers. Vous êtes les fruits d'un seul arbre, les feuilles d'une seule branche. »
Dans tous les pays, on trouve des bahá’ís de pratiquement tous les milieux.
Il n’y a qu’un seul Dieu.
Pour les bahá’ís, croire en un seul Dieu signifie que l’univers ainsi que toutes les créatures et les forces qu’il renferme ont été créés par un seul et unique Être surnaturel.
Les appellations Dieu, Allah, Yahvé et Brahma désignent toutes le même être divin, dont la nature est inconnaissable et inaccessible aux êtres humains. Nous apprenons à connaître Dieu par l’intermédiaire de ses messagers, qui guident et éduquent l’humanité.
Toutes les grandes religions viennent de Dieu.
Les bahá’ís croient en l’unité de toutes les religions, qui proviennent toutes de Dieu et ont toutes pour but de guider et d’éduquer l’humanité.
La religion évolue continuellement, et chaque système religieux particulier représente une étape de son évolution.
Dieu révèle sa volonté grâce à ses messagers, dont les enseignements répondent aux besoins de l’époque de leur avènement.
Les femmes et les hommes sont égaux.
Les bahá’ís considèrent que l’égalité des sexes et la pleine participation des femmes dans tous les domaines d’activités sont essentielles au progrès de l’humanité.
Les femmes et les hommes constituent les deux piliers de la société : si l’un est faible, l’édifice entier est fragilisé.
Par conséquent, l’inégalité entre les femmes et les hommes retarde non seulement l’avancement des femmes, mais aussi le progrès de toute la société.
Tous les préjugés ‑ qu’ils soient raciaux, religieux, nationaux ou sociaux – sont source de destruction et doivent être abolis.
Bahá’u’lláh a accordé une attention spéciale au problème des préjugés. Son appel à l’entente mutuelle et à la fraternité entre toutes les nations, cultures et peuples occupe une place prépondérante dans son message.
Tous, affirme Bahá’u’lláh, ont été créés égaux et nobles. Croire que certains sont supérieurs à d’autres est destructeur et entraîne désunion et oppression. Il faut donc abolir les préjugés – qu’ils soient de race, d’origine ethnique, de religion, de sexe, ou de milieu social ou économique – pour que l’humanité puisse bâtir une société mondiale juste et pacifique.
Chacun doit chercher à connaître la vérité par soi-même.
Bahá’u’lláh insiste sur l’obligation fondamentale des êtres humains d’acquérir la connaissance par leurs « propres yeux et non par ceux d’autrui ».
Nous avons tous la responsabilité morale d’utiliser notre raison pour découvrir la vérité. Nous avons aussi l’obligation morale de ne pas adhérer aux opinions et aux idées des autres sans les remettre en question, que ce soit par crainte de ceux qui les soutiennent ou par admiration pour eux. De telles allégeances peuvent, à leur tour, mener au conflit et à la discorde.
Chercher à connaître la vérité de façon indépendante permet de distinguer la vérité de l’erreur.
L’harmonie entre la science et la religion
Les enseignements bahá’ís insistent sur l’harmonie fondamentale entre la science et la religion – deux systèmes de connaissances qui se renforcent mutuellement et sont tous deux nécessaires au progrès de l’humanité.
La science et la religion décrivent toutes deux une seule et même réalité, ou vérité. En fait, les contradictions entre la science et les croyances religieuses traditionnelles peuvent souvent être attribuées à la faillibilité et à l’égotisme humains.
La foi bahá’íe enseigne que, sans la science, la religion dégénère rapidement en superstition et en fanatisme, alors que la science sans la religion devient l’instrument du matérialisme. Elle soutient également qu’un progrès matériel effréné ne saura conduire à la prospérité véritable.
Un accès universel à la connaissance et à l’éducation
La foi bahá’íe soutient que l’éducation doit être accessible à tous, indépendamment du statut social ou du milieu d’origine.
La connaissance joue un rôle essentiel dans la vie des êtres humains. Accroître la connaissance et la mettre en pratique est à la base de la civilisation et du progrès de la société. Le manque d’éducation et l’ignorance sont les premiers responsables de la régression sociale et de la persistance des préjugés.
L’éducation doit s’intéresser aux dimensions matérielle, sociale et spirituelle du développement humain. Les processus éducatifs devraient favoriser à la fois la transformation individuelle et collective, et être conçus de façon à stimuler l’apprentissage et l’action. Préparer chacun à servir la collectivité devrait également constituer un élément essentiel de l’éducation.
L’élimination des extrêmes de richesse et de pauvreté
Dans la vision bahá’íe de la justice sociale, la société interdira, entre autres injustices, la mainmise d’un petit nombre sur la richesse, et comblera l’écart entre les riches et les pauvres.
Les enseignements bahá’ís affirment que seule la reconnaissance du lien fondamental entre les aspects spirituel et matériel de la vie permettra de réaliser la justice économique et la prospérité mondiale.
Notre conception de la nature humaine joue un rôle important dans le processus de transformation. Nous devons réexaminer en profondeur notre identité en tant qu’êtres humains ainsi que notre raison d’être.
Le progrès matériel n’est pas une fin en soi, mais plutôt un instrument de progrès moral, spirituel et social. Les processus économiques alimentés par l’intérêt personnel et qui excluent des considérations comme la justice, le bien commun et le sacrifice ne sont pas viables.
Ainsi, tout effort en vue d’une amélioration fondamentale des relations économiques dans la société doit aller de pair avec le développement moral.
La famille et son unité sont essentielles à une société saine.
Bahá’u’lláh est venu pour établir l’unité du monde, et l’unité de la famille en constitue un élément fondamental. Les bahá’ís comprennent que la famille est l’unité de base de la société, et que si les familles ne sont pas saines et unies, la société ne peut pas posséder ces qualités.
Dans les écrits bahá’ís, on trouve cette affirmation : « Si l'amour et l'accord règnent dans une famille, cette famille progressera, sera éclairée et spirituelle. »
Mes oreilles et mes yeux sont ouverts depuis longtemps, mais je sais pourquoi depuis peu.
On se demandera ce que signifie être baha'i...
Pour ma part, c'est à la base être, humain
