Commandements d'instructions a la vie quotidienne
Posté : 09 juil.03, 02:48
Commandements a la vie quotidienne
La loi qu'Israel accepta se composait de plus de 600 lois en plus des Dix commandements, qui formaient un catalogue complet de directives et d'instructions reglant la conduite cotidienne. Ces loi avaient trait au profane comme au sacre, aux exigences physiques et morales aussi bien qu'au Culte rendu a Dieu.
Les Dix Paroles (Ex 34:28), ou Dix Commandements, constituaient la partie fondamentale de la Loi, mais elles se combinaient avec environ 600 autres lois qui avaient toutes la même force et la même valeur obligatoire pour les Israélites (Jc 2:10). Les quatre premiers des Dix Commandements définissaient les rapports de l?homme avec Dieu, le cinquième ses rapports avec Dieu et avec ses parents, et les cinq autres ses rapports avec son semblable. Apparemment, ces cinq derniers commandements étaient donnés dans un ordre décroissant de gravité du mal fait au prochain : le meurtre, l?adultère, le vol, le faux témoignage, et la convoitise ou désir égoïste. Par le dixième commandement, la Loi se distingue des lois de toutes les autres nations. En effet, il interdit le désir égoïste, commandement que concrètement seul Dieu peut faire respecter. De fait, le dixième commandement s?attaquait à la cause de la violation de tous les autres commandements. - Ex 20:2-17 ; Dt 5:6-21 ; voir aussi Ép 5:5 ; Col 3:5 ; Jc 1:14, 15 ; 1Jn 2:15-17.
La Loi contenait un grand nombre de principes et d?ordonnances. Les juges avaient reçu une certaine latitude pour enquêter et pour peser les mobiles et la disposition d?esprit des transgresseurs, ainsi que les circonstances de la transgression. Le transgresseur volontaire, irrespectueux ou impénitent subissait la peine capitale (Nb 15:30, 31). En d?autres circonstances, il était possible de prononcer un jugement moins sévère. Par exemple, alors qu?un meurtrier devait être mis à mort sans faute, on pouvait faire miséricorde à l?homicide involontaire (Nb 35:15, 16). Si un taureau qui avait l?habitude d?encorner tuait un homme, son propriétaire était censé le payer de sa vie ; mais les juges pouvaient décider de lui imposer une rançon (Ex 21:29-32). Selon toute vraisemblance, la différence entre le voleur délibéré et le malfaiteur qui avouait de lui-même explique la différence entre la peine prescrite en Exode 22:7 et celle de Lévitique 6:1-7.
La loi qu'Israel accepta se composait de plus de 600 lois en plus des Dix commandements, qui formaient un catalogue complet de directives et d'instructions reglant la conduite cotidienne. Ces loi avaient trait au profane comme au sacre, aux exigences physiques et morales aussi bien qu'au Culte rendu a Dieu.
Les Dix Paroles (Ex 34:28), ou Dix Commandements, constituaient la partie fondamentale de la Loi, mais elles se combinaient avec environ 600 autres lois qui avaient toutes la même force et la même valeur obligatoire pour les Israélites (Jc 2:10). Les quatre premiers des Dix Commandements définissaient les rapports de l?homme avec Dieu, le cinquième ses rapports avec Dieu et avec ses parents, et les cinq autres ses rapports avec son semblable. Apparemment, ces cinq derniers commandements étaient donnés dans un ordre décroissant de gravité du mal fait au prochain : le meurtre, l?adultère, le vol, le faux témoignage, et la convoitise ou désir égoïste. Par le dixième commandement, la Loi se distingue des lois de toutes les autres nations. En effet, il interdit le désir égoïste, commandement que concrètement seul Dieu peut faire respecter. De fait, le dixième commandement s?attaquait à la cause de la violation de tous les autres commandements. - Ex 20:2-17 ; Dt 5:6-21 ; voir aussi Ép 5:5 ; Col 3:5 ; Jc 1:14, 15 ; 1Jn 2:15-17.
La Loi contenait un grand nombre de principes et d?ordonnances. Les juges avaient reçu une certaine latitude pour enquêter et pour peser les mobiles et la disposition d?esprit des transgresseurs, ainsi que les circonstances de la transgression. Le transgresseur volontaire, irrespectueux ou impénitent subissait la peine capitale (Nb 15:30, 31). En d?autres circonstances, il était possible de prononcer un jugement moins sévère. Par exemple, alors qu?un meurtrier devait être mis à mort sans faute, on pouvait faire miséricorde à l?homicide involontaire (Nb 35:15, 16). Si un taureau qui avait l?habitude d?encorner tuait un homme, son propriétaire était censé le payer de sa vie ; mais les juges pouvaient décider de lui imposer une rançon (Ex 21:29-32). Selon toute vraisemblance, la différence entre le voleur délibéré et le malfaiteur qui avouait de lui-même explique la différence entre la peine prescrite en Exode 22:7 et celle de Lévitique 6:1-7.