Akenoï a écrit :La Torah ne vient pas des Juifs, mais des anciens Hébreux via la révélation divine.
Le Nouveau Testament de vient pas des Juifs, mais des évangélistes et des apôtres via la révélation divine.
Le Coran, lui, vient des arabes premièrement convertis à l'islam via la révélation divine.
Faites ce que vous voulez avec votre livre, mais si vous avez besoin de dénigrer ceux des autres pour l'affirmer, je doute alors que ce soit un bon livre.
Je voulais dire Hébreux.
Ce sur quoi je veux mettre l'emphase c'est que le livre d'Urantia n'a pas eu d'influences humaines.
Pour moi c'est évident que les écrits de la Bible et du Coran sont des suites humaines et plus.
Sur l'origine de l'islam par exemple:
LE GRAND SECRET DE L`ISLAM PAGE 30
A cette fin, les propagandistes judéonazaréens, Juifs de langue syro-araméenne, dont beaucoup
connaissent l’hébreu liturgique, ont expliqué leurs textes aux Arabes. Plus encore, ils ont formé des
prédicateurs arabes, traduit leurs textes en arabe et les leur ont appris. Pour cela, ils ont réalisé
pour eux de petits manuels, des florilèges des principaux textes de leur Torah, de leur évangile, de
leurs coutumes, de leurs lois, de leurs rites de pureté, de leur circoncision55 ... Il fallait en effet des
aide-mémoire à cette époque où l’enseignement était essentiellement su et transmis par coeur :
les aide-mémoires capitaux ont été constitués par des traductions en arabe des lectionnaires
utilisés par les judéonazaréens eux-mêmes. Un lectionnaire est un livre liturgique qui présente des
lectures et commentaires de textes sacrés, comme en ont toujours les chrétiens. Le lectionnaire
judéonazaréen présentait donc des extraits de la Bible, ancien et nouveau testament – du moins ce
que les judéonazaréens en acceptaient - en fonction du calendrier (samedi, dimanche, jours de
fête). En langue syro-araméenne, les chrétiens appelaient ce lectionnaire « qor’ôno » (ce qui se
transpose en arabe par « qur’ân », c'est-à-dire « coran »). S’est donc constitué un ensemble de
prédications diverses et de lectures saintes, certaines bénéficiant d’une mise par écrit comme aide
mémoire (nous verrons quelle sera l’importance capitale de ces feuillets-aide mémoire par la
suite). Cette propagande visait en particulier la foi chrétienne des Arabes en l’attaquant sous
l’accusation d’associationnisme, c'est-à-dire en prétendant que les chrétiens donnent à Dieu des
« adjoints » (la trinité)56.
Abordons maintenant la figure de celui qui sera présenté comme le grand prophète de l’islam,
connu comme « le Muhammad », le « béni », Mahomet, le chef de guerre des Arabes. L’histoire
n’a pas retenu son nom véritable, hormis ce surnom dont nous verrons comment il lui a été donné...
Sur le remaniement de l'ancien testament et qui a eu des conséquences énormes:
93:9.6 (1023.3) L’enseignement de Melchizédek fut complet et surabondant, mais les récits de cette époque parurent impossibles et fantastiques aux prêtres hébreux ultérieurs, quoique beaucoup d’entre eux aient quelque peu compris ces évènements, au moins jusqu’à l’époque où les annales de l’Ancien Testament furent remaniées en masse à Babylone.
93:9.9 (1023.6) L’égo national des Juifs fut terriblement rabaissé par la captivité à Babylone. Dans leur réaction contre leur infériorité nationale, ils allèrent à l’autre extrême de l’égotisme national et racial ; ils pervertirent et déformèrent leurs traditions pour s’exalter au-dessus de toutes les races en tant que peuple élu de Dieu ; en conséquence, ils remanièrent soigneusement tous leurs documents dans le but d’élever Abraham et leurs autres chefs nationaux très au-dessus de toutes les autres personnes, sans en excepter Melchizédek lui-même. Les scribes hébreux détruisirent donc toutes les archives qu’ils purent trouver de cette époque mémorable, en ne conservant que le récit de la rencontre d’Abraham avec Melchizédek après la bataille de Siddim qui, d’après eux, faisait rejaillir un grand honneur sur Abraham.
93:9.10 (1024.1)
Ainsi, en perdant de vue Melchizédek, les scribes perdaient aussi de vue l’enseignement de ce Fils de secours concernant la mission spirituelle du Fils d’effusion promis. La nature de cette mission tomba si complètement dans l’oubli que très peu de leurs descendants furent capables ou désireux de reconnaitre et d’accepter Micaël lorsqu’il apparut incarné sur terre, comme Machiventa l’avait annoncé.
93:9.11 (1024.2) Mais l’un des écrivains du Livre des Hébreux comprit la mission de Melchizédek, car il est écrit : « Ce Melchizédek, prêtre du Très Haut, était aussi roi de paix ; sans père, sans mère, sans généalogie, n’ayant ni commencement de jours ni fin de vie, mais créé semblable à un Fils de Dieu, il demeure prêtre à perpétuité. » Cet écrivain désignait Melchizédek comme un modèle de l’effusion ultérieure de Micaël, affirmant que Jésus était « un ministre pour toujours selon l’ordre de Melchizédek ». Bien que cette comparaison ne soit pas très heureuse, il est littéralement vrai que le Christ reçut un titre provisoire sur Urantia « selon les ordres des douze administrateurs provisoires Melchizédeks » en fonction à l’époque de son effusion sur cette planète.