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Re: Le devoir d'aimer

Posté : 10 févr.18, 07:16
par Farore97
J'aime l'anecdote merci beaucoup.

Re: Le devoir d'aimer

Posté : 10 févr.18, 07:29
par MonstreLePuissant
Farore97 a écrit :Franchement MLP, je suis indigné... Ta dernière phrase m'a montré à quel point tu es juste pourri d'orgueil ! Pour qui tu te prends à me ramener à une position d'un être plus jeune ? Est ce que ça me rends moins audible pour autant ? Est-ce que cela dévalorise t-il les messages que je fait ? Tu joues avec la comparaison de nos 2 âges pour te rendre plus crédible et pour me convaincre ! Quelle stratégie pitoyable ! A vrai dire je ne sais pas qui tu comptes vraiment convaincre en disant cela : Moi ? les autres ? Toi même ?...
La prochaine fois que tu traites d'enfant de quelqu'un, assure toi avant tout d'être toi même un bon exemple qu'il puisse suivre : il ne sert à rien de craché de la biles noirs sur les problèmes des autres si toi même tu n'as pas résolus les tiens !
Car du haut de mes 18 ans, je pense déjà être un meilleur exemple : MOI au moins je reconnais mes erreurs !
Ce qui t'indigne, c'est simplement la vérité. Du haut de tes 18 ans, tu n'as pas encore une expérience de vie suffisante pour appréhender toutes les subtilités de cette existence. La vie ne t'a pas encore marqué au fer rouge. Ce n'est pas un reproche, c'est un fait. Il est donc normal que les élucubrations fantaisistes d'un petit jeune n'aient pas beaucoup d'impact sur un vieux routard de la vie comme moi. Mon fils à presque ton âge. Tu imagines bien que c'est moi qui le forme à la vie, et non le contraire.
Farore97 a écrit :L'acte et la réflexion !
Voici le lien entre une activité sportive et l'amour, monsieurs.
Je suis allé sur une piste skier vivre mon bonheur personnel par amour propre de ma personne. Et après cet incident, je suis resté perturbé pas à cause de ce que sur le plan personnel j'endurais (parce que dans 1 an je serai rétabli) mais par tout ce que les autres ont fait pour moi. J'ai chambouler leur planning, les ai mis dans des situations emmerdantes, je les ai inquiété,...
Tous ça parce que j'ai voulu vivre mon foutu bonheur personnel. A mon retour de l'hôpital de nombreuses personnes sont venu prendre de mes nouvelles.
Tu vois tous ça MLP, je ne l'ai pas vu, que autant de gens m'aimaient. Et si j'avais fini comme Schumarer (qui lui contrairement à moi a pris des précautions) j'aurai eu l'air du plus gros con du monde, non pas parce que à titre personnel j'aurai briser ma vie, mais parce que j'aurai sans doute fais de la peine à ma famille et aux autres et qui n'ont pas demandé de vivre cette souffrance !

Et pourtant dans l'immédiat je n'ai pris en compte tous cela : il y avais seulement moi ! Une fois de plus, la vie me rappelle que mes actes qui me semblent attaché à ma liberté personnelle peuvent impacté le moral des autres et les faire souffrir.
Tu t'enfonces dans l'absurdité. Aucune activité personnelle ne serait possible avec ce raisonnement. Tu vas au cinéma voir un film pour ton plaisir personnel et une voiture te renverse. Tu as une jambe dans le plâtre. Quel rapport avec l'amour ? Tu vas donc te dire : « je n'irai pas au cinéma voir un bon film, car je risque de me faire renverser par une voiture », « je n'irai pas à un concert, car je risque de me faire attaquer par des terroristes », « je n'irai plus nager à la piscine parce que je risque de faire une crampe et de me noyer », etc.

Excuse moi, mais c'est vraiment le genre de réflexions absurdes. L'amour ne consiste pas à protéger les autres des conséquences imprévisibles de nos actes. Sinon, on ne pourrait plus vivre du tout.
Farore97 a écrit :Quand on souffre MLP, on peut pas ressentir la plenitude du bonheur,car l'amour tourné vers soi ne permet EN RIEN de se répartir de ta souffrance. Il n'y a que le soutien de l'autre qui te permet de guérir de cela. Seul, tu ne fait que cicatriser tes blessures, sans en effacer les marques de souffrances lié à ton passé.
Mais qu'est ce qui t'oblige à souffrir ? RIEN ! A part la souffrance physique que tu ne peux éviter parce qu'elle est un indicateur essentiel pour toi, tu devrais apprendre à ne plus te mettre en situation de souffrir. La souffrance mentale provient de ta seule pensée, de l'idée que tu te fais d'une chose ou d'une situation. Elle n'est réelle que dans ta tête.

J'ai eu une passé difficile, une enfance difficile, et c'est elle qui m'a forgé. Avec beaucoup de blessures, beaucoup de colère et beaucoup de déceptions, parce que j'avais aussi beaucoup d'attentes. Mais bêtement, j'attendais que ce soit les autres qui me permettent de me sentir bien. Je comptais sur leur soutien, sur leur affection, sur leur amour pour aller mieux. Et malgré tout, je ne me sentais pas bien, pas complet, pas heureux. Il a fallu que je comprenne que rien de ce que les autres pouvaient me donner ne changerait ma situation, et que ça devait venir de moi, de l'intérieur de moi. Ne plus dépendre des autres a justement été la voie vers la guérison. Se recentrer sur soi-même dans une quête intérieure de paix, de joie, et d'amour, c'est là qu'a été le salut.

Je parle donc par expérience, et cette expérience vaut largement plus que les concepts creux de quelqu'un qui vit dans sa petite bulle familiale du haut de ses 18 ans.

Si vous pensez que vous pouvez résoudre vos problèmes personnels sans changer vous-même, vous faites erreur. (Le Principe LOL2A)
Farore97 a écrit :Et si en tant qu'Humain, vivre une expérience humaine t'indiffère au plus haut point, c'est que l'amour dont tu prétends sois disant faire preuve n'en ai pas : car l'amour c'est justement de ne pas faire preuve de cette indifférence !
Au contraire, l'expérience humaine est l'occasion de se connaître soi même, et de s'améliorer. Elle est essentielle à notre croissance personnelle.
Mais l'amour, c'est permettre aux autres de faire la même chose, de s'épanouir à notre contact.
Farore97 a écrit :AH oui ? Et en quoi c'est légitime d'inquiéter tes parents ? d'emmerder les autres à causes de ce dont tu étais censé être responsable ?
Ca à voir encore une fois avec l'amour parce que je ne me serai pas retrouvé dans cette situation j'avais pensé aux autres et fait preuvent d'un amour tourné vers les autres. A part ça, j'ai fais c***r tout monde : c'est pas digne d'une personne qui aime et qui a une once de souciance vis à vis de l'autre ! Voilà en quoi ça a à voir avec l'amour !
Complètement absurde encore une fois, parce que sinon, tu devrais arrêter toute forme d'activité. Aller en soirée s'amuser avec des amis ? Non, car tu risque d'inquiéter tes parents. Prendre la voiture pour aller voir sa copine. Non, car tu vas inquiéter tes parents, vu que tu risques de faire un accident, etc. C'est absurde ! Si c'est ça que tu prends pour de l'amour, c'est parce que tu es encore un gamin qui cherche à contenter ses parents et à ne pas leur causer de souci. Encore une fois, ton jeune âge ne te permet pas de voir plus loin.

Je vais te le dire clairement, ce que tu prends pour de l'amour n'est en réalité que de la peur. La peur de décevoir tes parents, de leur compliquer la vie et de leur causer du souci. Tes actions sont motivées par la peur, et non par l'amour. C'est de la peur parce que tu te restreins. L'amour au contraire, apporte de la liberté.

« Toutes les actions humaines sont motivées, à leur niveau le plus profond, par l'une de ces deux émotions : la peur ou l'amour. » (N.D Walsh - Conversation avec Dieu)
Farore97 a écrit :Non MLP : ça s'appelle de la réthorique appliquée. Je prouve ainsi que ta manière de fonctionner est juste absurde et que ta defintion de l'amour est incohérentes! Il est evident que l'on atteint pas le bonheur en accumulant les activité plainsantes, mais plutôt en tempérant son bonheur par la question de l'autre dans cette histoire, s'il ne risque rien ... Et seulement après t'être fixé ces limites tu peux. Et ta manière d'argumenter jusqu'à là, montre bien à quel point ton bonheur prévaut sur le bien être des autres !
Tu démontres encore une fois que tu es motivé par la peur de causer du tort à l'autre. Ce n'est donc pas de l'amour, c'est seulement de la peur. Tu agis par peur, et tu es convaincu que c'est ça l'amour. :lol: Je te l'avais dit : tu es loin de savoir ce qu'est l'amour.

Tu es jeune, mais je peux t'assurer qu'avec cette façon de fonctionner, tu iras de déception en déception. Tu passeras toute ta vie à choisir en fonction de ce dont tu as le moins peur, ne voulant pas décevoir ou blesser tes parents, ta copine, tes amis, etc. Tu vivras toujours dans la crainte de faire du tort aux autres, et tu n'auras jamais aucune idée de ce qu'est réellement l'amour.

Re: Le devoir d'aimer

Posté : 10 févr.18, 08:44
par Inti
MonstreLePuissant a écrit :. Mon fils à presque ton âge. Tu imagines bien que c'est moi qui le forme à la vie, et non le contraire.
Et bien tu n'auras pas perdu ton temps avec Farore 97. Un bon entraînement rhétorique qui servira dans tes rapports parentaux. :) :hi:

Re: Le devoir d'aimer

Posté : 10 févr.18, 09:19
par MonstreLePuissant
Inti, ce n'est pas du temps perdu si un jour il arrive à comprendre qu'il confond l'amour avec la peur. Dans son petit cocon familiale privilégié, il est persuadé de connaître la vie.

Je vais prendre un cas simple. Si un jour il a à prendre une décision et choisir entre sa mère et sa femme, que choisira t-il ? Si il fait plaisir à l'une, il décevra l'autre et lui fera du mal. Mais, il les aime toutes les deux. Il doit donc s'attendre à ce que l'une ou l'autre lui dise : « tu ne m'aimes pas suffisamment, tu me fais du mal, tu me déçois ». Comme il a plus peur de décevoir l'une que l'autre, il choisira ce dont il a le moins peur. C'est ce genre de situation qui l'attend. Mais si son choix est fait par amour, alors à l'autre, il démontre son non-amour. Ainsi, aimer l'un consiste dans ce cas là à ne pas aimer l'autre, puisqu'il part du principe que celui qui aime ne peut pas faire de mal, ou ne doit pas faire de mal à celui/celle qu'il aime.

Au final, beaucoup de gens tombent dans ce piège à cause de leur conception erronée de l'amour. Et non seulement ils causent du tort à ceux qu'ils aiment, mais en plus, ils vont eux aussi de déception en déception, persuadés que ceux qui les aiment ne doivent pas non plus les décevoir ou leur faire du mal. Cette conception de l'amour mène à l'échec de toute relation.

Re: Le devoir d'aimer

Posté : 10 févr.18, 09:41
par Inti
MonstreLePuissant a écrit :Inti, ce n'est pas du temps perdu si un jour il arrive à comprendre qu'il confond l'amour avec la peur. Dans son petit cocon familiale privilégié, il est persuadé de connaître la vie.
Je sais. C'était bien le sens de mon intervention. :) :hi:

Re: Le devoir d'aimer

Posté : 10 févr.18, 11:45
par Farore97
MLP ;

Ben voyons ! Et maintenant qu'on a le couteau dans la plaie on le remue, hein !

Ca t'amuse beaucoup de te sentir au dessus de moi avec ta senecescence et je perds patience parce que depuis tout a l'heure tu ne parle que pour me rabaisser.
Le fait que tu soit un vieux routard n'est pas indépendant du fait d'etre un vieux ***, ne l'oublie pas. Alors tu mets cet argument en veilleuse si tu souhaite discuter ou tu t'arrête de parler à partir de maintenant.

Si j'ai appris bien une chose, c'est que l'age ne veut rien dire sur la sagesse. Et ce que je lis est une preuve irréfutable de ce que j'affirme.

Je l'ai decouvert en discutant avec un gosse de 12 ans. Et je suis pourtant loin d'etre un diminué.

On va repondre reponse après réponse.

1) Tu chausse du combien dis moi ? Du 52 ? Tes chevilles sont pas assez enflées ?

Genre a croire que tu détient LA vérité ^^. Tu t'es pris pour un maitre jedi ou quoi ? Descend donc tes grands chevaux espece de sophiste ! Et vient poser genoux a terre dans la merde pour prendre conscience de non pas TA vérité mais LA réalité !
J'espère que ton fils rencontrera beaucoup d'autres personnes. BEAUCOUP d'autres afin que ta vérité y soit diluée !

2) Sauf que dans ton exemple avec le cinéma je n'y suis fichtrement pour rien, parce qu'il y a un chauffard qui a fait le demeuré sur la route. Tandis que dans mon exemples, j'ai pris une decision dont je suis seul responsables.

Je ne me reprocherai pas le fait qu'un accident arrive par l'erreur humaine (involontaire) de quelqu'un d'autres. Évidemment que je n'y pourrai rien. Mais dans le cas ou mon choix est impliqué dans la conséquence que je subit et que subissent d'autre, là je suis en tort parce que je n'ai pas été assez prudent.

L'absurdité de tes raisonnement vient du fait que tu n'as pas analyser la subtilité de la situation. Mon raisonnement se porte mieux sur ses deux jambes que moi même ne le peux a l'heure actuelle.

3) Qu'est ce qui m'oblige a souffrir ? Oui ca MLP c'est une bonne question.
Pourquoi suis je prêt a souffrir pour l'autre plutôt que de le laisser souffrir a causes de mes actions lié a mln bonheur personnel ? Tout simplement parce que je l'aime voilà tout. Si tu laisses quelqu'un souffrir c'est que tu ne l'aime tout simplement pas. Parce que tu y es tout simplement indifférent.
Mais encore faut il parlé la même langue ! Et bien savoir ce qu'est l'amour qui n'est pas confondre avec le bien être personnel !

L'amour c'est une aventure MLP. Et une aventure est accompagné par de diverses péripéties, dont la souffrance. Si tu cherche le bien être, tu ne cherche pas l'aventure ; tu ne cherches pas l'amour. (L'aventure l'ennui et le sérieux de Jankelevitch).

Quant à ton erreur lié a ton passé, sache que c'est évident que tu ai été malheureux parce que tu attendais quelques choses de l'autres alors qu'il aurai fallut que ce soit toi qui change, qui t'harmonises avec les autres. Mais après si tu le prends comme une forme de soumission, c'est que tu ne supporte pas d'être regardé de haut. Mais t'ecoutant parlé ca ne m'étonne pas, car tu es super puant d'orgueil. Après a quoi c'est du ? ... je sais pas ; a toi de faire une introspection, ou de faire quelques essais si tu comptes le savoir.
Mais comme tu sembles ne rien en avoir a ciré...


Sache que le devoir d'amour se veut de resoudre tout nos problème personnel car il impose le changement a soi même qui sera bénéfique. Comme le.dis ta phrase a la fin de ton 3ème commentaire...
Le changement commence par soi même !


4) je ne cherche pas a contenter mes parents, gros bêta. Mes amis et ma famille toute entière sont derrière moi. Ils compétent sur moi vois tu : et je ne souhaite pas les décevoir !
Encore une fois, cela s'appelle aimer, MLP.
Et t'es juste un type qui ne cherche pas a voir plus loin que ton propre bien être parce que tu estime que aller au delà t'es nuisibles !
C'est comme si un enfant te disait que ces devoir c'était d'etre en vacances. Ouais bah mon coco, si tu vas a lourdes et que tu pris tres fort peut être que tu y parviendra, mais sinon, j'ai pas de solutions pour toi !

5) Avec cette simple facon de fonctionner je vais apprendre de plus en plus a mieux agir pour moi sans nuire a l'autre et prendre des précautions vis a vis de ce derniers ! Je vais apprendre de mes erreurs. Et par dessus tout, je ne serai jamais déçu de ce monde, parce que je l'aime. Je ne peux qu'en être surpris. Je ne ferai que progresser et j'avancerai malgré la douleur que je n'oublierais jamais. C'est ca etre un homme ! Il s'agit de savoir grandir, et cela ne se fait jamais sans douleur tout comme le nouveau né hurle a cause de la poussée de ses dents de lait !


Pour conclure, il va falloir franchement que tu te considère moins supérieur aux autres et que tu apprenne a te pencher voir a te mettre a genoux si tu es aussi grand que tu le pretends, et a montée dans tes tours et tes citadelles.

Si toi t'arrives pas a croire qu'un gosse de 18 ans t'enseigne sa vision de la vie, moi au même titre j'arrive pas à croire qu'un mec aussi âgé puisse être aussi aveugle et buté comme une mule face aux autres et puissent se permettre après de me donner une leçon de vie !

Ce n'est pas de la sagesse, mais de plutôt de la facilité que tu cherche, une pensée epicurienne dont tu n'assume qu'a moitié.

Il n'y a pas de monstrelepuissant qui tienne. Il n'y a qu'un monstrelimpuissant qui essaye de s'afficher devant un jeno pas trop con et qui sait argumenté un minimum.

Re: Le devoir d'aimer

Posté : 10 févr.18, 14:53
par Inti
C'est vrai que prendre une piste expert tout en étant novice en ski est un péché d'orgueil. De là la punition. :hi:

Re: Le devoir d'aimer

Posté : 10 févr.18, 15:23
par MonstreLePuissant
Farore97 a écrit :2) Sauf que dans ton exemple avec le cinéma je n'y suis fichtrement pour rien, parce qu'il y a un chauffard qui a fait le demeuré sur la route. Tandis que dans mon exemples, j'ai pris une decision dont je suis seul responsables.
J'ai donné suffisamment d'exemple pour te faire comprendre l'absurdité de ce genre de réflexion.
Farore97 a écrit :Pourquoi suis je prêt a souffrir pour l'autre plutôt que de le laisser souffrir a causes de mes actions lié a mln bonheur personnel ? Tout simplement parce que je l'aime voilà tout. Si tu laisses quelqu'un souffrir c'est que tu ne l'aime tout simplement pas. Parce que tu y es tout simplement indifférent.
Voilà ! Tu agis toujours par peur de faire souffrir l'autre. Et tant que tu agiras motivé par la peur, tu t'éloigneras de ce qui est l'amour.
Farore97 a écrit :L'amour c'est une aventure MLP. Et une aventure est accompagné par de diverses péripéties, dont la souffrance. Si tu cherche le bien être, tu ne cherche pas l'aventure ; tu ne cherches pas l'amour. (L'aventure l'ennui et le sérieux de Jankelevitch).
La vie est déjà une aventure. Et quand on est suffisamment intelligent, on fait en sorte que ce soit l'aventure la plus agréable et enrichissante qui soit. La souffrance est donc totalement inutile.
C'est aussi stupide que de foncer dans une tempête en mer, alors qu'on peut naviguer tranquillement et profiter des bonnes conditions météo. Seul un idiot trouvera que foncer dans la tempête est utile à son aventure.
Farore97 a écrit :Quant à ton erreur lié a ton passé, sache que c'est évident que tu ai été malheureux parce que tu attendais quelques choses de l'autres alors qu'il aurai fallut que ce soit toi qui change, qui t'harmonises avec les autres.
Justement, j'ai changé en me recentrant sur moi même, et en devenant indépendant des autres. Une décision pleine de bon sens.
Farore97 a écrit :Sache que le devoir d'amour se veut de resoudre tout nos problème personnel car il impose le changement a soi même qui sera bénéfique. Comme le.dis ta phrase a la fin de ton 3ème commentaire...
Le changement commence par soi même !
Il ne résoudra rien car il est illusoire. Il ne fonctionnera qu'au pays de Oui-Oui ! (En même temps, il n'y a pas si longtemps que tu lisais Oui-Oui. Il doit y avoir un rapport)
Ce concept ne créera que des conflits supplémentaires, car il est impossible de satisfaire tout le monde. Ton "amour" ne vise qu'à satisfaire tout le monde, et c'est totalement illusoire.
Farore97 a écrit :4) je ne cherche pas a contenter mes parents, gros bêta. Mes amis et ma famille toute entière sont derrière moi. Ils compétent sur moi vois tu : et je ne souhaite pas les décevoir !
Encore une fois, cela s'appelle aimer, MLP.
Tu dis une chose et son contraire dans la même phrase. Si tu ne souhaites pas les décevoir, c'est que tu cherches à les contenter. Ca prouve à quel point tu n'as pas compris ton propre fonctionnement, et par la même occasion, ta propre prison. Toujours la peur de décevoir l'autre.

Encore une fois, ce que tu prends pour de l'amour n'est que l'expression de ta peur.

Je te soumets le dilemme de la belle-fille pour voir comment tu le résous avec ton amour version 18-a.

Ta mère et ta femme ne sont pas d'accord. Elle s'opposent l'une à l'autre et tu dois trancher. Soutenir l'une ou soutenir l'autre. Mais tu prétends les aimer toutes les deux et tu ne veux pas les décevoir. Mais si tu prends partie pour l'une, tu décevras automatiquement l'autre et tu la feras souffrir irrémédiablement. Si tu fais souffrir l'une, ça signifiera que tu ne l'aimes pas selon ta propre notion de l'amour. C'est ou ta mère que tu aimes, ou ta femme. Mais tu dois nécessairement choisir, ce qui constituera une trahison vis à vis de l'autre. Aucun détour, et aucune entente n'est possible, et elles te somment de choisir. Donc, comment résous tu ce dilemme ?

Je remets ta phrase :
Farore97 a écrit :Si tu laisses quelqu'un souffrir c'est que tu ne l'aime tout simplement pas.
Je te souhaite bonne réflexion. :)

Re: Le devoir d'aimer

Posté : 11 févr.18, 00:38
par Farore97
J'ai donné suffisamment d'exemple pour te faire comprendre l'absurdité de ce genre de réflexion.
Tu en as donné suffisamment pour te convaincre que tu avais raison. Mais tu viens de confondre ici l'acte des autres et les acte qui sont lié à mes choix.
Voilà ! Tu agis toujours par peur de faire souffrir l'autre. Et tant que tu agiras motivé par la peur, tu t'éloigneras de ce qui est l'amour.
Alors ça, c'est la meilleur !

J'ai deux réponses à te donner :

1) Premièrement : Ce n'est pas de la peur mais c'est de l'amibition MLP. A la différence de la peur, l'ambition n'éprouve pas cette crainte d'echouer, parce qu'elle sait parfaitement qu'elle ne peut atteindre ses objectif qu'en apprenant de ses erreurs.
L'échec est le meilleur des maitres ! Et moi je n'ai pas peur de tomber encore et encore, et de plus en plus haut !
Cela s'oppose à la peur de ne pas savoir comment on pourra parvenir à triompher de tout cela. Cela s'oppose à toi, qui a abandonner cette voie pour trouver ton bonheur ailleurs.

2) Mais quand bien même, au cas où tu arriverai à me démontrer que j'ai tort (ce dont je doute fort), j'ai mon petit joker à jouer :
Si Moi j'ai peur de ne pas tenir mes promesses aux autres, et de leur faire de la peine, toi tu as peur de ce devoir d'amour parce que tu craint devoir refaire face à la souffrance que tu as vécu durant ton enfance ! Tu ne veux pas revivre cela, n'est ce pas ?
Nous avons donc tout les deux peur :
Mais qui d'entre nous à la peur la plus noble ?

Celui qui se soucie de lui-même ? Ou celui qui se souci des les autres ?
La vie est déjà une aventure. Et quand on est suffisamment intelligent, on fait en sorte que ce soit l'aventure la plus agréable et enrichissante qui soit. La souffrance est donc totalement inutile.
C'est aussi stupide que de foncer dans une tempête en mer, alors qu'on peut naviguer tranquillement et profiter des bonnes conditions météo. Seul un idiot trouvera que foncer dans la tempête est utile à son aventure.
Tu te fais des illusions ! Est-ce que la mémoire par hasard te ferait elle déjà défaut ? Et après ça prétend être un Homme d'expérience ; encore faudrait il qu'il reste quelque choses de viables dans ta mémoire qui puisse être partagé.

L'aventure, MLP, n'a rien à voir avec un long fleuve tranquille. Et elle ne te montrera d'ailleurs pas toujours ce que tu veux voir. L'aventure se fiche complètement de savoir si elle te convient ou pas : c'est une femme aussi ravissante qu'imprévisible tu sais. L'enrichissement ne passe pas toujours par la paix.
Il passe des fois par ce qui te déplait et pourtant qui constitue ta réalité.
Ainsi, choisir de naviguer tranquillement avec de bonne condition meteorologique, signifie que tu cherhce à ne pas te confronter au caractére inconnu de l'aventure : tu ne la cherche donc pas du tout. Et l'amour, fait parti de l'aventure.

Celui qui fonce dans la tempête est celui qui a envie donc d'en ressortir autre, même si il sait pertinnement qu'il peut ne jamais en revenir ! Pourquoi des gens à ton avis vont sur le mont Everest pour risquer leur vie ? Sont ils pour autant stupide ?

Tout compte fais MLP tu ne comptes pas t'enrichir, parce que tu veux au final avoir la maitrise de A à Z sur tout.
Tu t'enferme dans un quotidien prosaique, un val sans retour, qui selon toi te permet de te protéger des avis des autres et de vivre ta liberté.

Ce devoir d'amour permettrai aux autres de s'ouvrir les uns sur les autres, d'avoir un grand choix d'aventure pour tous et de s'enrichir le plus possible ! De faire de la vie une véritable aventure

Dis moi donc au final, qui est-ce qui a peur, ici ?

Celui qui se protège ? ou celui qui fais face ?
Justement, j'ai changé en me recentrant sur moi même, et en devenant indépendant des autres. Une décision pleine de bon sens.
...Mais qui n'a certainement pas la prétention de faire intervenir la notion d'amour ! Ca c'est la volonté de bien être. Et comme dit au dessus, l'amour est une aventure qui te mettras à mal de nombreuses fois, mais qui ne te rendras que plus fort !
Il ne résoudra rien car il est illusoire. Il ne fonctionnera qu'au pays de Oui-Oui ! (En même temps, il n'y a pas si longtemps que tu lisais Oui-Oui. Il doit y avoir un rapport)
Ce concept ne créera que des conflits supplémentaires, car il est impossible de satisfaire tout le monde. Ton "amour" ne vise qu'à satisfaire tout le monde, et c'est totalement illusoire.
Oui effectivement, ...Que le temps passe vite MLP ! Hier j'étais sur du OUI-OUI et aujourd'hui je suis sur du Kant, du Nietszcz, et du Jean Paul Sartre ! Tu semble si ... dépassé !

Ce concepte créera la liberté d'être aimer, car elle donnera l'opportunité de s'ouvrir sur autrui. Des gens se ferme aux autres aux premiers regards, se detestent , puis s'entretue pour de simple différence apparente !
Des gens s'ignore alors qu'il pourrait boire une bière dans un bar et passer un moment très sympathique !

Ce devoir d'amour permettra d'éviter toutes ces emmerdes. Laisser cela libre, nous mène à se fier au hasard et peut être à ne jamais vivre l'aventure que l'on souhaite mener...
Tu dis une chose et son contraire dans la même phrase. Si tu ne souhaites pas les décevoir, c'est que tu cherches à les contenter. Ca prouve à quel point tu n'as pas compris ton propre fonctionnement, et par la même occasion, ta propre prison. Toujours la peur de décevoir l'autre.

Encore une fois, ce que tu prends pour de l'amour n'est que l'expression de ta peur.

Je te soumets le dilemme de la belle-fille pour voir comment tu le résous avec ton amour version 18-a.

Ta mère et ta femme ne sont pas d'accord. Elle s'opposent l'une à l'autre et tu dois trancher. Soutenir l'une ou soutenir l'autre. Mais tu prétends les aimer toutes les deux et tu ne veux pas les décevoir. Mais si tu prends partie pour l'une, tu décevras automatiquement l'autre et tu la feras souffrir irrémédiablement. Si tu fais souffrir l'une, ça signifiera que tu ne l'aimes pas selon ta propre notion de l'amour. C'est ou ta mère que tu aimes, ou ta femme. Mais tu dois nécessairement choisir, ce qui constituera une trahison vis à vis de l'autre. Aucun détour, et aucune entente n'est possible, et elles te somment de choisir. Donc, comment résous tu ce dilemme ?
Pour ma phrase qui semble contradictoire, je voulais dire qu'il ne s'agissait pas que de mes parents, mais de tous ceux qui m'aiment.

Pour ce qui est de ton dilemne, il n'y a rien de plus simple !
Je les prends tout les deux à part et discute avec eux, en les faisant raisonner et en dédramatisant le conflit. Je leur laisse le temps de s'habituer à cette réalité et à s'accepter, en espérant que cela marche.

Je prends parti pour les deux et à la fois je m'oppose aux deux afin qu'elles fassent la paix. Rien de plus rien de moins. Car ma place est celle qui est entre les deux, à savoir celui qui va les empêcher de se blesser mutuellement. Car je les aime toutes les deux.
Mais d'un autre côté aussi tout dépends du conflit qui est à gérer !... il y a mille et un chemin pour résoudre un conflit.


Inti :

A ce que je sache, l'amour n'est pas un sujet reservé aux expert !
C'est croire qui les reservé aux expert (dont tu pretends faire parti, vu que tu intervient) qui est un péché d'orgueil : c'est un sujet libre où tout le monde à le droit de donner son avis !
Je n'ai pas de conseil à recevoir sur ce sujet de la part de gens arrogant bombé d'amour propre et d'orgueil à 18 ans, 22, 43, 85 et encore moins à 12 ans ! De tout temps je ne ferai pas éduquer par des gens qui ne sont même pas capables de se remettre en question !

Re: Le devoir d'aimer

Posté : 11 févr.18, 02:11
par MonstreLePuissant
Farore97 a écrit :Tu en as donné suffisamment pour te convaincre que tu avais raison. Mais tu viens de confondre ici l'acte des autres et les acte qui sont lié à mes choix.
Ton choix, c'est d'aller au cinéma, aller voir ta copine, aller faire du sport, et ce faisant, tu prends un risque. Il ne s'agit pas des actes des autres, mais bien des tiens.
Farore97 a écrit :1) Premièrement : Ce n'est pas de la peur mais c'est de l'amibition MLP. A la différence de la peur, l'ambition n'éprouve pas cette crainte d'echouer, parce qu'elle sait parfaitement qu'elle ne peut atteindre ses objectif qu'en apprenant de ses erreurs.
L'échec est le meilleur des maitres ! Et moi je n'ai pas peur de tomber encore et encore, et de plus en plus haut !
Cela s'oppose à la peur de ne pas savoir comment on pourra parvenir à triompher de tout cela. Cela s'oppose à toi, qui a abandonner cette voie pour trouver ton bonheur ailleurs.
Tu as peur de faire du mal aux autres. Ca n'a rien d'une ambition. Une ambition, c'est ce vers quoi on tend, mais là tes décisions et tes choix sont fondés sur cette peur.
Farore97 a écrit :2) Mais quand bien même, au cas où tu arriverai à me démontrer que j'ai tort (ce dont je doute fort), j'ai mon petit joker à jouer :
Si Moi j'ai peur de ne pas tenir mes promesses aux autres, et de leur faire de la peine, toi tu as peur de ce devoir d'amour parce que tu craint devoir refaire face à la souffrance que tu as vécu durant ton enfance ! Tu ne veux pas revivre cela, n'est ce pas ?
:shock: Excuse moi, mais ce que tu dis n'as aucun sens. Je ne vois pas en quoi le fait d'être obligé d'aimer les autres me remettrait dans la même situation que dans mon enfance, puisque je ne me suis jamais senti obligé d'aimer les autres. J'étais malheureux parce que j'avais des attentes. Et je ne vois pas comment le fait d'être obligé d'aimer les autres créerait à nouveau des attentes.
Je n'ai plus d'attentes, donc je n'ai plus aucune raison de souffrir. Et ton "devoir d'aimer" n'y changera absolument rien. Je te l'ai dit, seul un imbécile foncerait dans une tempête.
Farore97 a écrit :Nous avons donc tout les deux peur :
Mais qui d'entre nous à la peur la plus noble ?
Celui qui se soucie de lui-même ? Ou celui qui se souci des les autres ?
Non, justement, moi je n'ai pas peur. Je n'ai pas peur que les autres souffrent à cause de moi, et je ne décide jamais en fonction de ça. Et je n'ai pas peur de souffrir, puisque n'ayant pas d'attentes, je n'ai aucune raison de souffrir. C'est ce qui fait que je suis libre, une liberté qui me procure de la joie, la paix intérieure, et le bonheur. Quoi demander de plus ?
Farore97 a écrit :L'aventure, MLP, n'a rien à voir avec un long fleuve tranquille. Et elle ne te montrera d'ailleurs pas toujours ce que tu veux voir. L'aventure se fiche complètement de savoir si elle te convient ou pas : c'est une femme aussi ravissante qu'imprévisible tu sais. L'enrichissement ne passe pas toujours par la paix.
Il passe des fois par ce qui te déplait et pourtant qui constitue ta réalité.
Ainsi, choisir de naviguer tranquillement avec de bonne condition meteorologique, signifie que tu cherhce à ne pas te confronter au caractére inconnu de l'aventure : tu ne la cherche donc pas du tout. Et l'amour, fait parti de l'aventure.
:lol: Mais mon ami, toi tu es au pied de la montagne et tu cherches encore à la gravir. Moi je suis déjà au sommet de la montagne, et je peux profiter de la vue, de l'air frais, et de la tranquillité. Mon aventure de vie continue, mais sous une autre forme. L'amour, ce n'est pas une aventure, c'est le sommet de la montagne. C'est le sentiment de liberté, de plénitude, d'accomplissement de soi, de paix et de joie. C'est ça qui fait l'amour. L'absence de peur.
Farore97 a écrit :Celui qui fonce dans la tempête est celui qui a envie donc d'en ressortir autre, même si il sait pertinnement qu'il peut ne jamais en revenir ! Pourquoi des gens à ton avis vont sur le mont Everest pour risquer leur vie ? Sont ils pour autant stupide ?
C'est leur façon de s'accomplir. Mais pour toi, logiquement, c'est un manque d'amour pour les autres, puisqu'ils prennent un risque. Il faut que tu sois cohérent. Dans ta logique, si ils aiment leurs proches, ils ne prendraient pas ce genre de risque. Tu ne peux donc pas les encourager à se lancer dans l'aventure puisque ça constitue pour toi un manque d'amour.
Farore97 a écrit :Tout compte fais MLP tu ne comptes pas t'enrichir, parce que tu veux au final avoir la maitrise de A à Z sur tout.
Tu t'enferme dans un quotidien prosaique, un val sans retour, qui selon toi te permet de te protéger des avis des autres et de vivre ta liberté.
Avoir la maîtrise de A à Z est totalement impossible et illusoire. Et je n'ai pas besoin de me protéger des avis des autres, puisqu'ils sont sans effet sur moi. Et oui, je peux vivre en toute liberté. Quand tu as goûté à la liberté, tu ne veux plus jamais y renoncer. Est ce mal ?
Farore97 a écrit :Ce devoir d'amour permettrai aux autres de s'ouvrir les uns sur les autres, d'avoir un grand choix d'aventure pour tous et de s'enrichir le plus possible ! De faire de la vie une véritable aventure
La vie est déjà une aventure, sans ton devoir d'aimer. Et c'est une aventure formidable à condition de la maîtriser. Et toi, tu veux empêcher aux gens de maîtriser leur aventure en leur imposant le chemin. Je trouve ça absurde. Tout l'intérêt de l'aventure est de pouvoir choisir son propre chemin.

Quant à s'ouvrir les uns sur les autres, c'est un choix qui appartient à chacun de choisir vers qui il veut s'ouvrir. S'ouvrir à tous, c'est un peu comme coucher avec tout le monde. CA retire tout l'intérêt de partager quelque chose de spécial, avec ceux qu'on a choisi. La vraie aventure, c'est aussi pouvoir choisir ses compagnons de route. Mais avec ton devoir d'aimer, tu veux priver les gens de cette liberté qui fait leur identité.
Farore97 a écrit :Dis moi donc au final, qui est-ce qui a peur, ici ?
Celui qui se protège ? ou celui qui fais face ?
Celui qui a quelque chose à perdre, c'est celui là qui a peur. Et faire face ne signifie pas que tu n'as pas peur. Ca signifie seulement que tu la domines. C'est ça la différence !
Donc, encore une fois, tu confonds les choses. Tu crois que faire face, c'est ne pas avoir peur. Tu es dans l'erreur !

Tout l'intérêt, c'est de n'avoir rien à perdre. Si tu n'as rien à perdre, tu n'as aucune raison d'avoir peur et tu peux t'épanouir, dans la joie et la sérénité. C'est ça l'amour : l'absence de peur.
Farore97 a écrit :...Mais qui n'a certainement pas la prétention de faire intervenir la notion d'amour ! Ca c'est la volonté de bien être. Et comme dit au dessus, l'amour est une aventure qui te mettras à mal de nombreuses fois, mais qui ne te rendras que plus fort !
Tu es encore dans l'erreur. L'amour n'apporte que du bien être, que de la liberté, que de la joie, que de la paix. Si l'amour t'apporte du malheur, c'est que ce n'est pas véritablement de l'amour. C'est ta peur qui te domine, et tu réagis à ta peur, par la colère, la frustration et la déception. Tant que tu ne sauras pas différencier la peur de l'amour, tu seras dans l'erreur, et tu auras une mauvaise analyse de la situation. Toute ta vie est aujourd'hui dominée par la peur, et tu crois que c'est ça l'amour. Tu es donc à mille lieux que connaître ce sentiment extraordinaire et fabuleux qu'est l'amour. Quand on connait ça, il n'est plus question de revenir en arrière.
Farore97 a écrit :Ce concepte créera la liberté d'être aimer, car elle donnera l'opportunité de s'ouvrir sur autrui. Des gens se ferme aux autres aux premiers regards, se detestent , puis s'entretue pour de simple différence apparente !
Des gens s'ignore alors qu'il pourrait boire une bière dans un bar et passer un moment très sympathique !
La plus grande liberté qui soit, c'est la liberté d'être. C'est à dire, la liberté de choisir qui on veut être. Et cette liberté d'être m'autorise à m'asseoir au bar à siroter mon Martini, sans qu'un type sorti de nulle part viennent troubler ma tranquillité. Elle m'autorise à détester l'autre parce qu'il est différent de moi. Elle m'autorise à être différent des autres. A aimer les fraises plutôt que les pommes. Les brunes plutôt que les blondes. Elle m'autorise à choisir mes amis et mes partenaires en fonction de MES critères. Et cette liberté d'être, tu ne peux et tu ne pourras jamais aller contre. Elle est le fondement même de l'identité. En niant cette liberté d'être, tu ne feras que créer des conflits et des frustrations, ce que soit disant tu veux éviter.
Farore97 a écrit :C'est ça la vrai harmonie que permettra ce devoir d'amour. Laisser cela libre, nous mène à se fier au hasard et peut être à ne jamais vivre l'aventure que l'on souhaite mener...
Non, ce devoir d'amour ne mènera des conflits parce que tu nies l'identité de l'autre. Tu nies son caractère. Tu nies ses rêves, ses projets, ses ambitions pour lui imposer une façon de vivre. Tout ça n'est motivé que par la peur. L'amour véritable rend libre. Il te permet au contraire d'être qui tu veux être et permet surtout aux autres d'être qui ils veulent être. Il n'y a pas d'amour sans liberté. Si tu restreint la liberté, tu restreins l'amour.
Farore97 a écrit :Pour ma phrase qui semble contradictoire, je voulais dire qu'il ne s'agissait pas que de mes parents, mais de tous ceux qui m'aiment.
Donc, c'est encore pire. Tu cherches réellement à contenter tous ceux qui t'aiment. C'est toujours ta peur qui parle, ta peur de décevoir. Je ne vois que de la peur chez toi, et pas beaucoup d'amour.
Farore97 a écrit :Pour ce qui est de ton dilemne, il n'y a rien de plus simple !
Je les prends tout les deux à part et discute avec eux, en les faisant raisonner et en dédramatisant le conflit. Je leur laisse le temps de s'habituer à cette réalité et à s'accepter, en espérant que cela marche.

Je prends parti pour les deux et à la fois je m'oppose aux deux afin qu'elles fassent la paix. Rien de plus rien de moins. Car ma place est celle qui est entre les deux, à savoir celui qui va les empêcher de se blesser mutuellement. Car je les aime toutes les deux.
Mais d'un autre côté aussi tout dépends du conflit qui est à gérer !... il y a mille et un chemin pour résoudre un conflit.
Echec ! C'est toi qui devais trancher le dilemme, et là, tu fais appelles à leur raison ou leurs bons sentiments pour que tu n'ais pas à trancher. Echec sur toute la ligne. Je te le répète, la décision doit venir de toi. C'est ou l'une ou l'autre. Il n'y a pas de négociation de paix, et il ne s'agit pas de savoir qui a raison ou qui a tort, mais qui TU choisis. Tu n'es pas un lâche j'espère. Tu ne vas pas te défiler ? Non ! Donc, tu dois choisir. Mère ou épouse ? A moins que tu choisisses de trahir les deux. C'est toujours possible !

« Toute action entreprise par les êtres humains est fondée soit sur l'amour, soit sur la peur. Chaque pensée, parole ou action humaine est fondée sur l'une ou l'autre émotion. Tu n'as aucun choix à cet égard, car il n'y a pas d'autre choix. Mais tu es libre de choisir entre les deux. » (N.D. Walsh - Conversation avec Dieu)

Re: Le devoir d'aimer

Posté : 11 févr.18, 03:57
par septour
TRES juste MLP.

Re: Le devoir d'aimer

Posté : 11 févr.18, 04:41
par Farore97
Ton choix, c'est d'aller au cinéma, aller voir ta copine, aller faire du sport, et ce faisant, tu prends un risque. Il ne s'agit pas des actes des autres, mais bien des tiens.
Si je vais au cinéma, avec ma copine et que je reviens mais me fait ecraser alors que j'avais pris toutes les précautions du monde ? Je ne suis pas en tort ici ; il s'gait de l'autre qui a rouler sans doute à 110 km en ville (ou qui avait un taux d'alcoolémie très fort). Ce sont ces choix pas les miens. Dans mon exemple à moi j'ai décidé d'aller viter malgré la topologie du terrain !
Il seria ridicule d'en vouloir au temps, ou a mes collègues qui m'y ont incités ; j'avais fait un choix. Et j'en ai subit les conséquances. (contrianrement à ton exemple du cinéma).
Tu as peur de faire du mal aux autres. Ca n'a rien d'une ambition. Une ambition, c'est ce vers quoi on tend, mais là tes décisions et tes choix sont fondés sur cette peur.
Je vais jouer à argumenter comme toi :

Bah non puisque je te dis que je n'ai pas peur ! Je ne peux donc être guider que par l'amour. Mes ambitions constituent cette montagnes que je dois escaladé et je suis en marche depuis bien longtemps.
Et je tendrai à atteindre le sommet qui est d'atteindre l'état d'amour pur : celui où tu donnes tout ce que tu as aux autres sans jamais perdre une seule miette de joie !
Je n'ai pas peur parce que visiblement je dois être le seul teubé du millénaire à vouloir faire ça : si j'échoue cela ne fera auncune différence sur le monde, tandis que si je réussi, j'impacterai l'humanité positivement.
Excuse moi, mais ce que tu dis n'as aucun sens. Je ne vois pas en quoi le fait d'être obligé d'aimer les autres me remettrait dans la même situation que dans mon enfance, puisque je ne me suis jamais senti obligé d'aimer les autres. J'étais malheureux parce que j'avais des attentes. Et je ne vois pas comment le fait d'être obligé d'aimer les autres créerait à nouveau des attentes.
Je n'ai plus d'attentes, donc je n'ai plus aucune raison de souffrir. Et ton "devoir d'aimer" n'y changera absolument rien. Je te l'ai dit, seul un imbécile foncerait dans une tempête.
Si si ! ca à du sens pour ceux qui savent lire et qui ont un peu de flexibilité spirituelle (et oui vieille poutrelle, un point de plus pour la jeunesse et sa plasticité cérébrale ! :lol: :lol: :lol: )
Tu avais dis que tu n'avais pas envie de te plier aux exigences de l'autres à travers ce devoir d'amour, vrai ? Et pourquoi, toi qui pretends être si comblé et si heureux, cela te derangerai-t-il ? L'autre va t-il tant troublé ton état de plenitude, toi qui semble si imperturbable au sommet de ta montagne ?
si tu ne souhaite pas en descendre c'est parce que tu as au fond quelque choses à perdre ! Et donc que tu as peur. Sinon tu n'aurais aucune raison de refuser ce devoir d'aimer !

Comme tu l'as dis moi je suis encore en bas et je n'ai ABSOLUMENT RIEN à perdre ! Je n'ai que des opportunités à saisir ; et je choisirai celle qui me mèneront à creer le bien autour de moi ; c'est à dire, agir pour l'autre !

Mon devoir d'aimer y change beaucoup dans la mesure ou on peut dès lors gravir cette montagne ensemble et toujours plus haut : c'est ça la force de l'Homme !
Non, justement, moi je n'ai pas peur. Je n'ai pas peur que les autres souffrent à cause de moi, et je ne décide jamais en fonction de ça. Et je n'ai pas peur de souffrir, puisque n'ayant pas d'attentes, je n'ai aucune raison de souffrir. C'est ce qui fait que je suis libre, une liberté qui me procure de la joie, la paix intérieure, et le bonheur. Quoi demander de plus ?
Si la preuve au dessus :)
Mais mon ami, toi tu es au pied de la montagne et tu cherches encore à la gravir. Moi je suis déjà au sommet de la montagne, et je peux profiter de la vue, de l'air frais, et de la tranquillité. Mon aventure de vie continue, mais sous une autre forme. L'amour, ce n'est pas une aventure, c'est le sommet de la montagne. C'est le sentiment de liberté, de plénitude, d'accomplissement de soi, de paix et de joie. C'est ça qui fait l'amour. L'absence de peur.
Mdr :lol: ! Tu es arrivé au sommet du Mont St Hélène en croyant avaoir gravi une montagne et t'attends que ça t'explose à la gueule ! Profite bien de la vue tant qu'il est encore temps ! Tomber de très haut n'est jamais agréable. Assure toi d'appeler au bon moment les secours pour la redescendre en douceur ta montagne, sinon c'est à la petite cuillère qu'on va te ramasser.
C'est leur façon de s'accomplir. Mais pour toi, logiquement, c'est un manque d'amour pour les autres, puisqu'ils prennent un risque. Il faut que tu sois cohérent. Dans ta logique, si ils aiment leurs proches, ils ne prendraient pas ce genre de risque. Tu ne peux donc pas les encourager à se lancer dans l'aventure puisque ça constitue pour toi un manque d'amour.
Qui t'a dis que je les encourageais ? Je n'ai que pris un simple exemple, c'est tout... Et puis d'abord j'ai fais la même chose en skiant : comment pourrais - je avoir l'orgueil de leur dicté leur vie sur ce plan là ? Je ne peux que les encouragers à être prudent et à prendre cette avanture au sérieux.
je n'ai pas besoin de me protéger des avis des autres, puisqu'ils sont sans effet sur moi.
Je comprends donc pourquoi tu es difficilement ouvert à la critique d'autrui alors ...
La vie est déjà une aventure, sans ton devoir d'aimer. Et c'est une aventure formidable à condition de la maîtriser. Et toi, tu veux empêcher aux gens de maîtriser leur aventure en leur imposant le chemin. Je trouve ça absurde. Tout l'intérêt de l'aventure est de pouvoir choisir son propre chemin.

Quant à s'ouvrir les uns sur les autres, c'est un choix qui appartient à chacun de choisir vers qui il veut s'ouvrir. S'ouvrir à tous, c'est un peu comme coucher avec tout le monde. CA retire tout l'intérêt de partager quelque chose de spécial, avec ceux qu'on a choisi. La vraie aventure, c'est aussi pouvoir choisir ses compagnons de route. Mais avec ton devoir d'aimer, tu veux priver les gens de cette liberté qui fait leur identité.
Je n'impose à personne de suivre un chemin. J'impose à tout le monde de ne barrer la route à personne : nuance. Et le fait de laisser le droit d'aimer insinue le fait que tu as le droit ne pas en faire usage. Et donc à la place de donner le droit d'avoir une attitude gouvernée par la peur, la haine ou l'indifférence. Et cela obstrue non seulement ceux qui sont autour de toi, mais t'enferme dans une spirale infernale.

S'ouvrir à tous n'est certainement pas couché avec tout le monde : déjà ton exepression trahi une forme d'infidélité, me tromperai-je ? Je suis on ne peut plus fidèle à moi même = fidèle aux autres.
Car j'attribue de l'importance à chaque être de ce monde en reconnaissant leur singularité. Car je sais que chauque individu est irremplaçable. Je suis prêt à partager quelque choses de spécial avec chaque personne de ce monde.

Avec mon devoir d'aimer, je permet à tout le monde justement avoir cette liberté de choisir les personnes que l'on souhaite, et donc de devenir qui ont souhaite !
Tout l'intérêt, c'est de n'avoir rien à perdre. Si tu n'as rien à perdre, tu n'as aucune raison d'avoir peur et tu peux t'épanouir, dans la joie et la sérénité. C'est ça l'amour : l'absence de peur.
Ah bon ? Tu penses que t'as femme n'a pas de risques d'être emporté par une attaque, que ton fils n'a aucun risque de se faire harceler en dehors du bahut ? Tu penses que tes amis seront toujours là à tes côté et que rien ne fera qu'un jour ils serotn emporté par la mort ?

On a tous quelque chose ou quelqu'un à perdre( mais personnelment comme je suis selon toi tout en bas de la montagne, j'estime encore ne rien avoir réellement acquis). Si tu penses que tu n'as rien à perdre, cela veut dire que ton fils pourrait mourir cela ne t'empêchera pas de vivre ton bonheur. Vas y ! dis lui ça a ton fils en face pour qu'on rigole un peu. Annonce lui en face la valeur qu'il a tes yeux, et compare la à celle de ton propre bonheur !
Dis lui en face que sa mort aura un impacte que tu saura la surmonté sans trop de difficulté après tout puisque l'autre n'influe guère sur ton bonheur !

C'est donc ça l'amour ? L'absence de préoccupation en pensant laisser libre autrui ?
Tu es encore dans l'erreur. L'amour n'apporte que du bien être, que de la liberté, que de la joie, que de la paix. Si l'amour t'apporte du malheur, c'est que ce n'est pas véritablement de l'amour. C'est ta peur qui te domine, et tu réagis à ta peur, par la colère, la frustration et la déception. Tant que tu ne sauras pas différencier la peur de l'amour, tu seras dans l'erreur, et tu auras une mauvaise analyse de la situation. Toute ta vie est aujourd'hui dominée par la peur, et tu crois que c'est ça l'amour. Tu es donc à mille lieux que connaître ce sentiment extraordinaire et fabuleux qu'est l'amour. Quand on connait ça, il n'est plus question de revenir en arrière.
L'amour (encore faut il que nous parlions bien du même)est une forme de bien être. Mais toute forme de bien être n'est pas de l'amour ! La vengeance accomplie est une forme de bien être au combien jouissif pour celui qui s'y prends, mais au combien destructeur pour autrui. Et je me garde bien d'agir de cette manière.

Dans ton cas c'est l'égocentrisme ! Oh combien il est facil de ne se préoccuper que de soit ! Mais ô combien l'autre en aurai eu besoin parce sa situation est bien plus merdique que la tienne et que le jour où tu te retrouve comme lui et que personne ne t'aide, tu vas en broutter !....

Tant que tu ne sauras pas différencier le bien être de l'amour, tu sera à des années lumières de pouvoir parler d'amour.
La plus grande liberté qui soit, c'est la liberté d'être. C'est à dire, la liberté de choisir qui on veut être. Et cette liberté d'être m'autorise à m'asseoir au bar à siroter mon Martini, sans qu'un type sorti de nulle part viennent troubler ma tranquillité. Elle m'autorise à détester l'autre parce qu'il est différent de moi. Elle m'autorise à être différent des autres. A aimer les fraises plutôt que les pommes. Les brunes plutôt que les blondes. Elle m'autorise à choisir mes amis et mes partenaires en fonction de MES critères. Et cette liberté d'être, tu ne peux et tu ne pourras jamais aller contre. Elle est le fondement même de l'identité. En niant cette liberté d'être, tu ne feras que créer des conflits et des frustrations, ce que soit disant tu veux éviter.
Je ne te contraint pas à manger ce que j'aime. Mon devoir d'amour ne parle pas de cela.
Detester quelqu'un parce qu'il est different, est-ce constructif ? Tu es decidement dans le border line de ce qui est bon et de ce qui ne l'est pas !
Si tu aimes, tu es capable de mettre de côté cela sans que cela n'influe ton bonheur. Que t'importe d'avoir une identité si tu es heureux ? A quoi cela toi te sert, si tu te moque pertinement de l'avis des autres ? Nul besoin d'être jugé puisque leur jugement ne t'importe pas .
Enfin de compte tu es absolument incohérent et c'est toi le vrai enfant qui fait joujou avec ta liberté. Tu en fais usage sans utiliser ta raison, et sans te poser la question si tu pourrais nuire autres ! Tu es vêtu de cette insousiance désarmente qui m'empêche tout court de parler avec toi !

Je veux bien que tu sois différent, mais l'exiber est un signe d'orgueil qui ne crée que conflit sur conflit. Quand est ce que cela va cesser ? Je vois bien que tu es différent, alors ne me prends pas pour un [ATTENTION Censuré dsl] !
Non, ce devoir d'amour ne mènera des conflits parce que tu nies l'identité de l'autre. Tu nies son caractère. Tu nies ses rêves, ses projets, ses ambitions pour lui imposer une façon de vivre. Tout ça n'est motivé que par la peur. L'amour véritable rend libre. Il te permet au contraire d'être qui tu veux être et permet surtout aux autres d'être qui ils veulent être. Il n'y a pas d'amour sans liberté. Si tu restreint la liberté, tu restreins l'amour.
Ma defintion d'amour est claire, p*****n ! "respecter et reconnaitre la singularité d'autrui" ! N'est ce pas assez claire ! Je ne fais ici que l'accompagner dans ses différence qui en rien ne m'empêche d'être proche de lui ! C'est ça l'amour : c'est ce qui nous unis, malgré notre identité ! Elle transcende nos différents ! Elle se contre fiche justement de ce qui nous caractérise ! C'est ça aimer MLP.

Et toi, tu retire à ce sentiment le plus noble, sa raison d'être : accueillir à bras ouvert l'autre aveuglément l'autre quelqu'il soit !

Si tu n'as pas comprsi cela, c'est que tu n'as RIEN COMPRIS à ce qu'ent l'amour !
Donc, c'est encore pire. Tu cherches réellement à contenter tous ceux qui t'aiment. C'est toujours ta peur qui parle, ta peur de décevoir. Je ne vois que de la peur chez toi, et pas beaucoup d'amour.
Non, MLP ! Tu y vois ma destinée ! Tu vois mes origines, et m'ont passé. Tu y vois LE RESPECT, la prise de conscience que l'autre existe ! Tu y vois l'identité à laquelle je suis fidèle et dont je defends les couleurs. Tu t'es tous simplement heurter à l'essence même dont je suis issu et qui m'a construit !
Echec ! C'est toi qui devais trancher le dilemme, et là, tu fais appelles à leur raison ou leurs bons sentiments pour que tu n'ais pas à trancher. Echec sur toute la ligne. Je te le répète, la décision doit venir de toi. C'est ou l'une ou l'autre. Il n'y a pas de négociation de paix, et il ne s'agit pas de savoir qui a raison ou qui a tort, mais qui TU choisis. Tu n'es pas un lâche j'espère. Tu ne vas pas te défiler ? Non ! Donc, tu dois choisir. Mère ou épouse ? A moins que tu choisisses de trahir les deux. C'est toujours possible !
Ecoute moi bien vieil insolent !
A l'age où tu devais faire mumuse avec des jouets et couiner à te poser la question pourquoi suis-je malheureux, j'ai trancher des débât plus chaud que ce que tu m'imposes et régler des dilemmes plus compliqué ! Tu es loin de m'apprendre la vie.
Ma décision est que je les aimes toutes les deux et que leur humeur est compréhensible et explicable: rien n'est à négliger ! J'ai toujours appris à trancher de cette manière, entre les deux, lorsque le dilemne était très compliqué. La seule vérité qui soit absolu MLP est l'amour et la paix, et toute pensée étant en faveur à ces deux idées.

D'ailleurs, si tu ne cherhce pas de négocaition de paix c'est que tu ne cherche pas d'amour non plus ! Ce qui n'est pas mon cas (mais peut être au fond bien le tien !)

Bien entendu, MLP si l'une d'entre les deux à tord je la prends à part et discute trqlement avec elle pour la convaincre de changer de mentalité.
C'est sur si t'arrive en mode << TU AS TORT POINT BARRE !>> Oui tu vas te faire jeter comme une merde !

Le but n'est pas de choisir ici MLP. C'est de rallier à sa cause ! De persuader et/ou de convaincre sans hatisser la Haine !
Car l'amour (mon état d'être ici, et non l'aventure) ne cherche JAMAIS à blesser les autres, même si il faut leur faire passer une vérité difficile ! Car à force si on ne fait pas ça, on finit toujours par s'emporter et echouer de faire passer le message !

Tu vois, MLP je ne suis pas un lâche, parce que je suis prêt à prendre le risque de me faire hair par ces deux personnes, simultanément. Et cela ne m'empêchera pas de les aimer pour autant !

Septour :

Très util !
Merci pour ton intervention !
Bonne journée !

Re: Le devoir d'aimer

Posté : 11 févr.18, 06:53
par septour
SI TU MEURS ecrase, dis toi bien que c'etait prevu....par toi meme et avant de naitre, et oui, pas de hasard. Tu choisis ta vie(et ta mort) AVANT de naitre avec TOUS les intervenants et péripéties incluses.

Re: Le devoir d'aimer

Posté : 11 févr.18, 07:05
par Farore97
Double 0 pour toi Septour :

1) 0 preuves de ce tu me dis : Croyance personnelle et infondée.

2) 0 rapports avec le topic : Va créer un topic ailleurs pour en discuter.

merci !

Re: Le devoir d'aimer

Posté : 11 févr.18, 11:31
par Boemboy
septour a écrit :SI TU MEURS ecrase, dis toi bien que c'etait prevu....par toi meme et avant de naitre, et oui, pas de hasard. Tu choisis ta vie(et ta mort) AVANT de naitre avec TOUS les intervenants et péripéties incluses.
Voilà qui me semble intéressant ! pourrais-tu m'éclairer davantage ? Dans quelles circonstances se fait ce choix avant la naissance ?