prisca a écrit : ↑01 sept.22, 02:12
"frères et soeurs"
en Christ n'a rien à voir de près ou de loin avec "morts en Christ".
C'était le point crucial à retenir.
Oh que si, d'infiniment près de plus, les morts en Christ sont nos frères et soeurs en Christ.
Pour toi non, nous le savons, puisque pour toi : morts au péché = vivants en Christ, donc morts en Christ = vivants au péché. Raisonnement sans intelligence aucune, mais tu es dure d'entendement parce que ton cœur n'est pas converti au Seigneur, le voile n'est donc pas ôté.
C'est comme si je disais : je vis en Christ, je ne dois pas mourir physiquement en Christ, sinon je serai vivante au péché à nouveau. Comment cela pourrait-il se faire ?
Pour nous, morts au péché = vivants en Christ, morts en Christ = vivants en Christ éternellement, les deux étant morts au péché puisqu'en Christ, nés de Dieu.
Tu me fais penser aux sadducéens, qui croyaient qu'à la résurrection, les hommes prenaient femme. Il leur répondit, Luc 20 : "Les enfants de ce siècle prennent des femmes et des maris; 35 mais ceux qui seront trouvés dignes d'avoir part au siècle à venir et à la résurrection des morts ne prendront ni femmes ni maris. 36
Car ils ne pourront plus mourir, parce qu'ils seront semblables aux anges, et qu'ils seront fils de Dieu, étant fils de la résurrection. 37 Que les morts ressuscitent, c'est ce que Moïse a fait connaître quand, à propos du buisson, il appelle le Seigneur le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac, et le Dieu de Jacob. 38 Or,
Dieu n'est pas Dieu des morts, mais des vivants; car pour lui tous sont vivants".
Et
tu sais pour l'avoir écrit toi-même que les morts en Christ prennent part à la première résurrection, ils ne peuvent donc plus mourir, ils n'étaient donc en aucune manière des pécheurs, ils étaient morts au péché, puisqu'ils seront semblables aux anges et qu'ils seront fils de Dieu étant
fils de la résurrection.
Ce n'est pas le sujet, mais comme dans tous les sujets tu fais du hors sujet, j'ai fini par en conclure que ce n'était pas tant que ça prohibé. Sinon que les anciens d'ici me disent ce qu'il en est, merci.