Culpabilité de Pilate dans la Crucifixion de Jésus
Posté : 10 nov.19, 01:20
Vous avez minimisé le rôle de Pilate dans la crucifixion de Jésus.
Bien évidemment, ce sont les Romains qui ont instauré le Christianisme, donc ils ont reporté toute la faute sur les Juifs en se disculpant.
Mais pourtant Jésus est Juif d'une part, et donc en discriminant le peuple juif, ils discriminent aussi Jésus, par le lien du sang, et par le lien de la circoncision, et même après avoir lu que Dieu a endurci volontairement le coeur des Juifs afin qu'ils crucifient Jésus, donc les Juifs ne sont pas responsables de la mort de Jésus si Dieu a endurci leur coeur, et ceci dans le but que tout arrive, à savoir la Crucifixion qui sera indispensable pour piéger un Romain, celui qui reçoit la vision de Jésus pour qu'il réagisse, il s'agit de l'empereur Constantin, et bien ils continuent à minimisé le rôle de Pilate dont ils ne parlent jamais, et ils minimisent tellement, qu'ils font comme s'ils ne voient rien, n'entendent rien, et ils ne parlent pas, ils taisent la manière dont le Christianisme s'est développé, juste ils disent que Constantin est le 13ème apôtre, ils ne le canonisent pas car si les gens vont en pélerinage sur sa tombe, il faut faire une biographie de cet empereur, tout savoir tout connaitre de lui, comme à Lourdes, et après cela peut éveiller certains faits troublants, comme se dire "comment cela se fait il que Jésus soit allé vers Constantin" ?? Ce miracle est surprenant..... pourquoi Jésus qui est Juif aurait donné à un paien tant d'attention........ Les orthodoxes ont canonisé Constantin, mais les Romains non, parce qu'il ne faut pas trop en parler, si toutefois des gens viendraient à comprendre que c'est lui qui a touché la rançon pour libérer les Chrétiens, et nous nous passerions pour "la religion" qui a été responsable et coupable par Pilate de la mort de Jésus.
Taisons nous, nous prêtres catholiques, ne disons rien, ne remuons pas ciel et terre pour mettre la puce à l'oreille des gens, car ils se rendraient compte que le crime a profité à un Romain, et nous en tant que Romains, nous risquons l'amalgame.
Donc il vaut mieux mentir que de dire la vérité, pour notre salut parmi les hommes qui voudraient peut être nous faire payer.
L'empire Romain mérite que vous le connaissiez.
Il ne s'arrête pas à Rome, il inclut toute l'Europe presque, le Moyen Orient, le Magreb, et d'autres contrées ci et là, une carte parlerait mieux, mais comme je ne veux pas faire trop scolaire, je m'arrête là.
Les chrétiens dans l’Empire romain
La persécution des chrétiens
Née dans l’Orient romain, la nouvelle religion gagne progressivement tout l’Empire. Elle attire particulièrement les couches les plus humbles de la société romaine car il existe d’abord une vraie fraternité entre les communautés chrétiennes. De plus, cette nouvelle religion promet aux fidèles la vie éternelle après la mort.
Les Romains qui rejettent les rites chrétiens, les accusent de nombreux maux, car selon eux, ils irritent leurs dieux. Parce que les chrétiens refusent de se soumettre au culte impérial, au panthéon des dieux romains dans son ensemble, ils sont persécutés par de nombreux empereurs qui voient là aussi un moyen commode de répondre aux revendications d’une partie du peuple. Les chrétiens arrêtés qui persistent dans leur foi sont crucifiés ou jetés aux bêtes sauvages, ils deviennent des martyrs comme l’avait été le premier d’entre eux : Étienne, lapidé en 47 après J.-C. par des juifs.
Pour pratiquer leur foi, les chrétiens se cachent, se retrouvent dans des maisons privées, parfois dans les catacombes dans les grandes villes, à Naples, Rome. Ils utilisent des symboles pour se reconnaître, la croix et le poisson, le chrisme.
Le christianisme s’impose à Rome
Les persécutions contre les chrétiens furent particulièrement importantes au IIIe siècle. Cependant, en 313, l’empereur Constantin adopte une politique beaucoup plus tolérante par l’édit de Milan. Il met fin aux persécutions et autorise les chrétiens à pratiquer leur religion. Lui-même se convertit au christianisme.
Après Constantin, les empereurs romains sont chrétiens, de très nombreux citoyens romains se convertissent à leur tour. En 392, l’empereur Théodose interdit le polythéisme, les temples païens sont fermés. Le christianisme devient la seule religion autorisée dans l’Empire romain.
L’Église chrétienne
Les rites chrétiens
Est chrétien celui qui reçoit le baptême. Il entre par ce sacrement dans la communauté chrétienne, par une cérémonie qui sert à purifier celui qui la reçoit.
La prière est une manière fréquente de se recueillir, les dimanches les chrétiens se réunissent pour prier, lire la Bible et chanter. En mémoire de la Cène, le dernier repas du Christ avec les apôtres, les chrétiens communient : ils se partagent le pain et le vin que l’évêque ou le prêtre a consacrés.
Le calendrier de l’année est rythmé par des fêtes religieuses qui rappellent les principaux moments de la vie de Jésus. Les plus importantes sont Pâques (la résurrection du Christ) et Noël (la naissance de Jésus).
Une Église qui s’organise
L’Église est l’assemblée des fidèles, mais elle désigne aussi les structures dirigeantes qui la composent. A la tête de chaque communauté chrétienne se trouve un évêque qui a été élu par les chrétiens. Il nomme un prêtre qui est chargé d’administrer le culte. Certains évêques ont une importance plus grande en lien avec le rayonnement de leur cité ou de l’ancienneté de la communauté chrétienne. Ceux de Constantinople, d’Antioche, d’Alexandrie et en Occident celui de Rome. C’est là que se trouveraient les reliques de Saint-Pierre, que Paul fut décapité. Ces évêques portent le nom de patriarches.
Les évêques cherchent aussi à propager le christianisme tout en précisant et délimitant les croyances chrétiennes. C’est l’objet du concile de Nicée qui se réunit en 325 à l’initiative de l’Empereur Constantin. Les croyances chrétiennes sont précisées dans un texte latin, la langue de l’Eglise : Le Credo.
À partir du IIIe siècle, certains chrétiens souhaitent s’éloigner du monde pour se consacrer entièrement à Dieu dans une vie de prière, ce sont les moines. Les premiers apparaissent en Orient puis dès le Ive siècle en Occident. Lorsqu’ils vivent seuls on parle d’ermites ou d’anachorètes, s’ils vivent à plusieurs en communauté dans un monastère ce sont des cénobites.
Conclusion
Issu du Judaïsme, le christianisme naît en Orient. Il se propage progressivement sur le pourtour du bassin méditerranéen et devient une autre religion monothéiste majeure. Le message de Jésus, personnage central de cette religion, est relayé par une Église qui se structure et s’organise progressivement dès le IIIe siècle après sa mort.
Bien évidemment, ce sont les Romains qui ont instauré le Christianisme, donc ils ont reporté toute la faute sur les Juifs en se disculpant.
Mais pourtant Jésus est Juif d'une part, et donc en discriminant le peuple juif, ils discriminent aussi Jésus, par le lien du sang, et par le lien de la circoncision, et même après avoir lu que Dieu a endurci volontairement le coeur des Juifs afin qu'ils crucifient Jésus, donc les Juifs ne sont pas responsables de la mort de Jésus si Dieu a endurci leur coeur, et ceci dans le but que tout arrive, à savoir la Crucifixion qui sera indispensable pour piéger un Romain, celui qui reçoit la vision de Jésus pour qu'il réagisse, il s'agit de l'empereur Constantin, et bien ils continuent à minimisé le rôle de Pilate dont ils ne parlent jamais, et ils minimisent tellement, qu'ils font comme s'ils ne voient rien, n'entendent rien, et ils ne parlent pas, ils taisent la manière dont le Christianisme s'est développé, juste ils disent que Constantin est le 13ème apôtre, ils ne le canonisent pas car si les gens vont en pélerinage sur sa tombe, il faut faire une biographie de cet empereur, tout savoir tout connaitre de lui, comme à Lourdes, et après cela peut éveiller certains faits troublants, comme se dire "comment cela se fait il que Jésus soit allé vers Constantin" ?? Ce miracle est surprenant..... pourquoi Jésus qui est Juif aurait donné à un paien tant d'attention........ Les orthodoxes ont canonisé Constantin, mais les Romains non, parce qu'il ne faut pas trop en parler, si toutefois des gens viendraient à comprendre que c'est lui qui a touché la rançon pour libérer les Chrétiens, et nous nous passerions pour "la religion" qui a été responsable et coupable par Pilate de la mort de Jésus.
Taisons nous, nous prêtres catholiques, ne disons rien, ne remuons pas ciel et terre pour mettre la puce à l'oreille des gens, car ils se rendraient compte que le crime a profité à un Romain, et nous en tant que Romains, nous risquons l'amalgame.
Donc il vaut mieux mentir que de dire la vérité, pour notre salut parmi les hommes qui voudraient peut être nous faire payer.
L'empire Romain mérite que vous le connaissiez.
Il ne s'arrête pas à Rome, il inclut toute l'Europe presque, le Moyen Orient, le Magreb, et d'autres contrées ci et là, une carte parlerait mieux, mais comme je ne veux pas faire trop scolaire, je m'arrête là.
Les chrétiens dans l’Empire romain
La persécution des chrétiens
Née dans l’Orient romain, la nouvelle religion gagne progressivement tout l’Empire. Elle attire particulièrement les couches les plus humbles de la société romaine car il existe d’abord une vraie fraternité entre les communautés chrétiennes. De plus, cette nouvelle religion promet aux fidèles la vie éternelle après la mort.
Les Romains qui rejettent les rites chrétiens, les accusent de nombreux maux, car selon eux, ils irritent leurs dieux. Parce que les chrétiens refusent de se soumettre au culte impérial, au panthéon des dieux romains dans son ensemble, ils sont persécutés par de nombreux empereurs qui voient là aussi un moyen commode de répondre aux revendications d’une partie du peuple. Les chrétiens arrêtés qui persistent dans leur foi sont crucifiés ou jetés aux bêtes sauvages, ils deviennent des martyrs comme l’avait été le premier d’entre eux : Étienne, lapidé en 47 après J.-C. par des juifs.
Pour pratiquer leur foi, les chrétiens se cachent, se retrouvent dans des maisons privées, parfois dans les catacombes dans les grandes villes, à Naples, Rome. Ils utilisent des symboles pour se reconnaître, la croix et le poisson, le chrisme.
Le christianisme s’impose à Rome
Les persécutions contre les chrétiens furent particulièrement importantes au IIIe siècle. Cependant, en 313, l’empereur Constantin adopte une politique beaucoup plus tolérante par l’édit de Milan. Il met fin aux persécutions et autorise les chrétiens à pratiquer leur religion. Lui-même se convertit au christianisme.
Après Constantin, les empereurs romains sont chrétiens, de très nombreux citoyens romains se convertissent à leur tour. En 392, l’empereur Théodose interdit le polythéisme, les temples païens sont fermés. Le christianisme devient la seule religion autorisée dans l’Empire romain.
L’Église chrétienne
Les rites chrétiens
Est chrétien celui qui reçoit le baptême. Il entre par ce sacrement dans la communauté chrétienne, par une cérémonie qui sert à purifier celui qui la reçoit.
La prière est une manière fréquente de se recueillir, les dimanches les chrétiens se réunissent pour prier, lire la Bible et chanter. En mémoire de la Cène, le dernier repas du Christ avec les apôtres, les chrétiens communient : ils se partagent le pain et le vin que l’évêque ou le prêtre a consacrés.
Le calendrier de l’année est rythmé par des fêtes religieuses qui rappellent les principaux moments de la vie de Jésus. Les plus importantes sont Pâques (la résurrection du Christ) et Noël (la naissance de Jésus).
Une Église qui s’organise
L’Église est l’assemblée des fidèles, mais elle désigne aussi les structures dirigeantes qui la composent. A la tête de chaque communauté chrétienne se trouve un évêque qui a été élu par les chrétiens. Il nomme un prêtre qui est chargé d’administrer le culte. Certains évêques ont une importance plus grande en lien avec le rayonnement de leur cité ou de l’ancienneté de la communauté chrétienne. Ceux de Constantinople, d’Antioche, d’Alexandrie et en Occident celui de Rome. C’est là que se trouveraient les reliques de Saint-Pierre, que Paul fut décapité. Ces évêques portent le nom de patriarches.
Les évêques cherchent aussi à propager le christianisme tout en précisant et délimitant les croyances chrétiennes. C’est l’objet du concile de Nicée qui se réunit en 325 à l’initiative de l’Empereur Constantin. Les croyances chrétiennes sont précisées dans un texte latin, la langue de l’Eglise : Le Credo.
À partir du IIIe siècle, certains chrétiens souhaitent s’éloigner du monde pour se consacrer entièrement à Dieu dans une vie de prière, ce sont les moines. Les premiers apparaissent en Orient puis dès le Ive siècle en Occident. Lorsqu’ils vivent seuls on parle d’ermites ou d’anachorètes, s’ils vivent à plusieurs en communauté dans un monastère ce sont des cénobites.
Conclusion
Issu du Judaïsme, le christianisme naît en Orient. Il se propage progressivement sur le pourtour du bassin méditerranéen et devient une autre religion monothéiste majeure. Le message de Jésus, personnage central de cette religion, est relayé par une Église qui se structure et s’organise progressivement dès le IIIe siècle après sa mort.