La T.M.N. met "Jéhovah" quand cela lui plaît ! ec
Posté : 01 sept.05, 14:13
La T.M.N. met "Jéhovah" quand cela lui plaît
Prenons quelques exemples:
Colossiens 3.22 à 4.1 :
Dans l'original il y a 7 fois le même terme: "kyrios" (Seigneur). Bien qu'il ne s'agisse pas de citations de l'Ancien Testament, la T.M.N. traduit trois fois ce mot par "Jéhovah", mais s'il s'agit de Christ, on traduit: Maître...
1 Thessaloniciens 4.15 à 17 :
Nous avons ici 5 fois l'emploi du mot "kyrios", 2 fois sans l'article. La première fois, la T.M.N. traduit "Jéhovah" (v. 15), la seconde fois "Seigneur" (v. 17).
Actes 14.23 :
T.M.N. 63:
"Ils les confièrent à Jéhovah (kyrios-Seigneur) en qui ils étaient devenus croyants".
T.M.N. 74:
"... en qui ils avaient commencé à croire".
En plus de l'introduction du terme "Jéhovah", nous avons une traduction falsifiée. Elle suppose (T.M.N. 74) un aoriste, de sens parfois inchoatif; or il y a un plus-que-parfait qui, en grec, a un sens plus fort qu'en français. On pourrait le rendre par: "ils avaient complètement cru" ou "ils avaient définitivement cru".
En outre, faisons remarquer que le Comité de traduction ne tient pas compte du contexte... Qui étaient ces croyants et quel message avaient-ils reçu? Le contexte nous répond:
Il y avait parmi eux des Juifs (13.14 et 43; 14.1) et on ne pouvait pas dire d'eux: "ils avaient commencé à croire" en YHWH !
On leur avait prêché Jésus (13.23 à 37 et spécialement les v. 38 et 39).
Nous pouvons encore préciser que croire "en Dieu" (YHWH) n'a jamais sauvé personne (cf. Jacques 2.19) mais que le salut c'est de croire en Jésus-Christ (Jean 3.36, Actes 16.31...).
Même remarque.
Actes 19.20 :
"Ainsi d'une manière puissante la parole de Jéhovah (kyrios-Seigneur) croissait, et était la plus forte" (T.M.N.), mais le contexte montre qu'il s'agit bien du Seigneur Jésus (v. 13 et 15) et c'est le nom du Seigneur (Jésus) qui continue à être magnifié (v. 17).
La T.M.N. ne met pas "Jéhovah" quand cela la gêne
Rappelons sur quelles bases le Comité de la T.M.N. a traduit:
Comment un traducteur moderne doit-il savoir ou déterminer quand rendre les termes grecs kyrios et théos par le nom divin dans sa version? En déterminant où les auteurs chrétiens inspirés ont cité d'après les textes hébreux. Alors il doit se reporter à l'original pour déterminer si le nom divin apparaît là. De cette façon il détermine l'identité à donner à kyrios et théos, il peut alors les revêtir de leur personnalité (108).
Donnons deux exemples de non application de cette règle:
Hébreux 1.10 :
Dans la TMN:
"C'est toi, ô Seigneur, qui au commencement a posé les fondements de la terre et les cieux sont les oeuvres de tes mains".
Nous avons ici une citation très claire du Psaume 102, reconnue par les "Témoins de Jéhovah" (109). Ici la T.M.N. fait exception à sa règle. Pourquoi? Cela est simple: si elle avait mis "Jéhovah" elle démontrait sans doute possible que Jésus est bien la manifestation visible du YHWH de l'Ancien Testament, le Créateur, car ce verset est appliqué par l'Esprit de Dieu au Fils: Jésus-Christ (v. 8).
1 Pierre 3. 15 :
Il s'agit ici formellement d'une citation d'Esaïe 8 v. 12 à 13. La version Darby met bien un astérisque pour montrer que le mot "Seigneur" correspond à "l'Eternel" (Jéhovah) de l'Ancien Testament. La T.M.N. met "Seigneur ", pourquoi? Parce que, ici, le Christ est clairement identifié à YHWH !
Avec de telles falsifications nous comprenons qu'on puisse écrire:
Dés le début, ce journal (la Tour de Garde) a soutenu les vérités fondamentales de la Bible. Par exemple, il affirma dans le numéro d'août 1882: "C'est avec confiance que nous affirmons que dans les Ecritures le nom de Jéhovah n'est jamais appliqué à nul autre qu'au Père" (110).
Conclusion
Les remarques qui précèdent soulignent les difficultés de traduction et la quasi-impossibilité qu'il y a (en dehors des citations de l'Ancien Testament) de savoir clairement si le mot "kyrios", Seigneur, désigne le YHWH de l'Ancien Testament ou notre Seigneur Jésus-Christ.
Nous croyons que cela est voulu par Dieu, pour nous démontrer la parole du Seigneur Jésus: "Moi et le Père nous sommes un". Ainsi, lorsque les chrétiens des premiers siècles écoutaient la lecture des lettres inspirées, ils n'entendaient qu'un seul mot "Kyrios" qu'il s'agisse de YHWH de l'Ancien Testament ou du Seigneur Jésus. N'y a-t-il pas là un sujet de méditation profonde? Signalons aussi que, dans les épîtres de Jean, il est parfois impossible de savoir si l'apôtre parle du Père ou du Fils (s). Nous avons là un écho de l'Ancien Testament lorsqu'il est dit: "Au commencement Elohim (pluriel) créa (singulier) les cieux et la terre" !
Lorsque notre raison trébuche et s'arrête, la foi continue et s'empare avec ravissement de la révélation de Dieu.
vraiment la falsification est de mise dans les témoins de Jéhovah !!!
regardez t-J la Vérité en face :P
Prenons quelques exemples:
Colossiens 3.22 à 4.1 :
Dans l'original il y a 7 fois le même terme: "kyrios" (Seigneur). Bien qu'il ne s'agisse pas de citations de l'Ancien Testament, la T.M.N. traduit trois fois ce mot par "Jéhovah", mais s'il s'agit de Christ, on traduit: Maître...
1 Thessaloniciens 4.15 à 17 :
Nous avons ici 5 fois l'emploi du mot "kyrios", 2 fois sans l'article. La première fois, la T.M.N. traduit "Jéhovah" (v. 15), la seconde fois "Seigneur" (v. 17).
Actes 14.23 :
T.M.N. 63:
"Ils les confièrent à Jéhovah (kyrios-Seigneur) en qui ils étaient devenus croyants".
T.M.N. 74:
"... en qui ils avaient commencé à croire".
En plus de l'introduction du terme "Jéhovah", nous avons une traduction falsifiée. Elle suppose (T.M.N. 74) un aoriste, de sens parfois inchoatif; or il y a un plus-que-parfait qui, en grec, a un sens plus fort qu'en français. On pourrait le rendre par: "ils avaient complètement cru" ou "ils avaient définitivement cru".
En outre, faisons remarquer que le Comité de traduction ne tient pas compte du contexte... Qui étaient ces croyants et quel message avaient-ils reçu? Le contexte nous répond:
Il y avait parmi eux des Juifs (13.14 et 43; 14.1) et on ne pouvait pas dire d'eux: "ils avaient commencé à croire" en YHWH !
On leur avait prêché Jésus (13.23 à 37 et spécialement les v. 38 et 39).
Nous pouvons encore préciser que croire "en Dieu" (YHWH) n'a jamais sauvé personne (cf. Jacques 2.19) mais que le salut c'est de croire en Jésus-Christ (Jean 3.36, Actes 16.31...).
Même remarque.
Actes 19.20 :
"Ainsi d'une manière puissante la parole de Jéhovah (kyrios-Seigneur) croissait, et était la plus forte" (T.M.N.), mais le contexte montre qu'il s'agit bien du Seigneur Jésus (v. 13 et 15) et c'est le nom du Seigneur (Jésus) qui continue à être magnifié (v. 17).
La T.M.N. ne met pas "Jéhovah" quand cela la gêne
Rappelons sur quelles bases le Comité de la T.M.N. a traduit:
Comment un traducteur moderne doit-il savoir ou déterminer quand rendre les termes grecs kyrios et théos par le nom divin dans sa version? En déterminant où les auteurs chrétiens inspirés ont cité d'après les textes hébreux. Alors il doit se reporter à l'original pour déterminer si le nom divin apparaît là. De cette façon il détermine l'identité à donner à kyrios et théos, il peut alors les revêtir de leur personnalité (108).
Donnons deux exemples de non application de cette règle:
Hébreux 1.10 :
Dans la TMN:
"C'est toi, ô Seigneur, qui au commencement a posé les fondements de la terre et les cieux sont les oeuvres de tes mains".
Nous avons ici une citation très claire du Psaume 102, reconnue par les "Témoins de Jéhovah" (109). Ici la T.M.N. fait exception à sa règle. Pourquoi? Cela est simple: si elle avait mis "Jéhovah" elle démontrait sans doute possible que Jésus est bien la manifestation visible du YHWH de l'Ancien Testament, le Créateur, car ce verset est appliqué par l'Esprit de Dieu au Fils: Jésus-Christ (v. 8).
1 Pierre 3. 15 :
Il s'agit ici formellement d'une citation d'Esaïe 8 v. 12 à 13. La version Darby met bien un astérisque pour montrer que le mot "Seigneur" correspond à "l'Eternel" (Jéhovah) de l'Ancien Testament. La T.M.N. met "Seigneur ", pourquoi? Parce que, ici, le Christ est clairement identifié à YHWH !
Avec de telles falsifications nous comprenons qu'on puisse écrire:
Dés le début, ce journal (la Tour de Garde) a soutenu les vérités fondamentales de la Bible. Par exemple, il affirma dans le numéro d'août 1882: "C'est avec confiance que nous affirmons que dans les Ecritures le nom de Jéhovah n'est jamais appliqué à nul autre qu'au Père" (110).
Conclusion
Les remarques qui précèdent soulignent les difficultés de traduction et la quasi-impossibilité qu'il y a (en dehors des citations de l'Ancien Testament) de savoir clairement si le mot "kyrios", Seigneur, désigne le YHWH de l'Ancien Testament ou notre Seigneur Jésus-Christ.
Nous croyons que cela est voulu par Dieu, pour nous démontrer la parole du Seigneur Jésus: "Moi et le Père nous sommes un". Ainsi, lorsque les chrétiens des premiers siècles écoutaient la lecture des lettres inspirées, ils n'entendaient qu'un seul mot "Kyrios" qu'il s'agisse de YHWH de l'Ancien Testament ou du Seigneur Jésus. N'y a-t-il pas là un sujet de méditation profonde? Signalons aussi que, dans les épîtres de Jean, il est parfois impossible de savoir si l'apôtre parle du Père ou du Fils (s). Nous avons là un écho de l'Ancien Testament lorsqu'il est dit: "Au commencement Elohim (pluriel) créa (singulier) les cieux et la terre" !
Lorsque notre raison trébuche et s'arrête, la foi continue et s'empare avec ravissement de la révélation de Dieu.
vraiment la falsification est de mise dans les témoins de Jéhovah !!!
regardez t-J la Vérité en face :P