Sous quelle bannière êtes vous l'emprise ?
Posté : 05 mars22, 07:52
Il est forcé de remarquer que les gens se placent volontairement sous une bannière.
Mais pourquoi ? La gloire qu'elle rapporte sur nos échecs ? Un sentiment d'appartenance si intense qu'on est prêt à se battre pour elle ? Par ce qu'on se met des ornières volontairement à ne pas voir les frasques que nous imposons aux autres ainsi que les nôtres ? Par pure image qu'on se projette sur soi ? Par pure image de force versus le manque de force en nous seul ?
Bref... Pourquoi vous placez vous derrière une bannière quelconque ?
Il est plus facile d'attaquer l'autre bannière que de regarder la notre à savoir si elle est droite.
Il est plus facile de mettre nos inefficacités dans une boîte et de pointer les autres de nos échecs.
Il est toujours plus facile de louanger la bannière et celui qui la brandit que de se regarder dans le miroir à se savoir en tort.
Il est toujours plus facile de rejeter la faute sur l'autre que d'accepter la sienne.
Il est toujours plus facile de frapper sur la bannière au nom du plus fort que de se regarder soi-même.
Bref... plus facile de pointer du doigt que de se pointer soi-même.
Mais une chose demeure, nous sommes tous soit: En admiration devant une bannière X ou devant celui qui en bandit une avec une allure de certitude.
Qui peut se proclamer être le porte étendard d'une famille, d'une ville, d'une province, d'une nation ou même d'un regroupement d'État ?
Qui peut se proclamer être le porte étendard d'une équipe de sport ou de loisir ?
Qui peut se proclamer être le porte étendard d'un dogme tel le Catholicisme, l'islamisme, les TJ, etc... ??
Qui plus est est ou serait le meilleur porte drapeau de chacune de ces disciplines ?
Tous aimerait en être le porte parole de X bannière.
Tous aimerait porter la voix dans X domaine.
Tous aimerait ne pas être le pion derrière qui se fait exploiter.
Tous aimerait la reconnaissance de X bannière qui semble vouloir nous représenter soit par sa force soit par notre faiblesse.
Mais dans les faits, 1 sur quoi, 100 000... 1 million le peut.
Alors il reste quoi, le reste de nous qui subissons les railleries d'étage et les contrecoups de ces railleries.
Où vous placez vous dans cet échiquier mondiale ? Étatique ? Ecclésiastique ? Familiale ? etc...
À force de trop endurer de nos bannière et de leurs leaders, on fini par se sentir frustrer de leurs échecs car on a assez des nôtres qui s'accumulent sur nos ardoises.
À force de se faire mentir, on finit par se mentir soi-même sur ce qu'est la vérité et on emprunte la voie de la bannière.
Pourquoi se sentir rejeté à cause de notre différence de pensée car on doit, selon les bannières, suivre le ton exigé.
On se ment tellement qu'On se sent prisonnier de notre masque si bien placé à semble-t-il pour nous protéger.
Mais de quoi ? de nous-même ? et en quoi et pourquoi ?
Le mensonge fait tellement parti de nous que, étant piégé sans ressentir de retour semble nous effrayer de perdre la face !
J'ai partagé une métaphore ici mais personne ne semblait vouloir s'y repérer en lui-même.
Je la repartage mais n'oubliez pas ceci:
À force de se mentir, on finit par tomber sous le joug de celui qui sait qu'on a menti.
Mais pourquoi ? La gloire qu'elle rapporte sur nos échecs ? Un sentiment d'appartenance si intense qu'on est prêt à se battre pour elle ? Par ce qu'on se met des ornières volontairement à ne pas voir les frasques que nous imposons aux autres ainsi que les nôtres ? Par pure image qu'on se projette sur soi ? Par pure image de force versus le manque de force en nous seul ?
Bref... Pourquoi vous placez vous derrière une bannière quelconque ?
Il est plus facile d'attaquer l'autre bannière que de regarder la notre à savoir si elle est droite.
Il est plus facile de mettre nos inefficacités dans une boîte et de pointer les autres de nos échecs.
Il est toujours plus facile de louanger la bannière et celui qui la brandit que de se regarder dans le miroir à se savoir en tort.
Il est toujours plus facile de rejeter la faute sur l'autre que d'accepter la sienne.
Il est toujours plus facile de frapper sur la bannière au nom du plus fort que de se regarder soi-même.
Bref... plus facile de pointer du doigt que de se pointer soi-même.
Mais une chose demeure, nous sommes tous soit: En admiration devant une bannière X ou devant celui qui en bandit une avec une allure de certitude.
Qui peut se proclamer être le porte étendard d'une famille, d'une ville, d'une province, d'une nation ou même d'un regroupement d'État ?
Qui peut se proclamer être le porte étendard d'une équipe de sport ou de loisir ?
Qui peut se proclamer être le porte étendard d'un dogme tel le Catholicisme, l'islamisme, les TJ, etc... ??
Qui plus est est ou serait le meilleur porte drapeau de chacune de ces disciplines ?
Tous aimerait en être le porte parole de X bannière.
Tous aimerait porter la voix dans X domaine.
Tous aimerait ne pas être le pion derrière qui se fait exploiter.
Tous aimerait la reconnaissance de X bannière qui semble vouloir nous représenter soit par sa force soit par notre faiblesse.
Mais dans les faits, 1 sur quoi, 100 000... 1 million le peut.
Alors il reste quoi, le reste de nous qui subissons les railleries d'étage et les contrecoups de ces railleries.
Où vous placez vous dans cet échiquier mondiale ? Étatique ? Ecclésiastique ? Familiale ? etc...
À force de trop endurer de nos bannière et de leurs leaders, on fini par se sentir frustrer de leurs échecs car on a assez des nôtres qui s'accumulent sur nos ardoises.
À force de se faire mentir, on finit par se mentir soi-même sur ce qu'est la vérité et on emprunte la voie de la bannière.
Pourquoi se sentir rejeté à cause de notre différence de pensée car on doit, selon les bannières, suivre le ton exigé.
On se ment tellement qu'On se sent prisonnier de notre masque si bien placé à semble-t-il pour nous protéger.
Mais de quoi ? de nous-même ? et en quoi et pourquoi ?
Le mensonge fait tellement parti de nous que, étant piégé sans ressentir de retour semble nous effrayer de perdre la face !
J'ai partagé une métaphore ici mais personne ne semblait vouloir s'y repérer en lui-même.
Je la repartage mais n'oubliez pas ceci:
À force de se mentir, on finit par tomber sous le joug de celui qui sait qu'on a menti.