Puissance de l'air.
Posté : 20 août22, 06:10
1 Vous étiez morts par vos offenses et par vos péchés, 2 dans lesquels vous marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance de l'air, de l'esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion. Ephésiens 2
Puissance de l'air :
► Première occurrence : "air du temps" expression pour dire --être en phase avec son époque--- être à la mode ---
Vous étiez morts par vos offenses et par vos péchés dans lesquels vous étiez jusqu'au cou trempés, autrefois, selon la pratique usuelle de ce monde, selon la domination de la pratique à la mode dans laquelle vous êtes en phase, qui consiste à vivre dans le péché, l'esprit du mal qui habite aujourd'hui les fils de la rébellion.
► Seconde occurrence : "puissance de l'air, la musique claironnante d'un son de cloche au tintement faux mais qui sonne pour vrai aux oreilles, l'approbation admise généralisée car passant comme étant tout à fait anodine, passée dans les moeurs alors qu'amorale, dans laquelle tout homme vit parce que la pratique s'étant généralisée, elle est devenue sans importance, sans danger, tout à fait quelconque, plus que cela, banalisée, et commune à chacun des humains, au point qu'elle se voit mais que personne n'y prête attention car tous les gens ont le sentiment qu'il n'y a pas de quoi fouetter un chat.
Puissance de l'air :
► Première occurrence : "air du temps" expression pour dire --être en phase avec son époque--- être à la mode ---
Vous étiez morts par vos offenses et par vos péchés dans lesquels vous étiez jusqu'au cou trempés, autrefois, selon la pratique usuelle de ce monde, selon la domination de la pratique à la mode dans laquelle vous êtes en phase, qui consiste à vivre dans le péché, l'esprit du mal qui habite aujourd'hui les fils de la rébellion.
► Seconde occurrence : "puissance de l'air, la musique claironnante d'un son de cloche au tintement faux mais qui sonne pour vrai aux oreilles, l'approbation admise généralisée car passant comme étant tout à fait anodine, passée dans les moeurs alors qu'amorale, dans laquelle tout homme vit parce que la pratique s'étant généralisée, elle est devenue sans importance, sans danger, tout à fait quelconque, plus que cela, banalisée, et commune à chacun des humains, au point qu'elle se voit mais que personne n'y prête attention car tous les gens ont le sentiment qu'il n'y a pas de quoi fouetter un chat.