Mouhamad n'est pas le dernier prophète
Posté : 14 sept.05, 07:11
Bonjour,
Mahomet fut le dernier, le sceau des prophètes envoyé à des païens, ou à des incroyants intégraux, pour leur apporter la Révélation absolue, leur révéler la Vérité basale, élémentaire : Il est Dieu Unique, Dieu Absolu (Coran 112), aboutissement ou sceau du prophétisme d'Abraham.
Le prophétisme de Mahomet est réel mais non absolu dans les parties du Coran rappelant la Bible ou celles touchant à des points de mœurs et de juridisme locaux et circonstanciels, dont beaucoup sont maintenant inappliqués dans l'Islam même.
Mouhamad est loué pour sa sagesse, (il fut sage de fuir ses assassins en se réfugiant à Yatreb (Médine) pour poursuivre sa mission, compensant le sort funeste de Jésus, dont le prophétisme est inachevé, ainsi que pour sa vérité et sa mission réussie, et pour n'avoir pas institué d'église et de clergé comme le fit la chrétienté qui ne suivit Jésus que de loin.
La Vérité étant unique, tous les prophètes de Dieu ne sont que des rappeleurs, comme Moïse (abstraction faite des « lois » et des gloses du clergé juif qui corrompit sa Révélation), Yëchou (Jésus) et tous les autres.
Les prophètes rappellent la vraie Parole ; ils combattent les erreurs, superstitions et influences qui altèrent la Vérité ; ils adaptent celle-ci à l'évolution mentale ; ils libèrent de la lettre l'esprit et ils libèrent du moralisme l'amour. Ils dégagent les croyants du formalisme (la religion) ; ils exhortent les croyants au dépassement par la vie spirituelle et le retour à l'image et ressemblance du Créateur.
Par là ils portent la personne et la société à se recréer en suivant le Dessein rejeté librement par l'homme — liberté humaine que le Créateur même de la liberté respecte —. Ils s'efforcent aussi de redonner l'espoir aux incroyants et aux sceptiques.
Similairement à l'Exode qui dégénéra, l'islam n'a pas encore atteint l'idéal spirituel.
Ainsi Dieu dans sa Miséricorde a parlé à Arès en 1974 et en 1977, Il a suscité un prophète et Mahomet chevauche à cheval, c'est-à-dire prêt à l'action, à la droite de Mikal pour l'assister dans sa mission.
Extrait :
Je suis Celui Qui a parlé par Adam, Mon Premier Fils, qui a choisi d'être maître de la terre et de M'en payer tribut en passant par les plaies de Job et par la fosse…(2/1)
Je suis Celui Qui a parlé par Azor, qui M'a fait connaître au-delà de l'immense mer, portant Mon Message pendant quarante jours comme à travers un désert, passant par les peines de la soif, les tourments de la solitude et du léviathan, et dont les os reposent, comme fils d'Adam, au pied des grands pics, en attendant Mon Jour. (2/6)
Azor est un prophète hébreu qui partit sur l'immense mer (l'Atlantique), qui prêcha et mourut au pied des grands pics : cordillère nord ou sud-américaine.
Je suis Celui Qui a parlé par Noé, couché en terre au Kerak comme fils d'Adam, avant même que ses propres fils l'aient écouté, qu'il sauva pourtant de Ma Colère, mais qui finirent noyés. (2/7)
Je suis Celui Qui a parlé par Abraham et par Moïse dont les os reposent, comme fils d'Adam, ayant accompli leurs exploits et laissé Ma Promesse à leur descendance, l'un dans l'antre de Makpéla, l'autre à Rabba, attendant Mon Jour. (2/8)
Je suis Celui Qui a parlé par Mouhamad, le briseur d'idoles, le plus écouté de Mes Messagers, le plus sage, qui n'a pas fait ployer son peuple sous les observances et ne l'a pas fait fléchir sous les ordonnances des princes du culte, et qui pour cela a connu une descendance vaste comme le sable des rivages où ils échouent leurs boutres pour la prière, comme le sable des déserts dont J'ai fait jaillir pour eux la richesse et la puissance, le fils d'Adam qui repose à Yatreb, attendant Mon Jour. (2/9)
Je suis Celui Qui a parlé par Élie, le premier échappé au vœu d'Adam, son père, de M'attendre en terre, renonçant à l'héritage de la terre, renonçant à M'en payer tribut, échappant à la fosse, et qui à être le premier par la splendeur du tombeau que lui aurait érigé son peuple préféra devenir le dernier dans Mon Lieu, un ver infime réchauffé à jamais par l'éclat de Ma Gloire, une poussière portée par Mes Anges dans Mon Séjour Que ne limite aucune étoile, Qui n'a ni levant ni couchant, dont la blancheur fait paraître les soleils plus pâles que les lunes. (2/10)
Je suis Celui Qui a parlé par Jésus, Mon Second Fils, celui qui, après Élie, déjà glorifié, a renoncé au vœu d'Adam de dominer la terre et les nations pour le prix d'un tombeau glacé où M'attendre, et qui fut plus glorifié encore. Celui que J'ai oint Moi-même…(2/11-12)
J'ai parlé par Jésus et Je parle encore par lui à toi aujourd'hui. (2/15)
J'ai voulu parler par d'autres en grand nombre, mais ils se sont dérobés ; craintifs, ils n'ont pas pu sortir du monde, se distinguer du monde, monter sur Mon Parvis pour s'adresser à lui en Mon Nom, craignant les incrédules et les moqueurs, les princes du culte et leurs docteurs, les chefs des nations et leur justice, les discuteurs de toutes sortes ; ou bien ils n'ont pas livré Ma Parole, taisant ce qui déplaît au monde. Et le malheur est venu sur eux et sur le monde… (2/16-17-18).
En 1974, à Arès, en Gironde, Jésus dans sa chair transfigurée, apparaît à un homme et transmet un message de Dieu : L'Évangile donné à Arès.
En 1977, le Créateur se manifeste sous la forme d'un bâton de lumière et dicte Le Livre.
Mahomet fut le dernier, le sceau des prophètes envoyé à des païens, ou à des incroyants intégraux, pour leur apporter la Révélation absolue, leur révéler la Vérité basale, élémentaire : Il est Dieu Unique, Dieu Absolu (Coran 112), aboutissement ou sceau du prophétisme d'Abraham.
Le prophétisme de Mahomet est réel mais non absolu dans les parties du Coran rappelant la Bible ou celles touchant à des points de mœurs et de juridisme locaux et circonstanciels, dont beaucoup sont maintenant inappliqués dans l'Islam même.
Mouhamad est loué pour sa sagesse, (il fut sage de fuir ses assassins en se réfugiant à Yatreb (Médine) pour poursuivre sa mission, compensant le sort funeste de Jésus, dont le prophétisme est inachevé, ainsi que pour sa vérité et sa mission réussie, et pour n'avoir pas institué d'église et de clergé comme le fit la chrétienté qui ne suivit Jésus que de loin.
La Vérité étant unique, tous les prophètes de Dieu ne sont que des rappeleurs, comme Moïse (abstraction faite des « lois » et des gloses du clergé juif qui corrompit sa Révélation), Yëchou (Jésus) et tous les autres.
Les prophètes rappellent la vraie Parole ; ils combattent les erreurs, superstitions et influences qui altèrent la Vérité ; ils adaptent celle-ci à l'évolution mentale ; ils libèrent de la lettre l'esprit et ils libèrent du moralisme l'amour. Ils dégagent les croyants du formalisme (la religion) ; ils exhortent les croyants au dépassement par la vie spirituelle et le retour à l'image et ressemblance du Créateur.
Par là ils portent la personne et la société à se recréer en suivant le Dessein rejeté librement par l'homme — liberté humaine que le Créateur même de la liberté respecte —. Ils s'efforcent aussi de redonner l'espoir aux incroyants et aux sceptiques.
Similairement à l'Exode qui dégénéra, l'islam n'a pas encore atteint l'idéal spirituel.
Ainsi Dieu dans sa Miséricorde a parlé à Arès en 1974 et en 1977, Il a suscité un prophète et Mahomet chevauche à cheval, c'est-à-dire prêt à l'action, à la droite de Mikal pour l'assister dans sa mission.
Extrait :
Je suis Celui Qui a parlé par Adam, Mon Premier Fils, qui a choisi d'être maître de la terre et de M'en payer tribut en passant par les plaies de Job et par la fosse…(2/1)
Je suis Celui Qui a parlé par Azor, qui M'a fait connaître au-delà de l'immense mer, portant Mon Message pendant quarante jours comme à travers un désert, passant par les peines de la soif, les tourments de la solitude et du léviathan, et dont les os reposent, comme fils d'Adam, au pied des grands pics, en attendant Mon Jour. (2/6)
Azor est un prophète hébreu qui partit sur l'immense mer (l'Atlantique), qui prêcha et mourut au pied des grands pics : cordillère nord ou sud-américaine.
Je suis Celui Qui a parlé par Noé, couché en terre au Kerak comme fils d'Adam, avant même que ses propres fils l'aient écouté, qu'il sauva pourtant de Ma Colère, mais qui finirent noyés. (2/7)
Je suis Celui Qui a parlé par Abraham et par Moïse dont les os reposent, comme fils d'Adam, ayant accompli leurs exploits et laissé Ma Promesse à leur descendance, l'un dans l'antre de Makpéla, l'autre à Rabba, attendant Mon Jour. (2/8)
Je suis Celui Qui a parlé par Mouhamad, le briseur d'idoles, le plus écouté de Mes Messagers, le plus sage, qui n'a pas fait ployer son peuple sous les observances et ne l'a pas fait fléchir sous les ordonnances des princes du culte, et qui pour cela a connu une descendance vaste comme le sable des rivages où ils échouent leurs boutres pour la prière, comme le sable des déserts dont J'ai fait jaillir pour eux la richesse et la puissance, le fils d'Adam qui repose à Yatreb, attendant Mon Jour. (2/9)
Je suis Celui Qui a parlé par Élie, le premier échappé au vœu d'Adam, son père, de M'attendre en terre, renonçant à l'héritage de la terre, renonçant à M'en payer tribut, échappant à la fosse, et qui à être le premier par la splendeur du tombeau que lui aurait érigé son peuple préféra devenir le dernier dans Mon Lieu, un ver infime réchauffé à jamais par l'éclat de Ma Gloire, une poussière portée par Mes Anges dans Mon Séjour Que ne limite aucune étoile, Qui n'a ni levant ni couchant, dont la blancheur fait paraître les soleils plus pâles que les lunes. (2/10)
Je suis Celui Qui a parlé par Jésus, Mon Second Fils, celui qui, après Élie, déjà glorifié, a renoncé au vœu d'Adam de dominer la terre et les nations pour le prix d'un tombeau glacé où M'attendre, et qui fut plus glorifié encore. Celui que J'ai oint Moi-même…(2/11-12)
J'ai parlé par Jésus et Je parle encore par lui à toi aujourd'hui. (2/15)
J'ai voulu parler par d'autres en grand nombre, mais ils se sont dérobés ; craintifs, ils n'ont pas pu sortir du monde, se distinguer du monde, monter sur Mon Parvis pour s'adresser à lui en Mon Nom, craignant les incrédules et les moqueurs, les princes du culte et leurs docteurs, les chefs des nations et leur justice, les discuteurs de toutes sortes ; ou bien ils n'ont pas livré Ma Parole, taisant ce qui déplaît au monde. Et le malheur est venu sur eux et sur le monde… (2/16-17-18).
En 1974, à Arès, en Gironde, Jésus dans sa chair transfigurée, apparaît à un homme et transmet un message de Dieu : L'Évangile donné à Arès.
En 1977, le Créateur se manifeste sous la forme d'un bâton de lumière et dicte Le Livre.