La conséquence de la mort des nations, idée suicidaire occidentale
Posté : 16 nov.23, 00:18
La mort des nations porte en elle le chaos et les prémices de guerres entre les peuples sur un territoire donné. Le mondialisme réduit à l'échelle territoriale d'un pays n'a jamais fonctionné et ne fonctionnera jamais.
L'homme croit pouvoir par idéologie faire un monde sensé évoluer dans le bon sens.
Or, la mort des nations est contre nature, tout comme la mort des genres. S'il n'y a plus de genre il n'y a plus de vie. S'il n'y a plus de nations il n'y a plus de paix. L'inter-communautarisme a l'effet inverse d'une cohésion : il aboutit à un repli communautaire, réflexe de survie naturel chez l'individu lorsqu'il est confronté à une autre culture et un autre mode de vie que les siens historiques. On le constate dans n'importe quel pays, lorsqu'il y a une implantation massive de populations étrangères chez des autochtones, il n'y a plus de cohésion sociale et plus de paix sociale. Surtout lorsque la tête du pays utilise la culpabilité pour forcer l'autochtone à accepter ce changement de vie. Cela conduit indubitablement à ce qui n'est pas du racisme mais un réflexe naturel de rejet.
Cette mort des nations profitera à ceux qui refusent cette idéologie car contraire à leurs mœurs et culture, mais l'utiliseront cependant pour leur expansion silencieuse cédée par les états en place. Ce qui conduira immanquablement un jour ou l'autre à un affrontement.
Le mondialisme des peuples est une idéologie contre nature qui ne tient pas compte des différences entre individus mais tente par tous les moyens de les aplanir pour les rendre uniformes. C'est la mort de l'individu, du plus faible au profit de celui qui voudra garder son individualité propre que son histoire lui aura façonné.
L'homme croit pouvoir par idéologie faire un monde sensé évoluer dans le bon sens.
Or, la mort des nations est contre nature, tout comme la mort des genres. S'il n'y a plus de genre il n'y a plus de vie. S'il n'y a plus de nations il n'y a plus de paix. L'inter-communautarisme a l'effet inverse d'une cohésion : il aboutit à un repli communautaire, réflexe de survie naturel chez l'individu lorsqu'il est confronté à une autre culture et un autre mode de vie que les siens historiques. On le constate dans n'importe quel pays, lorsqu'il y a une implantation massive de populations étrangères chez des autochtones, il n'y a plus de cohésion sociale et plus de paix sociale. Surtout lorsque la tête du pays utilise la culpabilité pour forcer l'autochtone à accepter ce changement de vie. Cela conduit indubitablement à ce qui n'est pas du racisme mais un réflexe naturel de rejet.
Cette mort des nations profitera à ceux qui refusent cette idéologie car contraire à leurs mœurs et culture, mais l'utiliseront cependant pour leur expansion silencieuse cédée par les états en place. Ce qui conduira immanquablement un jour ou l'autre à un affrontement.
Le mondialisme des peuples est une idéologie contre nature qui ne tient pas compte des différences entre individus mais tente par tous les moyens de les aplanir pour les rendre uniformes. C'est la mort de l'individu, du plus faible au profit de celui qui voudra garder son individualité propre que son histoire lui aura façonné.