607 définitivement désavouée récemment de manière scientifique.
Posté : 17 oct.24, 02:00
Les découvertes archéologiques récentes fournissent des preuves solides pour la datation de la destruction de Jérusalem en 586/587 avant notre ère par les Babyloniens. Voici quelques éléments clés :
Fouilles du Mont Sion : Les archéologues ont mis au jour des couches de cendres, des pointes de flèches de type scythe, ainsi que des objets ménagers et des bijoux dans les couches de destruction datées de cette période. La présence d'équipements militaires utilisés par les Babyloniens, associée aux traces de destruction intentionnelle, correspond au récit biblique de la prise de la ville par le roi Nabuchodonosor. Les découvertes soutiennent la description de la dévastation dans 2 Rois 25.
HERITAGE DAILY
JERUSALEM POST
Preuves paléomagnétiques : Dans la Cité de David, les chercheurs ont utilisé le paléomagnétisme pour analyser les signatures magnétiques des matériaux exposés à des incendies intenses. Cette méthode a permis de dater précisément la destruction à 586 avant notre ère. Les changements dans le champ magnétique enregistrés dans les vestiges brûlés fournissent un repère chronologique qui renforce la datation traditionnelle de la chute de Jérusalem à la fin de l'âge du fer.
THE TIMES OF ISRAEL
PLOS
Objets et preuves administratives : Dans plusieurs sites, notamment lors des fouilles du parking Givati, des poignées de jarres estampillées et d'autres objets administratifs liés au royaume de Juda ont été retrouvés dans des contextes directement associés à la destruction. Le type de sceaux utilisés a disparu après l'événement de 586 avant notre ère, ce qui corrobore davantage la chronologie établie.
ANCIENT ORIGINS
PLOS
Ces découvertes archéologiques soutiennent la datation traditionnelle de l'événement et remettent en question les interprétations alternatives, telles que la date de 607 avant notre ère proposée par certains groupes. Les preuves alignent étroitement les récits historiques et bibliques avec les données archéologiques, confirmant la dévastation généralisée lors de la conquête babylonienne.
Fouilles du Mont Sion : Les archéologues ont mis au jour des couches de cendres, des pointes de flèches de type scythe, ainsi que des objets ménagers et des bijoux dans les couches de destruction datées de cette période. La présence d'équipements militaires utilisés par les Babyloniens, associée aux traces de destruction intentionnelle, correspond au récit biblique de la prise de la ville par le roi Nabuchodonosor. Les découvertes soutiennent la description de la dévastation dans 2 Rois 25.
HERITAGE DAILY
JERUSALEM POST
Preuves paléomagnétiques : Dans la Cité de David, les chercheurs ont utilisé le paléomagnétisme pour analyser les signatures magnétiques des matériaux exposés à des incendies intenses. Cette méthode a permis de dater précisément la destruction à 586 avant notre ère. Les changements dans le champ magnétique enregistrés dans les vestiges brûlés fournissent un repère chronologique qui renforce la datation traditionnelle de la chute de Jérusalem à la fin de l'âge du fer.
THE TIMES OF ISRAEL
PLOS
Objets et preuves administratives : Dans plusieurs sites, notamment lors des fouilles du parking Givati, des poignées de jarres estampillées et d'autres objets administratifs liés au royaume de Juda ont été retrouvés dans des contextes directement associés à la destruction. Le type de sceaux utilisés a disparu après l'événement de 586 avant notre ère, ce qui corrobore davantage la chronologie établie.
ANCIENT ORIGINS
PLOS
Ces découvertes archéologiques soutiennent la datation traditionnelle de l'événement et remettent en question les interprétations alternatives, telles que la date de 607 avant notre ère proposée par certains groupes. Les preuves alignent étroitement les récits historiques et bibliques avec les données archéologiques, confirmant la dévastation généralisée lors de la conquête babylonienne.