"L'arianisme : une ébauche partant d'un bon sentiment.""
Posté : 21 janv.25, 01:28
C'était un homme déterminé à être rigoureusement respectueux de l'ETERNEL en soutenant mordicus qu'il n'y a pas d'autre Dieu à part l'ETERNEL et que donc Jésus est un homme, seulement un homme.
Cette ébauche de la foi est véritablement partie d'un bon sentiment du fait que cet homme (Arius) a voulu par dessus tout, et contre vents et marées, honorer D.IEU.
Arius a donné le mot arianisme.
Arius est un homme natif de Libye né en 256 après Jésus-Christ et mort en 336.
Il étudie à l’école théologique de Lucien d’Antioche avant d’être ordonné prêtre.
Arius adresse sa profession de foi à Alexandre, évêque d'Alexandrie : « Nous reconnaissons un seul Dieu, seul non engendré, seul éternel, seul sans principe, seul véritable, seul immortel, seul sage, seul bon, seul puissant, seul juge de tous, qui conduit et gouverne tout ; le Dieu de la loi, des prophètes et du Nouveau Testament ;
Arius reçoit alors l’appui des évêques de Palestine et se voit accueillir d’abord à Césarée puis à Nicomédie ; de là, sa doctrine se diffuse dans le milieu oriental partisan d’un monothéisme strict, pour lequel la doctrine de la Trinité peut paraître éloignée de l’idée d’un Dieu unique.
L’arianisme est condamné par le concile de Nicée en 325.
L’empereur Constantin défend au peuple de lire les ouvrages d'Arius et ordonne de les détruire, par un édit : « Tous les livres écrits par Arius devront être brûlés partout où ils se trouveront, afin que non seulement son odieuse doctrine soit anéantie, mais que la mémoire n'en passe pas à la postérité. Si quelqu'un est surpris ayant caché un livre d'Arius et ne le brûle pas sur-le-champ, il subira la peine de mort. Le supplice capital suivra immédiatement la découverte de la faute. Que Dieu vous conserve ! »
Cette ébauche de la foi est véritablement partie d'un bon sentiment du fait que cet homme (Arius) a voulu par dessus tout, et contre vents et marées, honorer D.IEU.
Arius a donné le mot arianisme.
Arius est un homme natif de Libye né en 256 après Jésus-Christ et mort en 336.
Il étudie à l’école théologique de Lucien d’Antioche avant d’être ordonné prêtre.
Arius adresse sa profession de foi à Alexandre, évêque d'Alexandrie : « Nous reconnaissons un seul Dieu, seul non engendré, seul éternel, seul sans principe, seul véritable, seul immortel, seul sage, seul bon, seul puissant, seul juge de tous, qui conduit et gouverne tout ; le Dieu de la loi, des prophètes et du Nouveau Testament ;
Arius reçoit alors l’appui des évêques de Palestine et se voit accueillir d’abord à Césarée puis à Nicomédie ; de là, sa doctrine se diffuse dans le milieu oriental partisan d’un monothéisme strict, pour lequel la doctrine de la Trinité peut paraître éloignée de l’idée d’un Dieu unique.
L’arianisme est condamné par le concile de Nicée en 325.
L’empereur Constantin défend au peuple de lire les ouvrages d'Arius et ordonne de les détruire, par un édit : « Tous les livres écrits par Arius devront être brûlés partout où ils se trouveront, afin que non seulement son odieuse doctrine soit anéantie, mais que la mémoire n'en passe pas à la postérité. Si quelqu'un est surpris ayant caché un livre d'Arius et ne le brûle pas sur-le-champ, il subira la peine de mort. Le supplice capital suivra immédiatement la découverte de la faute. Que Dieu vous conserve ! »