L'invention de l'absence du je-me-moi par un membre de ce forum
Posté : 07 nov.25, 02:30
Avant d’entrer dans le cœur de mon raisonnement, il convient de souligner une dérive préoccupante dans ta manière d’argumenter. Tu ne proposes pas une réflexion ouverte, mais une rhétorique fermée, fondée sur des points de vue fallacieux qui cherchent moins à éclairer qu’à imposer.
Ton discours repose sur une stratégie de manipulation intellectuelle car tu présentes des affirmations invérifiables comme des évidences.
Tu te places en position d’autorité en prétendant avoir dépassé l’illusion, tout en refusant le dialogue critique.
Ce procédé neutralise toute possibilité de débat rationnel, car il transforme la discussion en un jeu à somme nulle : celui qui vous contredit est, par définition, encore prisonnier de l’illusion. C’est une posture circulaire, dogmatique, et profondément anti-philosophique.
L’affirmation selon laquelle "nous vivons dans l’illusion" repose sur une structure circulaire qui mine sa propre validité. En effet, pour qu’un sujet puisse déclarer qu’il est dans l’illusion, il faut qu’il en ait conscience. Or, cette conscience suppose déjà une forme de prise de recul, donc une sortie partielle — voire totale — de l’illusion.
Comme tu ne vis pas d'illusion puisque tu as conscience d'une chose que tu profères qui consiste à dire que nous vivons dans l'illusion, cela signifie que tu es quelqu'un qui vit dans un monde réel et ton point de vue tombe à l'eau.
Tu as voulu jouer la carte du concept que personne ne peut discuter mais tu as oublié un élément essentiel : la logique
Celui qui affirme "je suis dans l’illusion" ne peut le faire qu’en se plaçant en dehors de cette illusion.
Mais s’il est en dehors, alors il n’est plus dans l’illusion. Et s’il est encore dedans, alors il ne peut pas savoir qu’il l’est. Cette posture devient donc circulaire : elle s’auto-valide en prétendant que toute objection est elle-même illusoire, ce qui interdit toute réfutation rationnelle. C’est une stratégie d’irréfutabilité, non une démonstration.
Cette circularité produit une impasse logique :
Elle nie la possibilité d’un critère extérieur à l’illusion.
Elle se fonde sur une lucidité qu’elle déclare impossible.
Elle se protège de toute critique en la déclarant illusoire, ce qui revient à se rendre invulnérable au dialogue.
En somme, c’est une boucle fermée sur elle-même, où l’illusion devient à la fois le point de départ, le moyen de preuve, et la conclusion. Une telle structure n’est pas une pensée libératrice, mais une rhétorique tautologique.
Cette personne est donc un mystificateur
Ton discours repose sur une stratégie de manipulation intellectuelle car tu présentes des affirmations invérifiables comme des évidences.
Tu te places en position d’autorité en prétendant avoir dépassé l’illusion, tout en refusant le dialogue critique.
Ce procédé neutralise toute possibilité de débat rationnel, car il transforme la discussion en un jeu à somme nulle : celui qui vous contredit est, par définition, encore prisonnier de l’illusion. C’est une posture circulaire, dogmatique, et profondément anti-philosophique.
L’affirmation selon laquelle "nous vivons dans l’illusion" repose sur une structure circulaire qui mine sa propre validité. En effet, pour qu’un sujet puisse déclarer qu’il est dans l’illusion, il faut qu’il en ait conscience. Or, cette conscience suppose déjà une forme de prise de recul, donc une sortie partielle — voire totale — de l’illusion.
Comme tu ne vis pas d'illusion puisque tu as conscience d'une chose que tu profères qui consiste à dire que nous vivons dans l'illusion, cela signifie que tu es quelqu'un qui vit dans un monde réel et ton point de vue tombe à l'eau.
Tu as voulu jouer la carte du concept que personne ne peut discuter mais tu as oublié un élément essentiel : la logique
Celui qui affirme "je suis dans l’illusion" ne peut le faire qu’en se plaçant en dehors de cette illusion.
Mais s’il est en dehors, alors il n’est plus dans l’illusion. Et s’il est encore dedans, alors il ne peut pas savoir qu’il l’est. Cette posture devient donc circulaire : elle s’auto-valide en prétendant que toute objection est elle-même illusoire, ce qui interdit toute réfutation rationnelle. C’est une stratégie d’irréfutabilité, non une démonstration.
Cette circularité produit une impasse logique :
Elle nie la possibilité d’un critère extérieur à l’illusion.
Elle se fonde sur une lucidité qu’elle déclare impossible.
Elle se protège de toute critique en la déclarant illusoire, ce qui revient à se rendre invulnérable au dialogue.
En somme, c’est une boucle fermée sur elle-même, où l’illusion devient à la fois le point de départ, le moyen de preuve, et la conclusion. Une telle structure n’est pas une pensée libératrice, mais une rhétorique tautologique.
Cette personne est donc un mystificateur