Le texte que vous avez copié collé et déjà cité dans un autre sujet pat Vic
http://www.forum-religion.org/bouddhism ... 36433.html est de Florence Lacroix une chef d'entreprise qui à pris la Soka Gakkai pour faire sa thése de son doctorat .
https://www.linkedin.com/in/florencelacroixtigreblanc
C'est dire le niveau médiocre de cette source .
Cette thèse ne vaut rien , au regard de la vie réelle des pratiquants comme moi , qui n'ont jamais connut ce qu'il y est mentionné . De plus c'est complètement à charge aucune contre information , aucun témoignage à décharge . C'est une thèse partisane à l'encontre de la Soka gakkai rien de plus . Encore mieux cette thèse a été jugé par un jury qui n'y connaissait rien .
Marmhonie a écrit Ce livre est hélas un ouvrage de la Soka Gakkaï.
Justement non ce n'est pas le cas
Le Livre
Réveiller le bouddha n'a pas été écrit par un membre de la Soka Gakkai
Marmhonie a écritJe rappelle d'abord l'implication idéologique de la Soka Gakkai dans le génocide chinois de Nankin par les japonais,
C'est parfaitement faux .Durant la Seconde Guerre Mondiale Le Président de la Soka Gakkai fut interné en prison pour s'être opposé au gouvernement militariste .
Tsunesaburo Makiguchi était le fondateur et le premier Président de la Soka Gakkai, Société pour la création de valeurs. Il était éducateur et directeur d’école primaire à Tokyo et se sentait profondément concerné par le système éducatif du Japon. En 1928, un ami le convertit au bouddhisme de la Nichiren Shoshu. Depuis l'âge de trois ans il avait été élevé dans la maison de son oncle affilié à la Nichiren Shu mais la religion n'a jamais occupé une large part dans sa vie jusqu'à sa conversion. Les années entre 1924 et 1932 furent pour lui des plus difficiles. Son deuxième fils mourut à l'âge de 23 ans et son quatrième fils, à l'âge de 19 ans en 1928. Son premier fils mourut à l'âge de 31 ans, en 1929, et sa quatrième fille, à l'âge de 14 ans en 1932. (Son dernier fils mourra à la guerre en 1944).
A ce stade de la vie, la religion devint pour lui très importante mais ils était avant tout pris par ses tentatives pour réformer le système éducatif japonais. En 1930, il publia le premier volume de Soka kyoikkgaku taikei, (Théorie pour une pédagogie créatrice de valeurs), sur une réforme pédagogique, La Soka Gakkai considère la publication de ce livre comme la création de la Soka Gakkai car pour l'éditer Makiguchi fonda la Soka Kyoiku Gakkai, (Société pour une pédagogie créatrice de valeurs). Mais en réalité l'assemblée inaugurale n'eut pas lieu avant 1937. Lors de cette première assemblée la Soka Kyoiku Gakkai ne comptait que 60 membres dont la plupart étaient des amis éducateurs. A cette époque, Makiguchi commença à intégrer les enseignements du bouddhisme de la Nichiren Shoshu dans ses propres idées d'une réforme pédagogique. En 1941, le nombre d'adhérents s'éleva à 400, grâce à la diffusion de leur revue qui tirait à 3000 exemplaires.
En 1943, le gouvernement impérialiste décréta que tous les citoyens japonais devaient enchâsser chez eux un talisman shinto de la divinité Amaterasu du sanctuaire d'Ise pour montrer leur loyauté à l'empereur. Non seulement Makiguchi refusa lui-même de compromettre sa foi en enchâssant le talisman mais il l'interdit à tous les membres de la Soka Kyoiku Gakkai. Il alla même jusqu'à admonester le Grand-patriarche de la Nichiren Shoshu de soutenir le culte de l'empereur.
Makiguchi et vingt autres dirigeants de la Soka Kyoiku Gakkai furent arrêtés pour lèse-majeste et sédition. Parmi eux seulement trois ont refusé de renoncer à leur opposition au shinto d'Etat : Tsunesaburo Makiguchi, Josei Toda et Shuhei Yajima. Yajima deviendra directeur de la Soka Gakkai après la guerre puis prêtre de la Nichiren Shoshu. Quant à Makiguchi, en 1944, il mourut de malnutrition pendant son incarcération.
Pour le reste .
La recitation d'un mantra n'est pas propre à la soka gakkai c'est le principe en autre également du bouddhisme de la terre pure .
Il n'y a absolument rien de dangereux dans cette méditation active , à chacun de l'adapter en fonction de ses capacités Personnellement je pratique depuis 31 ans et en fonction des circonstances je récite le mantra entre 6 mn et 1h / jour maxi et tout va bien .
Nam myoho renghe kyo est comme un excelent médicament , et comme tout médicament la posologie est fonction du patient
Comment pratiquer le bouddhisme de Nichiren ?
Si rien ne s’y oppose, vous pouvez commencer à pratiquer tout simplement chez vous, en vous installant dans un endroit où vous vous sentez à l’aise.
Dans la mesure du possible, la pratique s’effectue assis, le dos droit, la paume des mains jointes et les yeux ouverts. Réciter Nam-myoho-renge-kyo implique seulement de répéter cette phrase en rythme, pendant une durée que vous aurez choisie. Vous mettre face à un mur nu ou devant une bougie peut vous aider à éviter que le regard et l’esprit ne se dispersent trop.
Certains ont pu se sentir un peu gênés à l'idée de se retrouver ainsi assis face à un mur en récitant ces mots étranges et craindre d’avoir l’air idiot. Pourtant, après avoir commencé, intuitivement, ils ressentent la profondeur des mots répétés, et tout sentiment d’embarras disparaît.
La voix
Si vous avez entendu la récitation de Nam-myoho-renge-kyo par des pratiquants plus expérimentés à une vitesse qui vous paraissait difficile à égaler, n’essayez pas de les imiter. Les points importants sont la sincérité, la prononciation et la régularité jour après jour. Le rythme viendra peu à peu.
La lecture de gongyo, elle, nécessite presque toujours l’aide de quelqu’un afin d'apprendre le rythme et la prononciation corrects.
Le volume de la voix n’est pas important. Ce qui importe, c’est d’avoir une voix ferme et claire.
Le temps de pratique
Quant à la durée de la récitation, elle relève uniquement de la décision chaque personne. Nichiren Daishonin encourage à réciter Nam-myoho-renge-kyo « tout son content », à l’égal de ce qui est dit dans le 16e chapitre du Sûtra du Lotus : « Ayant à coeur le désir de voir le bouddha, ils ne donnent pas de leur vie à contrecoeur. »
Le temps peut varier largement selon les circonstances du moment et nos désirs pour l’avenir. A titre indicatif, on peut commencer par dix minutes le matin et le soir (de préférence pas trop tard pour ne pas être fatigué). Ce rythme biquotidien est très important dans la mesure où il fait écho à notre rythme le plus basique : celui du lever et du coucher du soleil.
http://www.soka-bouddhisme.fr/questions ... e-nichiren
La récitation de Nam-myoho-renge-kyo, également appelé Daimoku (« titre » en japonais), est la pratique principale dans le bouddhisme de Nichiren. Elle permet de révéler l’état de bouddha inhérent à la vie, qui se manifeste par l'émergence naturelle de joie, vitalité, courage, sagesse et compassion.