Résultat du test :

Auteur : M'enfin
Date : 18 déc.12, 04:55
Message : Bonjour,

Permettez-moi d'abord de me présenter:

J'aime beaucoup réfléchir, mais j'aime aussi beaucoup m'aventurer dans un milieu que je ne connais pas, et essayer d'y découvrir des choses insoupçonnées, des choses que nous n'avions pas imaginées encore. C'est ainsi que j'ai imaginé ceci à une époque où rien de semblable n'existait, ce fut long à développer, mais ô combien excitant. Chercher du nouveau, avoir une intuition, et développer une nouvelle idée, un nouveau concept, n'est-ce pas la destinée première de l'humanité? On peut s'interroger sur l'utilité d'une pareille aventure avec tout le ravage écologique que cette quête est en train de provoquer, mais l'humain a cette particularité de finir par se mettre dans le pétrin d'une part, et de finir par y trouver son avantage après s'en être sorti d'autre part, car jusqu'à maintenant, par rapport aux autres espèces, il s'en sort assez bien.

Mais pourquoi cette quête, pourquoi cette existence, pourquoi cette conscience? J'ai cherché, et j'ai trouvé une réponse qui me plait: tout nous serait donné par notre résistance au changement!

Cette réponse me plait parce qu'elle vient d'une thèse sur le mouvement que j'ai développée, et qui concerne le rapport que les atomes ont entre eux, mais qui s'applique à toutes les formes de mouvement. J'ai d'abord imaginé que les atomes se percevraient entre eux par l'intermédiaire de la lumière qu'ils émettent, et qu'ils chercheraient constamment à synchroniser les impulsions lumineuses qu'ils émettent à celles qu'ils perçoivent. Puis j'ai imaginé comment deux atomes d'une molécule pourraient agir pour demeurer synchronisés quand ils subissent une poussée, et ce, malgré le fait que leur échange de lumière n'est pas instantané, et je suis arrivé à la conclusion suivante.

Si je déplace légèrement un des deux atomes, le deuxième ne se déplacera pas tout de suite, mais ce premier atome devra résister à ma poussée pour essayer de demeurer synchronisé au deuxième, de sorte que dès que je cesserai ma poussée, il ralentira puis s'arrêtera si le deuxième atome ne s'est pas encore déplacé. Dès que le deuxième atome percevra le déplacement du premier, il se déplacera lui aussi même si le premier atome est alors arrêté, mais dès qu'il percevra que le premier atome s'est arrêté, il s'arrêtera lui aussi. Un instant plus tard le premier atome percevra le déplacement du second, et il se mettra à nouveau à se déplacer pour y demeurer synchronisé, et ce mouvement de va et vient se poursuivra tant que les deux atomes émettront de la lumière.

Le phénomène qui permettrait aux atomes de percevoir leurs déplacements s'appelle l'effet Doppler, et il est couramment utilisé pour mesurer toutes sortes de mouvements: le radar routier en est un exemple. Pour demeurer synchronisés ensembles pendant que je les accélère, mes deux atomes devraient résister à leur accélération, puis continuer sur leur lancée en se déplaçant par impulsions l'un par rapport à l'autre : ceci explique de manière très simple ce que les scientifiques appellent la masse. Une fois ce principe établi, j'ai eu le goût de l'appliquer à différents types de mouvement, y compris notre évolution intellectuelle, car nous résistons aussi au changement, et nous finissons aussi par changer malgré cette résistance.

Quel est le rapport entre cette résistance et la conscience vous demandez-vous? Réponse: parce que ce type de résistance est intellectuelle, qu'elle situe quelque part dans le cerveau et que, selon moi, seul le changement y est perceptible aussi. Si je me fie à mon exemple des atomes, notre conscience viendrait de la résistance au changement de chacun de nos neurones lorsqu'ils perçoivent un changement entre les impulsions qu'ils perçoivent d'une part, et celles qu'ils émettent de l'autre.

Que pensez-vous de cette idée?
Auteur : M'enfin
Date : 01 janv.13, 05:31
Message : Rebonjour,

Aucune réponse encore, aucune résistance sur laquelle m'appuyer pour développer cet merveilleuse intuition :wink: directement issue de mes incroyables neurones. :D

Je vais poser quelques questions alors, peut-être aurai-je des réponses:

Selon vous, d'où nous viendrait notre résistance au changement?
Pourquoi ne changeons-nous pas de croyance plus facilement?
Comment faisons-nous pour acquérir une telle inertie face au changement?
À quoi sert ce genre d'inertie?
Auteur : Tiel
Date : 01 janv.13, 05:55
Message :
M'enfin a écrit :Aucune réponse encore, aucune résistance sur laquelle m'appuyer pour développer cet merveilleuse intuition directement issue de mes incroyables neurones.
Oulah en effet quelle grossièreté de ma part veuillez m'en excuser comme convenu je vous donne ci-dessous ma modeste réponse à votre génial génie!


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En réitérant une nouvelle fois mes excuses!

Cordialement

Tiel
Auteur : M'enfin
Date : 01 janv.13, 10:09
Message : Drôle de réponse Tiel, mais réponse au moins. Je me sens le neurone plus léger maintenant, je sens que je vais pouvoir attendre encore au moins un mois une réponse un peu plus résistante, si je puis dire! :wink:
Auteur : Pion
Date : 04 janv.13, 02:29
Message : Et que dire de ca? Y voyez-vous un lien?

http://www.youtube.com/watch?v=ie65CWAQMLk
Nous devons absolument partir des travaux d'Emile Pinel parfaitement résumés par un excellent article du physicien Serge Nahon que vous pouvez consulter sur Internet

Je me contenterai de citer les conclusions de S. NAHON :

Emile Pinel écrit (ref 2.-p.63) :
"Il est évident que l'ensemble des champs H constitue un ordinateur [c'est-à-dire un programme] dans lequel le champ d'indice 3 transmet les ordres du champ d'indice 2 au champ d'indice 1"
Une définition plus précise des champs H1, H2, H3 est donnée ci-dessous (Ref3-p.138) :
"H2 doué de mémoire renfermant toute la programmation cellulaire…
H3 de transmission des ordres de H2 au champ exécutant . Ce champ dans le noyau se présente comme un champ de forme .
H1 magnétique, exécutant les ordres de H2 qui lui sont transmis par H3."
Ces champs sont, pour nous, aussi impalpables que le champ magnétique, pourtant ils agissent sur nous.
Mais le plus curieux est qu'à la mort de l'individu, les équations indiquent que deux de ces champs "meurent" mais pas le troisième.
Pour comprendre cette "bizarrerie" il faut se rappeler que le déplacement d'un point à l'intérieur de la cellule se transforme, dans l'analogie électrique, en un voltage E.
Il est maintenant possible de donner une présentation simplifiée de l'équation de fonctionnement de la cellule. Cette équation s'écrit :
E= A x H1 + B x H2 + C x (dH3/dt)
E correspond à un voltage et H1, H2, H3 sont les 3 champs cités. Le dernier terme, dH3/dt représente la variation du champ H3 en fonction du temps (en fait il s'agit du temps biologique qui est relié au temps ordinaire, en conséquence le raisonnement proposé ici reste valable).
A la mort de l'individu, il n'y a plus de voltage, donc E est nul. Il en résulte bien sûr que la partie droite de l'égalité doit être nulle elle aussi. Il se trouve que les coefficients A, B, C ne pouvant êtres annulés il faut alors annuler les quantités H1, H2 et dH3/dt. C'est pourquoi nous disons que les champs H1 et H2 "meurent". Mais le champ H3 ne "meurt" pas, c'est sa variation en fonction du temps qui meurt. Autrement dit, à la mort de l'individu, le champ H3 ne varie plus, il doit donc rester constant. Or il se trouve que ce champ a une composante psychologique, constatée par Emile Pinel sur les malades qu'il a soignés.
Il écrit (ref 1-p.188) :
"Il est curieux de constater que, parmi les trois champs intracellulaires, seul le champ H3 subsiste […]
[Ce champ H3] est un champ psychophysico-biologique ; seules subsistent ses propriétés psychophysiques ; par suite, après la mort, ce que l'on appelle les impondérables subsisteraient dans le flux d'un champ physique, flux aussi impalpable à mon sens que le flux d'un aimant ; il semble bien que les moyens physiques de détection dont on dispose présentement soient impuissants à le mettre à jour "

Voici donc une démonstration mathématique de l'hypothèse de la survivance du psychisme constituant les théories mathématiques de la réincarnation.

http://www.onnouscachetout.com/themes/e ... nation.php

Bon on voit que tout ça devient plus crédible quand on recherche des sources scientifiques fiables

Auteur : M'enfin
Date : 04 janv.13, 06:49
Message :
Pion a écrit :Et que dire de ca? Y voyez-vous un lien?
Pas vraiment, non. Les gens cherchent à expliquer leurs fonctions psychiques de différentes manières, faute de connaître leur vraie manière. Pour l'instant, je crois que la conscience est causée par la résistance au changement de nos neurones, et que l'information y est conservée sous forme d'onde. Quand les neurones meurent, l'onde perd son milieu de propagation, elle disparait, et la conscience avec. :( Je trouve que cette croyance-là permet de s'entendre plus facilement entre nous, car elle nous permet de prendre un peu de recul sur notre instinct de conservation. :)
Auteur : Pion
Date : 04 janv.13, 14:59
Message : Je vois des liens partout.
Auteur : M'enfin
Date : 04 janv.13, 16:25
Message :
Pion a écrit :Je vois des liens partout.
C'est normal, moi aussi je vois des liens partout, et je suis normal. :wink: Blague à part, selon ma thèse, c'est exactement ce que notre imagination cherche à faire: elle tâte le terrain à la recherche de nouvelles possibilités, au cas où elles seraient plus efficaces que les anciennes, mais elle se trompe plus souvent qu'autrement, car elle procède au hasard. C'est pour ça qu'on est souvent renversés quand on finit par trouver ou gagner quelque chose, car on sait très bien qu'on a eu de la chance. Je me demandais l'autre jour si trop de chance n'était pas nécessairement dangereux, justement parce que nous ne pouvons absolument pas nous préparer à l'imprévisible.
Auteur : Pion
Date : 05 janv.13, 10:31
Message : Trop de chance, m'a amené a croire que je ne *le méritait pas.
Il faut dire que j'ai vécu une expérience hors de l'ordinaire il y a environ 30ans.
On m'a demandé quelque chose et j'ai refusé, car je ne m'en sentait pas digne.
Peut-être que tout cela ne vient que de mon imaginaire.

*le, étant en faite toutes les belles choses qui me sont arrivées.
Auteur : M'enfin
Date : 05 janv.13, 12:10
Message :
Pion a écrit :Trop de chance, m'a amené a croire que je ne *le méritait pas.
Trop de chance amène peut-être à douter de ses propres capacités, mais le caractère y est sûrement pour quelque chose, Quelqu'un de plus égocentrique que toi pourrait par exemple avoir autant de chance et surestimer ses capacités.
Pion a écrit :On m'a demandé quelque chose et j'ai refusé, car je ne m'en sentais pas digne.
Demandé ou offert?
Auteur : Pion
Date : 05 janv.13, 17:51
Message :
M'enfin a écrit : Demandé ou offert?
Demandé.
Auteur : M'enfin
Date : 06 janv.13, 03:08
Message : Tu ne te sentais pas digne de donner quelque chose? J'essaye de deviner, y a pas grand chose que je refuserais de donner par dignité il me semble, par égoïsme par contre, il y en a à la pelletée. Je ne trouve rien, je dois être beaucoup plus orgueilleux que toi. Qu'est-ce que je pourrais bien refuser de donner par orgueil? Ah, j'ai trouvé une chose : ma langue....au chat. :wink: Sinon de l'amour peut-être, parce que je n'y crois pas, et que je tiens à mes croyances.

J'ai vu un film qui m'a fait penser à toi hier: «Origine» avec DiCaprio. Le héros peut entrer dans le rêve des autres et le contrôler, si ça va mal il entre dans un deuxième rêve à l'intérieur du premier, et il peut même entrer dans un troisième. Comme dans tous les films américains grand public, l'histoire est truffée de destruction et de tuerie, mais après un certain temps, on devient incertain de sa propre réalité, comme toi. C'était assez angoissant comme sensation, mais peut-être étais-je déjà un peu angoissé au départ.
Auteur : Pion
Date : 06 janv.13, 03:27
Message : Inception, Cast Away , Matrix, Cloud Atlas tous des films qui m'ont interpellé.
Auteur : M'enfin
Date : 06 janv.13, 04:53
Message : Tu l'as vu alors, car il s'agit de «Inception». J'aurais préféré une histoire sans tueries et sans destructions, mais avec le même principe. J'en aurais sauté moins de bouts.

Tu joues aux échecs, Pion?
Auteur : Pion
Date : 06 janv.13, 06:40
Message :
M'enfin a écrit :Tu l'as vu alors, car il s'agit de «Inception». J'aurais préféré une histoire sans tueries et sans destructions, mais avec le même principe. J'en aurais sauté moins de bouts.

Tu joues aux échecs, Pion?
Non.
Auteur : M'enfin
Date : 06 janv.13, 07:44
Message : J'ai toujours pas deviné, tu me donnes des indices?
Auteur : M'enfin
Date : 10 janv.13, 07:35
Message : J'ai trouvé : tu ne te sentais pas digne de donner ta vie à quelqu'un pour qui tu n'étais qu'un Pion. C'est ça? Si c'est ça, je suis un devin, et il va falloir que je révise mes positions au sujet des croyances. :wink:
Auteur : Pion
Date : 10 janv.13, 08:23
Message : Non ce n'est pas cela, mais tu es prêt de la vérité malgré tout.

Si on prends en considération que c'est tout a fait l'inverse dont il est question.
Auteur : M'enfin
Date : 10 janv.13, 08:53
Message : Merci pour le service Pion!

@Voyageur :
Vous disiez que l'empathie appartient aux femmes, et qu'est-ce qui serait le propre intellectuel de l'homme alors?
Auteur : Pion
Date : 01 févr.13, 10:36
Message :
M'enfin a écrit :Salut Pion,
Tu as apprécié ton escapade?
Oui merci, le lac Louise est vraiment très beau, même sous la glace! :)
M'enfin a écrit : Pour l'appareil Doppler médical: il s'agit d'un appareil qui utilise les ondes sonores (ultra-sons) pour mesurer la vitesse d'écoulement du sang dans les artères. Il fonctionne exactement comme le radar routier ou le radar météo: il produit des ondes qui sont réfléchies par un objet en mouvement, dans ce cas, il s'agit des cellules du sang. Plus l'objet avance rapidement vers l'appareil, plus les impulsions sont réfléchies souvent, ce qui en augmente la fréquence de retour. L'appareil compare ensuite la fréquence émise à celle qui est réfléchie, et il calcule la vitesse du mobile. Dans ma thèse, les atomes produisent exactement la même fréquence lumineuse, de sorte qu'un atome peut directement comparer ses impulsions à celles d'un autre, et accélérer ou décélérer à chacune d'elles pour les allonger ou les raccourcir quand elles sont trop longues ou trop courtes.

Pour ce qui est de nos comportements, il ne s'agit évidemment pas d'effet Doppler, mais d'un décalage temporel semblable, car il est causé par le fait que nos interactions ne sont pas non plus instantanées. Et pour ce qui est du cerveau, il s'agit d'un décalage entre les impulsions nerveuses.
Est-ce que les atomes qui constitues notre cerveau, pourraient agir de manière a influencer si non ordonner nos pensées?

Si c'est le cas, lorsqu'on prend une décision, disons qu'en faisant référence a la reptation lorsque nous sommes confortablement assis sur les pattes de derrières et qu'en voulant améliorer notre ''sort'' en quelque sorte nous essayerons de trouver une meilleurs position?

(en référence au message précédent)
Auteur : M'enfin
Date : 01 févr.13, 11:59
Message : Bonne idée le transfert Pion.

Selon moi, les atomes influencent la pensée seulement parce que les réactions chimiques qui les concernent ne sont pas instantanées. Pour qu'une impulsion nerveuse se propage par exemple, il faut qu'il y ait un échange d'ions négatifs et positifs entre l'intérieur et l'extérieur du nerf, de sorte que la propagation acquiert une vitesse limitée mais précise pour tous les nerfs ce qui, selon moi, permettrait aux neurones de demeurer synchronisés entre eux et de conserver l'information en boucle de manière précise.

Chaque atome du cerveau servirait donc à entretenir la machine cérébrale, mais le reste de notre corps aussi sert à faire fonctionner le cerveau, par contre, l'information elle-même serait conservée sous forme d'ondes stationnaires constituées d'impulsions nerveuses. À la manière des atomes qui échangent leurs impulsions pour conserver leur mouvement, les neurones échangeraient leurs impulsions pour conserver leur information.
Auteur : Pion
Date : 01 févr.13, 12:16
Message : C'est tellement lourd pour moi a comprendre tout ca, mais a chaque fois que je te lis, je garde en tête l'image du concept de reptation, ça me permet de faire des liens ou corrélations entre la théorie et les explications, mais parfois j'ai besoin de temps et de réfléchir a tout ca avant d'aller plus loin, comme en ce moment. (loll)
Auteur : M'enfin
Date : 01 févr.13, 12:55
Message : Il faut que tu assimiles les concepts un à un. Si tu ne comprends pas encore suffisamment bien l'effet Doppler par exemple, poses-moi des questions précises là-dessus, car tout part de ce phénomène. Une bonne manière de le comprendre, c'est d'imaginer naviguer sur l'eau avec les vagues de face ou de derrière. De face, les vagues arrivent plus fréquemment, et de derrière, elles arrivent moins fréquemment, au point où tu peux même naviguer à la même vitesse qu'elles et ne plus les ressentir. Si tu veux obtenir une fréquence d'une vague à la seconde par exemple, tu n'as qu'à naviguer à la bonne vitesse, et c'est ce que les atomes font, sauf qu'ils procèdent par petites accélérations au lieu de se promener à vitesse constante, et ils ajustent la longueur de chacune de leurs accélérations, donc leur vitesse, pour qu'elles correspondent à la fréquence des vagues lumineuses. Ils ne peuvent pas changer la fréquence de leurs accélérations, mais ils peuvent changer la distance franchie à chacune d'elles.
Auteur : Pion
Date : 01 févr.13, 15:09
Message : Si on prend pour acquis que la capacité de compréhension est unique a chacun, est-ce que par exemple les atomes qui composent les cellules du cerveau sont différent dans leur compétence et performance aussi?
Auteur : M'enfin
Date : 01 févr.13, 16:10
Message : Les atomes d'un même élément chimique sont tous identiques entre eux, par exemple les atomes de sodium qui procurent les ions positifs sont tous identiques, mais les neurones et les synapses peuvent être différents chez chacun. Le nombre de neurones et le nombre de leurs connexions, les synapses, peuvent être différents, et leur précision aussi. Selon moi, la précision des neurones est liée à la précision de la mémoire, et l'imprécision des synapses est liée à la possibilité d'improviser du nouveau ou de s'adapter au changement.

Si je me fie cette hypothèse, par rapport à la norme, mes neurones seraient imprécis et mes synapses aussi, car j'ai peu de mémoire et beaucoup d'imagination. :wink:
Auteur : Pion
Date : 01 févr.13, 16:58
Message :
M'enfin a écrit :
Si je me fie cette hypothèse, par rapport à la norme, mes neurones seraient imprécis et mes synapses aussi, car j'ai peu de mémoire et beaucoup d'imagination. :wink:
C'est tout comme moi! :lol:

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