Bonjour,
je voulais juste apporter mon témoignage et dire que l'on peut bien sur SE REPARER
J'ai consulté un psychanalyste juste après une grave dépression. je sentais qu'il y avait des choses qui devaient sortir depuis très longtemps (j'ai un tempérament dépressif depuis toute petite...). Alors mes premières séances ont plutôt été consacrées à des plaintes nombreuses et variées, jusqu'au jour où j'ai commencé à changer, à parler beaucoup plus facilement de tout ce que je ressentais autour de moi, et même parfois un peu trop (je me suis assagie depuis !). Tout ce que j'ai pu dire au psy, je le savais déjà, et depuis très longtemps. Mais curieusement, le fait de le dire à quelqu'un que je ne connaissais pas, avec un regard détaché sur ma vie, a eu un effet très différent que celui de ressasser sempiternellement les mêmes choses dans sa tête. Cela m'a permis de prendre du recul, d'avouer certaines de mes erreurs qui me rongeaient de l'intérieur, un peu comme les confessions dans la religion chrétienne... La dépression et le fait d'aller voir un psy a également fait un choc à ma famille, mes parents en particulier. Ceux-ci m'ont alors parlé de certaines choses que j'ignorais: leurs propres peurs, leurs propres doutes et certaines de leurs "blessures", dont certaines étaient relatives à leurs propres parents, à leur couple ou à mon frère et moi. A partir de là, j'ai réalisé que la parole avait un pouvoir infiniment plus grand que je ne me l'imaginait, et que le silence pouvait faire des dégâts considérables.
la reconstruction est longue, mais je la doit en grande partie a un tres bon psychothérapeute parisien , très humain et très a l' écoute.
aucune critique, aucun jugement!!!! quelle bouffée d'air à partir de ce jour la!!!!
Je suis en cours de thérapie et j'ai déjà appris à me respecter, à avoir moins peur des autres. J'apprend à communiquer, à écouter mes envies et mes désirs. J'apprend à vivre alors que pendant longtemps, je survivais...
voila un tout petit témoignage
Un grand merci à mon psychotherapeute, je ne sais pas comment j'aurai fait sans lui.
sivous avezbesoin des coordonnes d'un bon psychothérapeute , je peux les donner, il est sur PARIS, contactez moi sur mon email
guinossar@free.fr
Carole
Un grand merci à mon psychotherapeute
- Josué
Re: Un grand merci à mon psychotherapeute
Ecrit le 20 juin05, 07:49Très heureux pour toi Carole,carole a écrit :
sivous avezbesoin des coordonnes d'un bon psychothérapeute , je peux les donner,
Un jour, il y a longtemps, çà n'allait pas bien du tout, j'ai reçu une invitation et je suis allé directement chez le spécialiste des spécialistes, ce fut fulgurant ! Il a un remède qui marche très très bien et c'est complètement gratuit !
Si tu as besoin un jour je peux te donner ses coordonnées. Tu peux aussi en parler à ton psy, j'en connaît plusieurs qui sont allé le voir !
Ils sont très heureux maintenant
- carole
ma reponse
Ecrit le 21 juin05, 10:17Les deux ne sont pas incompatibles, je te l'assure
Actuellement, c'est grâce à ce "travail" que je suis capable de gérer ma vie. Et aussi étonnant que cela puisse paraître, je découvre qui je suis vraiment ! Mieux vaut tard que jamais
Actuellement, c'est grâce à ce "travail" que je suis capable de gérer ma vie. Et aussi étonnant que cela puisse paraître, je découvre qui je suis vraiment ! Mieux vaut tard que jamais
- damabiah
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Re: Un grand merci à mon psychotherapeute
Ecrit le 21 juin05, 10:23Je suis allé le voir aussi et je vous le conseilleJosué a écrit :Un jour, il y a longtemps, çà n'allait pas bien du tout, j'ai reçu une invitation et je suis allé directement chez le spécialiste des spécialistes, ce fut fulgurant ! Il a un remède qui marche très très bien et c'est complètement gratuit !
en plus c'est gratuit et définitif ! Amicalement,
- IIuowolus
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Ecrit le 21 juin05, 22:53
Effectivement, la pensée dirige le monde.
mais ton morale n'est pas tributaire des haut et des bas de la triste realité.
Certes tu as été dépressive, c'était un étape indispensable pour savoir on tu en étais afin de remonter la pente.
"quand il y a plus rien dans votre vie, il est plus facile de voir le chemin et de trouver les marches qu'il faut gravir."
Aujourd'hui tu connais le chemin qui mêne à la depression et de ce fait tu peux plus ou moins contrôler son impact sur ta vie.
Sans le savoir, tu as réduit la superficie du mal et grandis celui du bien.
"Hé oui, malheureusement les gens reconnaisse ce qui est bien souvent quand il rencontre son contraire."
cette attitude permet de gardez le bon chemin et evitez la dégradation du morale et donc l'emprisse de la dépression.
Nous recherchons toujours notre bien et notre bonheur, mais cette notion écart l'importance du mal, car même si c'est un épreuve douloureuse on sort de la depression grandit ou en en sort pas.
Ainsi la volonté de notre bonheur et orchestrer par notre prédiposition
à recherche le bien par la fuite du mal, ou la jalousie de l'inniquité.
Pourtant nos expérience nous apprends que c'est l'intelligence qui prime
et la sagesse qui résous les conflit ou les dualité, mais nous nous efforcçons de refléchir par un implication émotionelle directe.
Si on et un peu sage, on s'apperçois qu'il est dificille d'aider quelqu'un qui ne veux pas et qu'à terme sa douleur va l'exclure car personne ne la comprends, l'exclusion, la douleur et le fait de pas pouvoir les partager
va plongé la personne dans la depression ou la remise en cause.
Ce qui n'est pas plus mal car la personne cs'en est sortie tout seul et c'est ce qui comptait à ses yeux.
Tout fait partie d'un tout, si l'équilibre est rompu, les énergies vont s'échauffer, se combiner dans un violent combat pour finalement se réquilibrer.
Certes c'est un douleur inutiles dans un monde parfait ou les gens s'écoute et apprends de leurs erreurs ou de leur histoire.
mais c'est durent de faire comprendre au gens que s'il poursuivent le bonheur c'est qu'il fuit une tristesse et que par de ce fait la tristesse
à un importance primodiale dans notre reherche de l'amour.
"maria rikle meier" explique cela trés bien dans son livre et tout ceux qu'il l'on lu sont étonner de voire autant de sagesse dans un corps si jeune 27 ans"
Finalement quand on as pas le morale, on recherche des appuies moraux.
tout le monde recherche son "père", c'est un constant existentialiste.
aujourd'hui tu as trouvé un nouveau maitre à pensée un père pour toi,
mais cela veux surtout dirent qu'un jour tu devras lui trouvé assez de défaut pour quitter le cocoon familliale et devenir adulte.
C'est durent d'être critique avec quelqu'un qui nous a aider.
mais c'est le lot de tout les longue amitié.
la critique permets de voir aussi ce qu'on aime pas chez l'autre
et par conséquence ce qu'on aimerais qui change dans notre vision du bonheur.
Comme personne ne renie ses parents,
Comme personne ne critique les gentils
Comme personne n'étudie le mal.
Comme personne ne reconnais les émotions comme le mécanisme de la pensée.
Ce que je viends de dirent, semble monstrueux en faveur du mal.
C'est faux, c'est la structure du texte qui influence la négativité émotionelle.
Ce que je veux dirent c'est que l'adréanaline, les malheurs, se faire violence, et d'autre chose à prioris négatifs font partie de notre nourriture émotionelle.
Beaucoup de gens se berce avec la mélancolie pour panser leur peine.
Si on ne respecte pas l'équilibre du corps, la nature reprends ses droits.
Et certain malheur arrive parce que nous les voulons.
C'est trop beau je ne peux pas accepter, ou ma vie est trop belle il va m'arrivé un couille, sont des constantes inévitable si on ne tient pas compte de ses besoins psychiques.
Le sport c'est bien pour vider sa nervosité, mais cela n'empêche pas le besoin de rester et la frustration de s'installer, le sport à plutot un effet négatifs s'il n'est pas accompagner de méditation, il a tendance à renforcer le caractère et le mentale.
Tout se joue sur les frustrations, pour que la douleur physique s'installe
et que l'esprit reçoit sa dose négativité, il faut se frustrée quand on éprouve trop de bonheur.
C'est d'ailleurs l'instant idéale pour supporté les frustrations.
A termes la conscience s'élargie, le mal et le bien se compense forme un équilibre, notre réalité du monde deviends plus complexe et nous sommes prêt à évolue dans notre mentalité.
Comme nous somme propisce à évitez le mal, nous ne comprenonds pas l'implication de celui-ci par rapport au bien et les gens trouve trop compliquer de refléchir, puisque la solution leur est interdite.
Mais la plus part des solutions se trouve dans leur contraire.
Nous pensons croire connaitre et savoir.
mais dans l'aude-là de notre conscience résident un dimension
équivalent à ce que nous savons et qui regroupe tout ce que nous voulons ignorez, oublier ou se qui nous semble farfelus.
Dans la réalité c'est bien d'avoir un noyau bien constituer.
mais dans l'esprit pour phylosophe et comprendre les choses
il est important d'ouvrir son esprit au implication et relation
bien-mal afin d'avoir un objectifs de sagesse.
Comme notre phylosophie tourne uniquement autour du bien
notre bonheur dépends d'un perfection qui n'est pas de se monde
et qui ne tiends donc pas compte de la tolérance à l'égards des autres
car nous oublions qu'eux aussi se dévelloper, ses cherches et que pour cela il doit faire des essaie, des teste ou passer des épreuves qu'il ne reussis pas à tout les coups, ce qui implique des décéption et des exigences qui serront encore plus haute dans un monde qui ne tiens pas compte du côté humaniste, mais uniquement d'une perfection.
Voilà c'est normal d'aime celui qui nous a aider, c'est courant que l'on continue à le protège, contre nos pensée qui le critique.
Mais c'est mauvais de ralentir un processus qui doit inévitablement se produire afin de devenir autonomes.
C'est normal notre subconscient est programmer pour trouvé toutes sortes des reproches au gens quand on doit les quitter et que l'on y arrive pas. Comme à la fin des repas ou on trouve plein de défaut à nos invités
alors que d'habitude notre amitié dépasse les défauts de chacun.
Si un bonheur existe c'est celui de savoir et utiliser les contraires.
la dualité se devellope par des contraire succesif.
Aprés le beau temps la pluie.
Si on sais qu'il va pleuvoir on prends un parapluie.
Idem dans la manière d'aborder la vie, on se rejouis parce que le mauvais temps annonce l'arrivé du beau temps, Dans le beau temps
on en profite plus car on s'y est préparez, de même que le beau temps permets d'anticipé la pluie ce qui rassure fae à l'inconnu et permets de mieux profiter du bonheur présent.
Celui qui sait tout ça accepte, le mauvais temps comme un épreuve qui va le faire grandir, il sais que se sont les écart de température qui on pousser l'homme à construire et à devenir intelligent.
Il sait qu'il ne risque physiquement rien et que s'il sort de cette épreuve il serras grandis.
il sait que s'il perds ses acquis, il serras plus proche de la spiritualité , de la liberté et de l'indémontablité plus que celui qui finiras dans la pauvreté parce qu'il s'est accroché ou évertuer à sauvez ses acquis.
Il ne va pas attendre le problème patiement, il auras mis à jour ses tâches, consituer des réserves et veillier à sa santé physique et morale.
C'est comme gardez un enfant, on sais qu'il va faire des bêtises de son âge, et que l'on doit lui laisser une certaine liberté et intervenir seulement quand il nuit aux autres.
la vie c'est la même chose, on sais que la vie à des haut et des bas que les gens sont cool ou obscure, Cela ne doit pas entacher notre morale, ni user des inutilement des notres energies, il faut laisser la vie se passer, il faut que jeunesse se passe comme on dit et il faut intervenir seulement quand l'expérience deviends un danger.
les expériences doivent se faire c'est elle qui nous permette de ne pas commetre les mêmes erreurs et faire évoluer notre vie vers des climats moins tumultueux.
En général, on hausse le ton, chacun défends ses vérités et l'expérience qui aurais pu permettre à la personne d'évoluer ne s'est pas produite.
Donc il faut laisser ceux qui croivent savoir vous guider, quand il vous auront perdu il commencerons à vous écouter.
Tout ça pour dirent que c'est parce que nous comprennonds pas l'utilité des problèmes, qu'il crée en nous des problèmes.
Un peu de recule, d'analyse ou de méditation et des situations obscures
peuvent se révéler sous leur véritable jour parce qu'elle nous touche plus autant.
mais ton morale n'est pas tributaire des haut et des bas de la triste realité.
Certes tu as été dépressive, c'était un étape indispensable pour savoir on tu en étais afin de remonter la pente.
"quand il y a plus rien dans votre vie, il est plus facile de voir le chemin et de trouver les marches qu'il faut gravir."
Aujourd'hui tu connais le chemin qui mêne à la depression et de ce fait tu peux plus ou moins contrôler son impact sur ta vie.
Sans le savoir, tu as réduit la superficie du mal et grandis celui du bien.
"Hé oui, malheureusement les gens reconnaisse ce qui est bien souvent quand il rencontre son contraire."
cette attitude permet de gardez le bon chemin et evitez la dégradation du morale et donc l'emprisse de la dépression.
Nous recherchons toujours notre bien et notre bonheur, mais cette notion écart l'importance du mal, car même si c'est un épreuve douloureuse on sort de la depression grandit ou en en sort pas.
Ainsi la volonté de notre bonheur et orchestrer par notre prédiposition
à recherche le bien par la fuite du mal, ou la jalousie de l'inniquité.
Pourtant nos expérience nous apprends que c'est l'intelligence qui prime
et la sagesse qui résous les conflit ou les dualité, mais nous nous efforcçons de refléchir par un implication émotionelle directe.
Si on et un peu sage, on s'apperçois qu'il est dificille d'aider quelqu'un qui ne veux pas et qu'à terme sa douleur va l'exclure car personne ne la comprends, l'exclusion, la douleur et le fait de pas pouvoir les partager
va plongé la personne dans la depression ou la remise en cause.
Ce qui n'est pas plus mal car la personne cs'en est sortie tout seul et c'est ce qui comptait à ses yeux.
Tout fait partie d'un tout, si l'équilibre est rompu, les énergies vont s'échauffer, se combiner dans un violent combat pour finalement se réquilibrer.
Certes c'est un douleur inutiles dans un monde parfait ou les gens s'écoute et apprends de leurs erreurs ou de leur histoire.
mais c'est durent de faire comprendre au gens que s'il poursuivent le bonheur c'est qu'il fuit une tristesse et que par de ce fait la tristesse
à un importance primodiale dans notre reherche de l'amour.
"maria rikle meier" explique cela trés bien dans son livre et tout ceux qu'il l'on lu sont étonner de voire autant de sagesse dans un corps si jeune 27 ans"
Finalement quand on as pas le morale, on recherche des appuies moraux.
tout le monde recherche son "père", c'est un constant existentialiste.
aujourd'hui tu as trouvé un nouveau maitre à pensée un père pour toi,
mais cela veux surtout dirent qu'un jour tu devras lui trouvé assez de défaut pour quitter le cocoon familliale et devenir adulte.
C'est durent d'être critique avec quelqu'un qui nous a aider.
mais c'est le lot de tout les longue amitié.
la critique permets de voir aussi ce qu'on aime pas chez l'autre
et par conséquence ce qu'on aimerais qui change dans notre vision du bonheur.
Comme personne ne renie ses parents,
Comme personne ne critique les gentils
Comme personne n'étudie le mal.
Comme personne ne reconnais les émotions comme le mécanisme de la pensée.
Ce que je viends de dirent, semble monstrueux en faveur du mal.
C'est faux, c'est la structure du texte qui influence la négativité émotionelle.
Ce que je veux dirent c'est que l'adréanaline, les malheurs, se faire violence, et d'autre chose à prioris négatifs font partie de notre nourriture émotionelle.
Beaucoup de gens se berce avec la mélancolie pour panser leur peine.
Si on ne respecte pas l'équilibre du corps, la nature reprends ses droits.
Et certain malheur arrive parce que nous les voulons.
C'est trop beau je ne peux pas accepter, ou ma vie est trop belle il va m'arrivé un couille, sont des constantes inévitable si on ne tient pas compte de ses besoins psychiques.
Le sport c'est bien pour vider sa nervosité, mais cela n'empêche pas le besoin de rester et la frustration de s'installer, le sport à plutot un effet négatifs s'il n'est pas accompagner de méditation, il a tendance à renforcer le caractère et le mentale.
Tout se joue sur les frustrations, pour que la douleur physique s'installe
et que l'esprit reçoit sa dose négativité, il faut se frustrée quand on éprouve trop de bonheur.
C'est d'ailleurs l'instant idéale pour supporté les frustrations.
A termes la conscience s'élargie, le mal et le bien se compense forme un équilibre, notre réalité du monde deviends plus complexe et nous sommes prêt à évolue dans notre mentalité.
Comme nous somme propisce à évitez le mal, nous ne comprenonds pas l'implication de celui-ci par rapport au bien et les gens trouve trop compliquer de refléchir, puisque la solution leur est interdite.
Mais la plus part des solutions se trouve dans leur contraire.
Nous pensons croire connaitre et savoir.
mais dans l'aude-là de notre conscience résident un dimension
équivalent à ce que nous savons et qui regroupe tout ce que nous voulons ignorez, oublier ou se qui nous semble farfelus.
Dans la réalité c'est bien d'avoir un noyau bien constituer.
mais dans l'esprit pour phylosophe et comprendre les choses
il est important d'ouvrir son esprit au implication et relation
bien-mal afin d'avoir un objectifs de sagesse.
Comme notre phylosophie tourne uniquement autour du bien
notre bonheur dépends d'un perfection qui n'est pas de se monde
et qui ne tiends donc pas compte de la tolérance à l'égards des autres
car nous oublions qu'eux aussi se dévelloper, ses cherches et que pour cela il doit faire des essaie, des teste ou passer des épreuves qu'il ne reussis pas à tout les coups, ce qui implique des décéption et des exigences qui serront encore plus haute dans un monde qui ne tiens pas compte du côté humaniste, mais uniquement d'une perfection.
Voilà c'est normal d'aime celui qui nous a aider, c'est courant que l'on continue à le protège, contre nos pensée qui le critique.
Mais c'est mauvais de ralentir un processus qui doit inévitablement se produire afin de devenir autonomes.
C'est normal notre subconscient est programmer pour trouvé toutes sortes des reproches au gens quand on doit les quitter et que l'on y arrive pas. Comme à la fin des repas ou on trouve plein de défaut à nos invités
alors que d'habitude notre amitié dépasse les défauts de chacun.
Si un bonheur existe c'est celui de savoir et utiliser les contraires.
la dualité se devellope par des contraire succesif.
Aprés le beau temps la pluie.
Si on sais qu'il va pleuvoir on prends un parapluie.
Idem dans la manière d'aborder la vie, on se rejouis parce que le mauvais temps annonce l'arrivé du beau temps, Dans le beau temps
on en profite plus car on s'y est préparez, de même que le beau temps permets d'anticipé la pluie ce qui rassure fae à l'inconnu et permets de mieux profiter du bonheur présent.
Celui qui sait tout ça accepte, le mauvais temps comme un épreuve qui va le faire grandir, il sais que se sont les écart de température qui on pousser l'homme à construire et à devenir intelligent.
Il sait qu'il ne risque physiquement rien et que s'il sort de cette épreuve il serras grandis.
il sait que s'il perds ses acquis, il serras plus proche de la spiritualité , de la liberté et de l'indémontablité plus que celui qui finiras dans la pauvreté parce qu'il s'est accroché ou évertuer à sauvez ses acquis.
Il ne va pas attendre le problème patiement, il auras mis à jour ses tâches, consituer des réserves et veillier à sa santé physique et morale.
C'est comme gardez un enfant, on sais qu'il va faire des bêtises de son âge, et que l'on doit lui laisser une certaine liberté et intervenir seulement quand il nuit aux autres.
la vie c'est la même chose, on sais que la vie à des haut et des bas que les gens sont cool ou obscure, Cela ne doit pas entacher notre morale, ni user des inutilement des notres energies, il faut laisser la vie se passer, il faut que jeunesse se passe comme on dit et il faut intervenir seulement quand l'expérience deviends un danger.
les expériences doivent se faire c'est elle qui nous permette de ne pas commetre les mêmes erreurs et faire évoluer notre vie vers des climats moins tumultueux.
En général, on hausse le ton, chacun défends ses vérités et l'expérience qui aurais pu permettre à la personne d'évoluer ne s'est pas produite.
Donc il faut laisser ceux qui croivent savoir vous guider, quand il vous auront perdu il commencerons à vous écouter.
Tout ça pour dirent que c'est parce que nous comprennonds pas l'utilité des problèmes, qu'il crée en nous des problèmes.
Un peu de recule, d'analyse ou de méditation et des situations obscures
peuvent se révéler sous leur véritable jour parce qu'elle nous touche plus autant.
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Ecrit le 22 juin05, 00:01
Carole a écrit
Le silence peut effectivement etre dangereux - on le voit avec la majorité de musulmans qui ne dit rien sur les excactions, les meutres et autres joyeusetés dont se rendent coupable une minorité de leurs corrélégionnaire - or comme il est dit dans le coran "qui ne dit mot consent"
Avec la langue, on peut faire des choses qui font beaucoup de bien (si t'es majeure" :P
A partir de là, j'ai réalisé que la parole avait un pouvoir infiniment plus grand que je ne me l'imaginait, et que le silence pouvait faire des dégâts considérables.
Le silence peut effectivement etre dangereux - on le voit avec la majorité de musulmans qui ne dit rien sur les excactions, les meutres et autres joyeusetés dont se rendent coupable une minorité de leurs corrélégionnaire - or comme il est dit dans le coran "qui ne dit mot consent"
Avec la langue, on peut faire des choses qui font beaucoup de bien (si t'es majeure" :P
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Ecrit le 24 juin05, 10:34
voilà j'ai trouvé
Quoique les mariages forcés existent bien dans les pays dits "musulmans", cette pratique n'a rien d'islamique. Si l'on étudie la tradition musulmane, on se rend compte que le consentement de la femme est requis pour que le mariage soit valide. Voici un exemple concret :
Hadith Sunan Abu Dawud Livre 11, No 2091:
Une vierge est venue au prophète (paix soit sur lui) et a mentionné que son père l'avait marriée sans son consentement, le prophète (paix soit sur lui) lui a alors permis d'exercer son libre choix.
exercer son libre choix signifie le choix de rompre l'union ou non. Un autre hadith confirme le premier :
Hadith Sahih Muslim Livre 008, No 3306:
Une femme non mariée a plus de droits sur sa personne que son gardien, et le consentement (au mariage) d'une vierge est requis. Son silence implique son consentement.
Alors voilà qui réfute cette accusation contre l'Islam. Quant à la référence sur le silence, celle-ci confirme le dicton suivant : qui ne dit mot consent. Bien entendu, si la femme n'affirme pas son objection à l'union, alors qui peut parler d'union forcée ?
Que le Bon Dieu soit loué
- Josué
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