Gérard C. Endrifel a écrit : ↑11 août19, 09:41
Pour que vous vous rendiez compte de l'absurdité de votre affirmation : " S’ils n’étaient qu’à trois, ce n’était pas solennel à proprement parler, mais privé et intime, " et pour que vous compreniez que nous sommes quelques uns nous à être aperçu que depuis un moment vous vous faites des définitions à la carte. Alors dites-nous, puisque vous avez décrété que lorsqu'il n'y a que trois personnes, alors cela relève du privé, à partir de combien décrétez-vous que ça relève du publique, qu'est-ce qui vous arrange le mieux ? 4 ? 10 ? 1000 ? 100 000 ?
C’est donc bien une question absurde, et tu me la poses à nouveau ? Il est fait mention d’une conversation à trois. Je maintiens que je n’y vois rien de solennel à proprement parler, mais tout d’un moment privé et intime. Cependant, si tu veux y voir une promesse célébrée en public avec éclat, accompagnée d’un cérémonial imposant, vas-y, fais-toi plaisir ! C’est qu’une fiction, c’est pas grave.
Gérard C. Endrifel a écrit : ↑11 août19, 09:41
Terrain d'entente, vous croyez ? Moi je ne crois pas. Jésus n'a jamais dit, ni même sous-entendu qu'" à terme, une double allégeance ne peut être qu’intenable ", il a tout simplement dit que c'était impossible d'en avoir deux. " Personne ne peut travailler comme esclave pour deux maîtres ". Il n'y a aucune notion de durée là-dedans, c'est vous qui la rajoutez.
Ah. Ce n’est pas intenable, c’est « impossible ». D’accord. Mais pourquoi est-ce impossible ? Parce que « soit il haïra l’un et aimera l’autre, soit il s’attachera à l’un et méprisera l’autre » ; parce que c’est intenable, donc. Mais si tu veux qu’on ne soit pas d’accord, fais-toi plaisir : on n’est pas d’accord, ce n’est pas grave.
Un discours dédié à la faveur d’un grand rassemblement ; des candidats alignés au premier rang ; se lever pour les questions ; applaudir les « réponses affirmatives à haute et intelligible voix », la prière dédiée, le défilé vers le baptistère sur le chant d’un cantique dédié, etc. Une beau moment célébré en public avec éclat ?
Non, réponds-tu : un « soi-disant cadre solennel ».
Tandis que le conciliabule des trois bonshommes dont on parlais plus haut, il avait un authentique cachet solennel.
Bah, d’accord, si tu veux, Gérard.
Gérard C. Endrifel a écrit : ↑11 août19, 09:41
La structure même des questions indique qu'il ne s'agit pas de demande d'engagement. Il n'est nullement dit : " vous engagez-vous à ", " faites-vous le serment de ", " jurez-vous de " ou bien " promettez-vous de ". Ce qui constitue pourtant la base de n'importe quel vœu ou serment d'allégeance.
C’est cela, oui. C’est pas écrit : « Vous engagez-vous… », c’est bien la preuve qu’elles n’engagent absolument à rien, elles n’ont aucunes conséquences. Ben voyons.
Gérard C. Endrifel a écrit : ↑11 août19, 09:41
Ou Jésus a raison et vous avez tort ; ou vous avez raison et Jésus a tort . Il n'existe pas de position légitimement intermédiaire.
C’est limpide. T’as raison et j’ai tort, Gérard.