Modèle de croissance intégrale et Églises de maisons

[Nickie]

10.4 Modèle de croissance intégrale et Églises de maisons





Les activités dans lesquelles sont impliqués les membres de l’Église « donnent des mains » aux fonctions de l’Église. Elles favorisent leur actualisation et ont pour conséquence la croissance numérique de la communauté et la multiplication des services d’entre aide dans la communauté et dans le milieu. Les activités qui relèvent de la fonction socioculturelle sont propres à chaque communauté afin de répondre aux besoins spécifiques du milieu. Chaque milieu a ses besoins et ses souffrances propres et c’est à la communauté qui y est greffée de choisir les activités pastorales et missionnaires qui les rejoindront le mieux. La mission est la responsabilité de tous les chrétiens. Tous les membres de l’Église devraient être appelés et mobilisés par le pasteur pour témoigner de l’amour de Dieu et lutter contre les pauvretés de l’environnement.



La volonté d’impliquer les membres de la communauté chrétienne dans la mission va de pair avec la mise sur pied d’une structure de groupes de maison. Ces groupes sont d’authentiques Églises de maisons rassemblant des chrétiens autour de Jésus présent au milieu d’eux. Une telle structure permet aux laïcs d’exercer les ministères pour lesquels on les forme et de mettre en pratique leurs dons. Les chrétiens qui se réunissent dans les maisons ou dans d’autres lieux appropriés, ont une mission spécifique, comme celle d’approfondir leur foi, celle d’accomplir une action sociale, celle d’évangéliser, celle de former d’autres membres pour leur implication dans l’Église, celle de préparer l’animation liturgique, celle de découvrir les besoins du milieu, celle d’assurer l’évaluation des services, etc. Ces équipes sont une aide précieuse pour le pasteur ou le premier responsable de la communauté. Elles lui permettent de concrètement déléguer les tâches de la mission, de multiplier les interventions d’aides dans le milieu et d’actualiser les membres par leur implication.



La pertinence de ces équipes est d’autant plus grande que l’évolution rapide de la culture et l’augmentation de la complexité sociale nécessitent une forte écoute du milieu et une créativité qu’une personne seule ne peut pas assumer. L'époque où l'on dépendait de l’initiative, du leadership et de la créativité presque exclusive des pasteurs est compromise. Nous sommes dans celle où les hommes et les femmes sont heureusement plus formés et plus instruits que jamais. Pour aller de l’avant et proposer des activités significatives qui répondent aux besoins et aux attentes des personnes du milieu, les Églises doivent compter sur l’initiative, la créativité et les dons des laïcs. Les équipes missionnaires dans les groupes de maison est une structure pour y arriver si on leur confie de réelles responsabilités avec des pouvoirs décisionnels.



Pour que les activités des équipes soient efficaces et contribuent à la croissance des membres, il faudrait que le responsable de la communauté, ou l’équipe responsable, accepte qu’elles déclenchent certains changements. Ces changements sont ceux qu’il est nécessaire de faire pour mieux rejoindre les besoins et les attentes du milieu. Les responsables devront aussi s’engager personnellement dans l’action : fournir l'infrastructure, les encouragements, l'espace, établir une certaine planification, organiser la formation, constituer les équipes, et nommer les responsables. À défaut de cet engagement personnel et d’une ferme volonté d’accomplir des changements en vue de l’amélioration, les activités des groupes missionnaires auront du mal à prendre leur essor.



Pour assurer l’efficacité des équipes missionnaires, les pasteurs, ou l’équipe responsable, doivent s'occuper de quatre éléments importants : la participation, la formation, les résultats et le diagnostic. La participation des membres est bien sûr volontaire. Elle sera favorisée si les dirigeants font la « promotion » des équipes devant la communauté et démontrent que leurs participants y ont la possibilité de développer leurs talents, de découvrir de nouveaux horizons et de travailler personnellement pour le Seigneur dans l’accomplissement de la mission.



Les équipes missionnaires chercheront à mettre sur pied des activités qui font la différence dans un milieu. Ainsi, grâce au sentiment de réussite et d’efficacité qu’elles engendreront, elles contribueront réellement à l’actualisation de leurs membres. Les dirigeants s’assureront que les activités mises sur pied par les équipes répondent effectivement aux attentes et aux besoins de la communauté chrétienne et des personnes du milieu. Écoute du milieu (voir), résolution de problèmes (juger) et concentration sur les points faibles (planifier) sont les étapes à suivre dans les équipes avant de passer à l’action (agir).

[Neshama]

[Nickie]

Hello Cocotte

Le texte que tu nous soumets est bien, mais le problème qu'il y a reste toujours le même, C'EST DE SE METTRE SOUS UNE AUTORITÉ AUTRE QUE CELLE DE JÉSUS DE SON SAINT-ESPRIT.

Voici ce que ton texte dit, : Pour que les activités des équipes soient efficaces et contribuent à la croissance des membres, il faudrait que le responsable de la communauté, ou l’équipe responsable, accepte qu’elles déclenchent certains changements. Ces changements sont ceux qu’il est nécessaire de faire pour mieux rejoindre les besoins et les attentes du milieu. Les responsables devront aussi s’engager personnellement dans l’action : fournir l'infrastructure, les encouragements, l'espace, établir une certaine planification, organiser la formation, constituer les équipes, et nommer les responsables. À défaut de cet engagement personnel et d’une ferme volonté d’accomplir des changements en vue de l’amélioration, les activités des groupes missionnaires auront du mal à prendre leur essor.

Je vois ici une organisation humaine, je ne dit pas que ce n'est pas bien d'essayer de fair du bien à ceux qui nous entour. Là ou je veut en venir c'est que, ce n'est que nos propres désirs qui son mis en action. Regardons la Maisons Jean Lapointe, ou le Chaînon pour venir en aideaux femme, c'est très bien, ils font ces choses par amour, et ils les font bien.

La question demeure qui dois-je écouter, la volontée de qui dois-je faire ?
La volontée de l'homme est capable d'accomplire beaucoup de grandes choses.

Nous avons le choix notre volonté ou celle de Dieu, le bien que l'on peut faire ne veut pas nécessairement dire que celà vient de Dieu !

CHERCHONT PREMIÈREMENT LE ROYAUME DE DIEU !

Salut la COOL, Neshama !

La question dont tu pose ici en est une des plus profondes que s'est posée l'humanité depuis le début des temps !

Il est dit que l'homme n'était pas fait pour vivre seul ! Vrai, Il lui prit une côte avec laquelle Il lui fabriqua une compagne égale à lui. Mais, scrutons bien les écritures. Ève, à sont tour rendit grâce à Dieu parce qu'elle donna naissance à un homme.

Pourtant, les écritures demeures assez vague en ce qui concernerait qui enseigna ou dit à Ève de remercier Dieu pour avoir Cain.

À partir delà, nous nous posons-nous la question à savoir comment que ça ce fait que Cain savait cultiver le sol pour en retirer une subsistance. Ou bien, comment Abel savait paître son troupeau de brebis?

Nous prenons ces choses comme acquis.

Pareillement, en ce qui concerne être guider spirituellement par le Saint-Esprit. Comment peut-on savoir si quelque chose vient de Dieu ou pas? Comment sait-on si nous sommes effectivement guider par le Saint-Esprit?
Et ensuite, pour pousser l'affaire encore plus loin ! Si on se sent pousser dans notre fort intérieure, comment savons-nous si ça vient du Saint-Esprit?

À savoir, en premier lieu, que l'Esprit-Saint, est Dieu !

Lorsqu'un groupe de personne nous guide, ça ne vient pas nécessairement pas hasard, ou de par leur autorité. Je t'affirme, ici, que c'est déjà, au préalable, dans leur coeurs autant que dans le notre. Ainsi, l'Esprit témoigne.

S'ils ne suivent pas ce qu'ils seraient sensé de faire de par l'Esprit, l'on se tasse. Un point, c'est tout ! L'Esprit du Seigneur s'en occupera, de nous autant qu'eux.