La religion encourage l'immoralité.

[pastoral hide & seek]

Qu'il y ait ou qu'il n'y ait pas de religion, on aurait droit aux mêmes choses. Comme le montre dostoïevsky, le nihilisme religieux va de paire avec le nihilisme athée.
A savoir dans le premier cas : dieu est avec moi donc je peux tout me permettre en son nom.
Dans le second cas : dieu n'existe pas donc je peux tout me permettre, car il n'y aura personne pour me punir et donc, à la fin, a peu de choses près, on obtient les mêmes désastres.

Pour ce qui est de dieu, la religion n'est pas sa seule expression, quoi qu'on en dise, entre dieu et l'homme c'est avant tout une histoire de communication, la communication entre 1 homme et 1 dieu, il n'y a peut être pas de dieu au dessus de nous quand on regarde le ciel, mais ce n'est pas pour autant que ca ne communique pas et qu'il n'y a pas de révélation, le meilleur exemple de cette communication, c'est encore Abraham que dieu extirpe et arrache du religieux de son époque pour se révéler à lui.

[Mickael Keul]

non, pour une fois, je suis d'accord avec Zeus - d'ou sort il ce dieu qui a tout créé ???

[Pasteur Patrick]

La peinture, l'art en général commence toujours par bien des péripéties que le peintre, le musicien,l'écrivain etc. aiemrait pouvoir passer. Mais ildoit passer par des ébauches. L'art est-il remis en question à cause d'un apprentissage long et ardu que seul quelsques-uns maitriseront?
Les religions ne sont pas plus remises en question parce que des hommes au cours de l'Histoire ont mal mis en application ce qu'il y avait à appliquer.
"L'amour du prochain et de Dieu", est une loi fondamentale du christianisme qui est éternelle.
Toutes les autres lois sont soumises à ce principe basique.

Comment expliquer rationnellement que tant de chrétiens ne l'appliquent pas est une question importante, certes, mais qui ne détruit d'aucune manière la validité du principe premier sur lequel se fonde le comportement chrétien dans le monde.

Ne pas comprendre cela de la part d'internautes intelligents qui discutent avec des chrétiens depuisdes années, me semble à peine croyable et digne de mauvaise foi.
Le vrai problème est lié àcelui de la liberté. La loi fondamentale est sans contrainte. Chacun est libre d'aimer Dieu et son prochain comme lui-même. Un sujet connexe est discuté depuis des semaines ici: c'est celui de la théologie du pardon. Aimer son prochain souffrirait-il d'exception quand mon prochain estun ennemi ? Toute la question est là et dans les réponses que nous donnerons...
Salut