Sarkosu contre le port de la burqa

[psycha]

moi ce mot j'ai du mal qd meme hypocrite.

en arabe et dans l'islam, il a une valeur très forte, et j'ai beaucoup de mal à cette adhésion de concept, en parlant d'autre, parceque si je prends un mot aussi fort, ça me renvoie à moi meme, et je crois chaque personne.

enfin bon parenthèse.

de toute façon j'ai un peu suivi la comission sur le sujet, et les questions restent ouvertent. La plupart de ceux qui ont alimenté le débat, mais exterieur aux institutions républicaines, sont quand meme contre un loi amenant à interdire la burqa.

[thoretodin]

est ce vraiment important d'interdire ou pas? il ya des problemes beaucoup plus important que ca.

l'habiliter du gouvernement francais a detourner les reels problemes sur des problemes mineurs en jouant sur l'ultra-nationalisme et le patriotisme est assez efficace.
on doit bien l'avouer cela retombe encore sur ces pauvres "dangereux extremistes mulsumans terroristes" qui on bien le dos large et qui servent de bouc emissaires pour devier les reels problemes du systeme.

[Florent52]

Résumer l'islam au port de la burqa est une forme de mensonge , car la burqa n'est qu'une tenue vestimentaire , une apparence , et si on regarde de plus près on peut se rendre compte que les femmes qui décident de porter le niqab ou la burqa sont bien souvent des musulmanes converties.

Evidemment c'est un peu plus complexe qu'une simple histoire d'apparence et de tenue vestimentaire.

La burka, tout le monde le ressent bien, n'est au fond qu'une expression extrême de ce qui est consubstanciel à l'islam c'est-à-dire la misogynie fondamentale de cette religion. La burka ne fait que symboliser et résumer de manière extrême le fait que dans l'islam lui-même les femmes sont jugées de manière inférieure aux hommes comme le montrent de nombreux hadiths et passages du coran. Inventé par un homme du moyen-âge l'islam ne pouvait de toute manière que véhiculer une certaine conception de la femme liée à cette époque et que l'on retrouve soit de manière plus légère dans le port du foulard ordinaire (que seules les femmes bien sûr doivent porter) soit de manière lourde et inhumaine dans l'annihilation profonde de l'être humain que constitue le voile intégrale, où la femme n'a plus d'identité propre, n'est plus qu'un tas de vêtement immonde, un objet qui parle.