NOEL UNE FETE PAIENNE ?

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sarfati

sarfati

NOEL UNE FETE PAIENNE ?

Ecrit le 16 déc.04, 04:34

Message par sarfati »

25 Décembre, Noël ? ou...? ? ?

si la date en fut fixée par César, et les rites par les traditions populaires parfois fort anciennes d'Europe occidentale, Noël reste une fête païenne (et ce mot n'a rien de péjoratif à notre avis), et, dans le monde, un signe d'occidentalisation plus ou moins avancée






Le solstice d'hiver


Depuis la mémoire des temps, les tribus les plus primitives fêtaient le jour le plus court de l'année, le 21 décembre, jour du solstice d'hiver à partir duquel le soleil remonte graduellement sur l'horizon. Dans le Nord et l'Est de l'Europe en particulier, les rites teutons, germains et celtes, organisaient, dans la joie, des fêtes pour le soleil renaissant, pour le feu et la lumière nécessaires à la vie, symboles de chaleur et de prospérité. A Rome aussi, du 19 au 26 décembre, les Saturnales étaient une période de réjouissance où 1'on s'offrait déjà des cadeaux et où on honorait des dieux.
Mais en 1'an 708 de Rome (vers moins 50 av. JC), un certain Jules César qui aurait bien voulu se faire roi et dominer Rome, voulut modifier le calendrier 1unaire du roi Numa pour le mettre en accord avec le cours du soleil. Il créa le calendrier julien, base de notre calendrier actuel. Le jour le plus court fut situé erronément le 25 décembre.
Le mithraïsme, d´origine persane, fut importé à Rome en 68 av.J-C, par des légionnaires. Cette religion respectait les dimanches comme jours sacrés et célébrait la naissance de Mithra, dieu du soleil, le 25 décembre, " Dies Natalis Solis Invicti ".
L´empereur Commode, 161-192, se fit initier aux mystères de Mithra.. Plus tard, en 274, 1'empereur Aurélien, conquérant en Orient, fut le premier empereur qui se soit fait diviniser de son vivant, voulant renforcer ainsi son pouvoir politique et spirituel sur les multiples diversités et sensibilités de son empire. Il imposa le culte du Soleil Invaincu comme religion d´état lors de la célébration du 25 décembre.

Le Noël chrétien
L´histoire ne nous apprend pas quand est né Jésus, ni d´ailleurs quelle fut exactement sa vie. Rebelle nationaliste juif contre Rome ? Prédicateur intégriste de la secte des Esséniens contre l´establishment en Palestine ? Personnage mystique et mythique formé par amalgame de diverses traditions messianiques locales ? Construction de l´esprit gréco-romain cherchant à mettre une certaine rationalité dans le foisonnement des superstitions orientales ?
Peu importe d´ailleurs, sauf pour un historien rigoureux, puisque " Jésus " est un fait d´actualité encore au XXème siècle ; et les festivités de l´an 2000 nous le rappellent si nécessaire.
Certains textes historiques, et dans la mesure où l´on peut s´y fier, amènent à penser que Jésus est né un jour d'hiver, dans 1'hémisphère occidental, après le recensement de Quirinus. " Achélaus régnait depuis peu en Judée ", ce qui permet de placer la naissance de Jésus entre 7 et 4 avant 1'an 1. Selon d´autres sources, Jésus serait né au printemps.
Lorsque, bien plus tard, l'empereur Constantin (306-334) instaurera le christianisme comme religion officielle de l'empire, les théologiens fixent tout "naturellement" la fête de la naissance de Jésus "Soleil de Justice" le 25 décembre, fête de 1'empire qui déjà reprenait la tradition solaire.
La première célébration connue de cette naissance date de 330, mais la première indication écrite de la célébration le 25 décembre se trouve dans une chronographie de 354 seulement.
L´ère chrétienne ou ère de la Nativité a été inventée en 532 par Denys le Petit (ou le Scythe), qui plaçait la naissance du Christ le 25 décembre de l´année 754 de l´ère de la fondation de Rome. Denys en fit l´an 1 de l´ère nouvelle (il n´y a pas d´année zéro de l´ère chrétienne, comme d´ailleurs d´aucune autre ère).

En Gaule
Conquise de 59 à 51 av. JC, la Gaule voit ses structures sociales détruites par la romanisation qui lui apporte paix et sécurité face aux invasions germaines tout en limitant la liberté politique. La forte organisation religieuse des Celtes basée sur le rô1e des druides sera également ébranlée, ce qui permettra, para11èlement à la romanisation, une christianisation assez aisée dès la fin du 1er siècle.
Il y aura d´abord l´introduction en Europe, par les légions romaines, du culte de Mithra, et qui préfigure le pré-christianisme des premiers siècles. Il y a d´ailleurs des ressemblances entre les deux cultes, ainsi, les premiers " martyrs " en Gaule sont souvent d´abord des légionnaires avant d´être transformés en " saints " ; quelques sanctuaires découverts en Europe du Nord en témoignent.
Puis il y aura l´arianisme, également importé de Rome et d´Orient par les légions romaines. Arius était fondateur d´une des premières églises d´Orient. Mais l´arianisme se trouva ensuite condamné comme hérétique par le catholicisme romain selon les aléas du pouvoir impérial à Rome et Constantinople.
Quoiqu´il en fut, fixée le 25 décembre par Rome, la fête de Noël sera confrontée à la fête du solstice d'hiver vécue le 21 décembre par la population locale.La fête païenne sera, de gré ou de force, graduellement interdite, et tout aussi graduellement, les rites, habitudes et légendes du solstice vont se déplacer vers le 25 décembre imposé par le dogme.
En fait, ce n'est que tout récemment, vers 1800-1850, que la fête chrétienne s'est réellement popularisée ici et dans le monde, suivant les conquérants, les missionnaires ou les émigrants européens.
En dehors de la messe commémorant la naissance de Jésus, pratiquement tous les détails de cette fête rappellent le solstice ou sont des éléments non-chrétiens d'origine que 1'on retrouve dans les contes et légendes populaires de 1'Europe occidentale.

Détails de la fête
Le Père Noël : Personnage légendaire totalement non-chrétien, il distribuait depuis longtemps des jouets et des friandises aux enfants sages de tout le Nord de l´Europe. Dans l´article consacré à " St-Nicolas " a été évoqué le personnage de Hellequin, le roi " sauvage " qui évolua en se dédoublant en St-Nicolas et Père Noël.

Le sapin : Arbre toujours vert aux "feuilles" persistantes, typique de nos régions, il était depuis longtemps un signe de vie éternelle et de victoire sur les ténèbres.La tradition 1'avait déjà fixe en 800, même si la première description ne date que de 1521.

Le gui : Plutôt attaché au Nouvel-An, son origine druidique est évidente.

Le repas de Noël était de tradition solsticiale chez les Teutons.

La bûche : Actuellement gâteau, c'est un rappel. de la bûche qui brûlait pendant la veillée et dont on recueillait les cendres car elles avaient des propriétés merveilleuses.

Les cadeaux : La coutume de s´offrir des cadeaux vient des Saturnales romaines.

La rose de Noël : L´hellébore noire est cette plante dont les feuilles refuges flamboyantes rappellent le feu et la. légende des plantes et buissons qui se mettaient à fleurir quand "renaît" le soleil.

D'autres éléments magiques proviennent des anciens récits populaires où 1'heure de minuit, heure des miracles, transforme tout événement insignifiant en quelque chose de particulier : 1'eau des puits se change en vin, les cloches souterraines se mettent à sonner, les abeilles vocalisent dans les ruches et les brebis s´agenouillent, les chevaux et les vaches parlent ensemble.

La crèche de Noël : Expression d'art local, elle rappelle ces représentations simplistes qui se jouaient devant 1'eglise. La messe sera. progressivement suivie d'une fête à domicile, et la représentation passera graduellement sur les fresques, les peintures et bientôt en 3 dimensions sous forme des crèches dans la maison.

Les chants de Noël aussi reprennent souvent la grande liberté des chants populaires et l'on y entend parfois des retours aux sources païennes, et toujours le rappel des hivers d'Europe occidentale quel que soit le lieu du monde où on les chante.

Le chant de Noël, par excellence, le "Stille Nacht" lui-même fut crée en 1818, en Allemagne, à Oberndorf, village de montagne isolé. Il fut composé par 1'instituteur en chef Franz Xavier Gruber et le jeune ecclésiastique Joseph Mohr qui voulaient créer une mélodie de circonstance pour leur village. Ils 1'accompagnèrent à la guitare, car les orgues de leur petite église étaient essoufflées. En langage moderne, ce chant a tous les éléments d'un "tube", paroles simples, simplification des événements, répétition de la dernière. phrase a chaque couplet et mélodie agréable a 1'oreille qui transmet la solitude et le sentiment d'attente imaginable en ce lieu perdu et à cette époque.

En résumé, si la date en fut fixée par César, et les rites par les traditions populaires parfois fort anciennes d'Europe occidentale, Noël reste une fête païenne (et ce mot n'a rien de péjoratif à notre avis), et, dans le monde, un signe d'occidentalisation plus ou moins avancée








Noël, Y qu´en pensent les laïques ?
Avec la déconfessionnalisation progressive de notre société, Noël devient une belle fête du milieu de 1'hiver, sans portée religieuse, et redevient la fête païenne qu'elle est, particulièrement, dans notre société qui reste encore de consommation. Certains, retournant aux traditions, fêtent le solstice le 21 décembre.

D'autres prennent le meilleur dans les habitudes existantes et voient Noël comme une fête de famille et de chaleur humaine.
Mais tous voient dans cette fête, quelle qu'en soit la date exacte, un moment de tolérance, de paix et de fraternité. Pour tout individu, quels que soient sa croyance, son sexe, " sa race " ou ses opinions, les laïques espèrent la paix sur la terre par les hommes de bonne volonté.


Simplement moi

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Ecrit le 16 déc.04, 05:16

Message par Simplement moi »

La symbolique de Noël restera quelle que soit son origine.

Paix et Amour.

Joie et illusion des enfants.

Le reste... laïc, religieux, primitif, cela a peu d'importance en regard de ces symboles universels.

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nouredinezinki

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Ecrit le 16 déc.04, 06:24

Message par nouredinezinki »

Simplement moi a écrit :La symbolique de Noël restera quelle que soit son origine.

Paix et Amour.

Joie et illusion des enfants.

Le reste... laïc, religieux, primitif, cela a peu d'importance en regard de ces symboles universels.

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et tu prétends: religion aucune, commes les generaux gouraud et allemby en 1918:

general gouraud à damas en frappant de son pied la tombe de saladin
" saladin voici les petis fils des croisés ou sont des petits fils"

general allemby en entrant à jerusalem "enfin les croisades sont terminéés"

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Noël censuré


Parce que le pluralisme religieux fait peur, la sphère privée deviendrait de plus en plus le lieu privilégié d'expression de la foi

La tenue d'un mini-colloque sur le thème de la liberté religieuse, les 12 et 13 décembre dernier, ne pouvait survenir à un meilleur moment. Le jour même où démarrait cette activité présentée dans le cadre du Séminaire de doctorat de la Faculté de théologie et de sciences religieuses, le quotidien La Presse publiait à la une un article sur la décision d'une école privée de Montréal d'interdire l'interprétation de chants de Noël religieux par la chorale de l'établissement. Peu de temps auparavant, la Ville de Toronto avait défrayé les manchettes avec sa décision de renommer son traditionnel sapin de Noël, "sapin des Fêtes".

Selon Gilles Routhier, professeur à la Faculté de théologie et de sciences religieuses, de telles réactions reflètent une peur de la différence dans une société habituée pendant très longtemps à fonctionner dans un cadre religieux homogène, mais confrontée de plus en plus au pluralisme religieux. "À partir du moment où cette homogénéité n'existe plus, explique-t-il, on se retrouve avec une nouvelle donne. La tentation, plutôt que d'accueillir le pluralisme, est alors de dire: puisque les gens ont des convictions religieuses différentes, ils doivent s'abstenir de les exprimer. Et l'on va faire comme si la religion, ne pouvant plus trouver de lieu d'expression dans la sphère publique, n'appartenait plus qu'à la sphère privée."

Cette approche, il va sans dire, contredit la notion même de liberté religieuse dont la définition est justement d'ouvrir l'espace public à la liberté et de permettre le pluralisme. "Ce refoulement du religieux en dehors de l'espace public est également une prise de position religieuse, agnostique, athée, qui n'est pas neutre, affirme Gilles Routhier. On ne veut pas aller vers la liberté religieuse parce que celle-ci commande toujours la rencontre de l'autre qui est différent de soi. À cause de cette différence, l'autre me remet toujours en question et m'oblige à dire ce que je suis."

Un âpre débat
Dans son exposé lors du mini-colloque, Gilles Routhier a abordé les enjeux théologiques et ecclésiaux ayant entouré la promulgation, par le concile Vatican II en 1965, de Dignitatis Humanae (La dignité humaine), la Déclaration sur la liberté religieuse. "Ce texte n'allait pas de soi, et il a suscité une bonne controverse pendant le concile et même après, explique-t-il. Si Mgr Lefebvre a quitté l'Église catholique pour former une église que l'on appelle schismatique, c'est entre autres parce qu'il avait le sentiment que la Déclaration représentait une rupture d'avec la tradition doctrinale de l'Église."

Jusque-là, le point de vue de l'Église catholique consistait à dire que la vérité a des droits, que l'Église est détentrice de la vérité, que les États ont des obligations à l'égard de cette même vérité, donc que ceux-ci ont des obligations envers l'Église. En 1965, l'Église déclarait officiellement que les personnes ont des droits, pas la vérité. "La Déclaration ouvrait un espace de liberté, indique Gilles Routhier. Les États ne peuvent contraindre leurs citoyens à embrasser une religion ou une autre et ils ne peuvent considérer comme des citoyens de seconde zone ceux et celles qui pratiquent une religion différente."

Depuis l'Encyclique Mirari Vos du pape Grégoire XVI, promulguée en 1832, la doctrine concernant la liberté religieuse a connu un authentique développement. "À cette époque, et dans un contexte tout à fait différent, il y a eu une condamnation de la liberté de conscience, rappelle Gilles Routhier. Ensuite, deux encycliques, promulguées en 1864 et en 1885, ont fait évoluer la doctrine dans sa continuité. Nous ne sommes pas aujourd'hui dans la répétition, mais bien dans un approfondissement."


YVON LAROSE
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nouredinezinki

nouredinezinki

Ecrit le 16 déc.04, 06:29

Message par nouredinezinki »

Candide. Sapins





Anna Lietti
Lundi 13 décembre 2004

L'autre jour, les élèves d'une école de Côme sont rentrés à la maison avec un chant de Noël censuré. La maîtresse leur avait fait biffer le mot «Jésus» dans la phrase «C'est le jour de Jésus» et l'avait remplacé par «vertu». Ça rime, oui. Mais ça pose la question: si on ne peut plus dire que le 25 décembre est le jour de Jésus, est-il convenable de faire chanter les enfants ce jour-là?

La polémique annuelle autour de la célébration de Noël dans les écoles est particulièrement vive en Italie. Peut-être parce que les réactions indignées du Vatican et de la droite ultranationaliste lui confèrent un écho accru. Ce qui est fascinant, c'est de voir qu'à part eux, personne ne bronche. Pourtant, lorsque les enseignants rivalisent de créativité dans la recherche de solutions pour fêter Noël sans le fêter, le résultat n'est pas très convaincant.

L'un autorise la crèche mais impose des bergers noirs (pourquoi seulement les bergers?), l'autre précise qu'il fête aussi la fin du ramadan (mais Yom Kippour?), le troisième invente un «Mage Noël» laïque (Le Père Noël est donc une figure religieuse? Et le sapin?)

Soyons conséquents. S'il est vrai que la célébration de Noël est propre à blesser la sensibilité des populations dans un contexte multiethnique, il n'y a que deux solutions. La première: on fête toutes les fêtes religieuses, y compris celle de l'illumination du Bouddha, car on ne saurait faire de hiérarchie entre les croyances. On ressuscite en somme la semaine des quatre jeudis. Les écoliers seraient ravis, mais je doute que s'améliore leur score sur l'échelle PISA.

Seconde option: ne plus rien fêter et éliminer toute trace de Noël sur la voie publique. Plus de sapins, plus d'éclairages, rien qui brille ni ne sent bon. C'est l'option adoptée par la municipalité d'une banlieue multiethnique de Londres il y a quelques années déjà. Dans le même souci de neutralité, en décembre dernier, la Croix-Rouge britannique a demandé au gérant d'un de ses magasins de retirer le sapin qu'il avait placé dans son échoppe.

Medhi el dar el kufr

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Ecrit le 16 déc.04, 07:54

Message par Medhi el dar el kufr »

Alors là pour une fois j'approuve. Effectivement la célébration de noel reprend la célébration de fête paienne. Mais tu trouves aussi cela en islam où le pèlerinage et le parcours du pélerin dérive de rite paien préislamique. Ce qui est d'ailleurs remarquable c'est que le culte bétylique existe toujours mais on lui a donné une autre signification

Mais ce que j'adore c'est quand des monothéistes font la leçon aux fêtes polythéistes sans regarder dans leur propre tradition :lol:

nasser

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Ecrit le 16 déc.04, 08:04

Message par nasser »

Medhi el dar el kufr a écrit :Alors là pour une fois j'approuve. Effectivement la célébration de noel reprend la célébration de fête paienne. Mais tu trouves aussi cela en islam où le pèlerinage et le parcours du pélerin dérive de rite paien préislamique. Ce qui est d'ailleurs remarquable c'est que le culte bétylique existe toujours mais on lui a donné une autre signification

Mais ce que j'adore c'est quand des monothéistes font la leçon aux fêtes polythéistes sans regarder dans leur propre tradition :lol:
en fait se sont les païens qui ont repris la tradition d'abraham et d'ismaêl puis ils ont inniver d'autre dieux

puis le messager est venu rétablir le vrai culte en détruisant les fausses divinités inventés par ses ascendants

Medhi el dar el kufr

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Ecrit le 16 déc.04, 08:59

Message par Medhi el dar el kufr »

nasser a écrit : en fait se sont les païens qui ont repris la tradition d'abraham et d'ismaêl puis ils ont inniver d'autre dieux

puis le messager est venu rétablir le vrai culte en détruisant les fausses divinités inventés par ses ascendants
:lol: mais oui écoute ce soir j'ai pas le temps de répondre mais je peux te dire que j'arriverai à démontrer facilement comment ce fait une simple analyse du coran le confirme comme les pierres qui sont disposés encore actuellement dans le site et les autres qui marquent le périmètre "sacré" de la mekke l'orientation de la ka'aba etc
comme je pourrais démontrer que mahomet dans les moments difficiles utilise des gestes typiques de polythéistes pour faire appel à dieu sans compter la façon dont tourne les musulmans autour du bétyle(les romains pour célébrer une naissance étaient de fabuleux musulmans avant l'heure)
:lol: :P
Ce que tu viens de me dire c'est comme si un chrétien venait me dire que les rogations étaient un rite typiquement chrétien :lol:

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