Ne pas être en souci pour le lendemain Mat.6:30-34

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Nickie

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Ne pas être en souci pour le lendemain Mat.6:30-34

Ecrit le 19 févr.05, 08:19

Message par Nickie »

8-) Salutation les COOL, et que le Seigneur vous bénisse abaondamment à part ce ça!!!


Je rend une action de grâce à mon Seigneur et à mon Sauveur pour ce qu'Il a fait pour moi. Car il est écrit dans :

Matthieu 6:30-34
(…) ne vous (vêtira-t-il) pas beaucoup plutôt gens de petite foi? Ne soyez donc pas en souci, disant : Que mangerons-nous ? Ou que boirons-nous ? Ou de quoi serons-nous vêtus ? Car les nations recherchent toutes ces choses ; car votre Père céleste sait que vous avez besoin de toutes ces choses ; mais cherchez premièrement le royaume de Dieu et sa justice, et toutes ces choses vous seront données par-dessus. Ne soyez donc pas en souci pour le lendemain, car le lendemain sera en souci de lui-même : à chaque jour suffit sa peine.

Et cette parole précise, cette promesse du Seigneur Jésus Lui-même c'est réalisée pour moi, comme elle se réalisera pour chacun d'entre vous.

Ces versets qui sont retrouvés dans la Bible Chrétienne sont les paroles du Seigneurs Jésus à ses Apôtres, à ses adeptes et à ses fidèles et aussi aux grandes foules qui le suivaient. C’est aussi un héritage d’enseignement spirituel sacré si vous le voulez. Car ces précisément dans ces enseignement que Jésus, notre Sauveur, notre Christ, nos lègues son mode de vie. En fait, c’est exactement par de telles paroles que notre Maître nous révèle qu’il veille sur nous. Et quelles belles paroles d’amour et de tendresses d’un Père aimant envers Ses enfants !

Pendant la quasi-totalité de ma vie, je fus affligé de problèmes de santé. Laisser à mon compte dans une orphelinat dès ma naissance, je fut victime d’une épidémie et de négligence. Puisque mes parents d’accueil et d’adoption durent m’enlever de force du système social afin de me soigner personnellement d’avec leur amour et leurs soins.

J’ai toujours souffert du manque de confiance en autrui, et évidemment en moi-même, d’angoisse et d’anxiété chroniques. Et en plus je souffrais de l’auto suffisance. Car au lieu de prier et de demander à Dieu pour qu’Il m’aide en cela, je me suis tournée vers des professionnels de la santé, les médicaments diachylons, et des thérapies. Sans même omettre d’avoir recours à l’abus des substances alcoolisées et aux drogues douces, en de la merde comme on le dit de façon colorée en langage de rue. J’en ai souffert pendant de nombreuses années durant, et j’ai tout, tout perdu à cause de cela.

Était-ce vraiment une maladie mentale, ou bien était-ce une maladie spirituelle; une maladie de l’âme? Je me fais lasse des longues analyses perpétuelles à savoir si oui ou non c’était une pathologie. Car oui, je l’admettrai bien. Quoique, les pathologies psychosociales furent découvertes aux suites de longues études des différentes philosophies et théologies religieuses et spirituelles.

Matthieu 6: 30-34, et Matthieu chapitre 6 dans son entier, est une longue explication qui veut tout simplement dire ceci, confie-toi et abandonne-toi à une Puissance Supérieure à toi-même…

Et pourquoi pas? Ma méthode à moi ne marchait plus pour moi. J’en étais rendu malade. Et j’en arrachais dans la vie. J’avais tout essayé à partir du Yoga jusqu’à la boisson et les drogues.

Je me suis donc mise dans les mains de la Justice de Dieu. J’ai donné ma vie à Dieu et j’ai accepté de par ma foi sa Grâce qu’Il me donna en cadeau gratuitement. J’ai trouvé son Royaume sur Terre.

Depuis lors, quoique je ne suis pas devenue une sainte d’ici jeudi, quoiqu’il n’y eut pas de coup d’éclair et qu’Il ne m’a pas transformé en millionnaire, quoique je vis une humble existence, je n’ai jamais et ce, au grand jamais, manquer de rien. Moi qui n’avais que le ligne que j’avais sur le dos et qui était seule dans la rue, maintenant le Seigneur ma bénit en prenant soin de moi. J’ai de la nourriture sur la table et un toit sur la tête.

Certes, avec cela est venu s’ajouter des plus grandes responsabilités dans la vie. Car j’ai des gens qui n’étaient pas dans ma vie auparavant avec qui je dois partager mes nouvelles bénédictions. I.e. Ma nourriture. Lorsque je popote, j’en donne une bonne partie au garçon de mon mari et à ses copains qui se tiennent chez eux. Et à des connaissances anciennes du monde la consommations qui viennent frapper à notre porte pour manger un repas. Car jamais Dieu ne nous donne sans en demander sa dîme et des aumônes pour les pauvres et les pires que nous. Et pourquoi pas, puisque j’en reçois de la main droite gratuitement, j’en partage une partie qui m’est un surplus gratuitement.

Parfois, il m’arrive de m’en faire, de me stresser pour rien. Je me pose des questions et je me fait du souci à s’avoir : vais-je en manquer, en aurais-je assez. Et c’est précisément là, à ce moment là, que je compte mes bénédictions et que je remercie Dieu pour toutes les belles choses que j’ai, par exemple mon mari, ses enfants, ma chienne, mon perroquet qui me dit des mamours dans l’oreille droite tout en dansant sur mon épaule, en ce moment même, ma bergère allemande, mon ordi, l’Internet, etc. Toutes ces choses en surplus que je n’aurais jamais cru bon croire que j’aurais eut un jour.

Maintenant je vis un 24 heures à la fois, et je ne fais pas de la projection à savoir ce qui arrivera demain…

Que le Seigneur te bénisse abondamment à part de ça!!!

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