Mini-tchat

  • J'm'interrogeil y a 56 minutes
    Gérard C. Endrifel a écrit : 16 juil.25, 10:45 Je suis d'accord pour dire que les animaux n'ont pas une personnalité aussi élaborée et structurée que la nôtre, mais de là à dire qu'ils n'en possèdent aucune... alors même que la science du comportement animale existe... faudrait peut-être pas exagérer.
    Les animaux ont pour certains évidemment une personnalité. Même les chats en ont une, souvent bien distinctes d'un individu à un autre.
  • indianil y a 55 minutes
    Ma femme parle à ses plantes.
  • J'm'interrogeil y a 54 minutes
    Gérard C. Endrifel a écrit : 16 juil.25, 10:49 jusqu'à renier sa propre nature, sa propre condition, c'est à la fois ridicule et impossible.
    DJ croit qu'il n'y a pas de sujet conscient ou que celui-ci c'est l'animal qu'il pense être.
  • Gérard C. Endrifelil y a 52 minutes
    J'm'interroge a écrit : 16 juil.25, 10:59 DJ croit qu'il n'y a pas de sujet conscient ou que celui-ci c'est l'animal qu'il pense être.
    se comparer sans arrêt à un chimpanzé ou à un singe ou même à un insecte sous prétexte d'être également un animal... c'est quand même pas mal dégradant.
  • Gérard C. Endrifelil y a 51 minutes
    c'est dire la piètre opinion qu'il a de l'espèce humaine et de lui-même en particulier vu qu'il projette.
  • J'm'interrogeil y a 50 minutes
    indian a écrit : 16 juil.25, 10:55 c’est le cas en ce qui me concerne d’ailleurs, quant à la vie.
    La "vie" quand on en parle, c'est une notion ou un concept. Ce dont on parle quand on en parle c'est une chose, ce que l'on en dit en c'en est une autre.
  • J'm'interrogeil y a 49 minutes
    Gérard C. Endrifel a écrit : 16 juil.25, 11:00 se comparer sans arrêt à un chimpanzé ou à un singe ou même à un insecte sous prétexte d'être également un animal... c'est quand même pas mal dégradant.
    Ce n'est pas que ce soit dégradant, c'est réducteur.
  • J'm'interrogeil y a 48 minutes
    Il dit que l'être humain est un primate, c'est scientifiquement faux. Le terme "être humain" n'est pas utilisé en sciences. En sciences l'on parle d'individus ou de membres d'une espèce.
  • Gérard C. Endrifelil y a 47 minutes
    J'm'interroge a écrit : 16 juil.25, 11:03 Ce n'est pas que ce soit dégradant, c'est réducteur.
    Oui, c'est réducteur, mais je trouve que c'est dégradant quand même. S'abaisser au même niveau qu'un ver de terre sous prétexte d'être un animal, euh, faut pas pousser quand même.
  • Gérard C. Endrifelil y a 47 minutes
    un peu de dignité, d'estime de soi, un minimum syndical quoi
  • J'm'interrogeil y a 46 minutes
    Une autre erreur qui commet, mais il n'est pas le seul, c'est qu'il considère qu'une réaction à des stimuli sensoriels implique une perception sensorielle.
  • Gérard C. Endrifelil y a 45 minutes
    de toutes façons je suis pas concerné, je suis pas un animal. Ma mère disait que je suis un virus qu'il faut supprimer. Je suis donc une bactérie :rolling-on-the-floor-laughing:
  • J'm'interrogeil y a 42 minutes
    Fondamentalement, si par "ce que nous sommes" nous référons aux sujets conscients que nous sommes, nous sommes des esprits non réductibles à nos composantes biologiques animales. Car celles-ci, en elles-mêmes et par elles-mêmes, ne sont consciente de rien.
  • Gérard C. Endrifelil y a 41 minutes
    J'm'interroge a écrit : 16 juil.25, 11:04 Il dit que l'être humain est un primate, c'est scientifiquement faux.
    Oh il a dû pêcher ça sur ChatGPT.
  • Gérard C. Endrifelil y a 41 minutes
    " L'être humain est-il un primate ?


    ChatGPT a dit :
    Oui, l’être humain est un primate.

    Plus précisément, il appartient à :

    l’ordre des primates (comme les singes, les gorilles, les chimpanzés, etc.)
  • J'm'interrogeil y a 40 minutes
    Voilà. C'est une bêtise.
  • J'm'interrogeil y a 39 minutes
    Si l'on parle de l'homme l'individu biologique, effectivement, l'homme est un primate hominidés. Mais si l'on parle d'un être humain, le réduire au primate est une erreur.
  • Gérard C. Endrifelil y a 39 minutes
    il doit avoir de sacrés conversations avec l'IA le petit coquin. Et tout doit être biaisé à souhait :rolling-on-the-floor-laughing:
  • Gérard C. Endrifelil y a 38 minutes
    J'm'interroge a écrit : 16 juil.25, 11:13 Mais si l'on parle d'un être humain, le réduire au primate est une erreur.
    Ah ben clairement !
  • J'm'interrogeil y a 38 minutes
    J'm'interroge a écrit : 16 juil.25, 11:13 Si l'on parle de l'homme l'individu biologique, effectivement, l'homme est un primate hominidés. Mais si l'on parle d'un être humain, le réduire au primate est une erreur.
    Parce que, comme je l'ai dit, l'être humain est avant tout un sujet participant conscient.
  • J'm'interrogeil y a 38 minutes
    Or, la biologie ne traite pas de cela.
  • J'm'interrogeil y a 37 minutes
    Le sujet participant conscient échappe encore aux sciences dans leur cadre paradigmatique actuel.
  • Gérard C. Endrifelil y a 37 minutes
    ça relève de la psychanalyse non ?
  • J'm'interrogeil y a 35 minutes
    Gérard C. Endrifel a écrit : 16 juil.25, 11:16 ça relève de la psychanalyse non ?
    Non. La psychanalyse s'intéresse à la personnalité psychologique.
  • J'm'interrogeil y a 35 minutes
    Et la psychanalyse, stricto sensu, n'est pas une science.
  • Gérard C. Endrifelil y a 32 minutes
    alors quelle science s'intéresse au sujet participant conscient ?
  • J'm'interrogeil y a 29 minutes
    Gérard C. Endrifel a écrit : 16 juil.25, 11:20 alors quelle science s'intéresse au sujet participant conscient ?
    La physique et les neurosciences en tant qu'hypothèse.
  • J'm'interrogeil y a 29 minutes
    Mais ce n'est pas directement leur objet.
  • J'm'interrogeil y a 29 minutes
    C'est juste que cette hypothèse s'impose à ses sciences.
  • J'm'interrogeil y a 28 minutes
    D'où ce qui est nommé : "le difficile problème de la conscience", qui interroge les scientifiques.
  • Gérard C. Endrifelil y a 27 minutes
    Bah il y a 8 milliards de consciences différentes alors pour résumer ça en une seule explication claire et limpide, bon courage.
  • J'm'interrogeil y a 26 minutes
    J'm'interroge a écrit : 16 juil.25, 11:23 C'est juste que cette hypothèse s'impose à ses sciences.
    Il y a bien ce que les philosophes de l'esprit et les phénoménologues ont nommé la "conscience phénoménale", qui résiste à toute explication réductionniste.
  • J'm'interrogeil y a 25 minutes
    Gérard C. Endrifel a écrit : 16 juil.25, 11:26 Bah il y a 8 milliards de consciences différentes alors pour résumer ça en une seule explication claire et limpide, bon courage.
    Je ne pense pas qu'il soit aussi facile que ça d'en l'estimer le nombre.
  • Gérard C. Endrifelil y a 24 minutes
    vous pensez qu'il n'y a pas de conscience propre à chaque individu ? Chaque sujet participant conscient est unique non ? Simple question.
  • J'm'interrogeil y a 23 minutes
    Gérard C. Endrifel a écrit : 16 juil.25, 11:28 vous pensez qu'il n'y a pas de conscience propre à chaque individu ? Chaque sujet participant conscient est unique non ? Simple question.
    Il y a plusieurs hypothèses à ce sujet.
  • J'm'interrogeil y a 23 minutes
    Pour moi, ce qui est sûr, c'est qu'une conscience phénoménale nécessite un sujet conscient individuel.
  • J'm'interrogeil y a 22 minutes
    Il faut un esprit pour qu'il y ait une conscience de quelque chose.
  • J'm'interrogeil y a 18 minutes
    Et selon moi, un esprit n'est pas une entité biologique, ni quelque chose qui se situerait dans le cerveau ou qui serait assimilable au cerveau d'un individu biologique.
  • Gérard C. Endrifelil y a 14 minutes
    ce serait pas la vie, tout simplement, ou ce que la Bible appelle la force vitale ? On la situerait à tort dans le cerveau pour la simple raison que c'est avec le cerveau qu'on cherche à rationaliser les choses et à les comprendre ? Le cerveau a quand même une place importante, mais peut-être qu'on lui en accorderait trop ?
  • J'm'interrogeil y a 14 minutes
    Il ne s'agit certes pas non plus d'une sorte de "double subtil" du corps physique comme le croient peut-être certains.
  • J'm'interrogeil y a 11 minutes
    Gérard C. Endrifel a écrit : 16 juil.25, 11:38 ce serait pas la vie, tout simplement, ou ce que la Bible appelle la force vitale ? On la situerait à tort dans le cerveau pour la simple raison que c'est avec le cerveau qu'on cherche à rationaliser les choses et à les comprendre ? Le cerveau a quand même une place importante, mais peut-être qu'on lui en accorderait trop ?
    Je ne sais pas trop ce que les gens qui utilisent ce terme de "force vitale" entendent par là, mais il semble que ce soit tout autre chose que ce que j'entends par un "esprit".
  • J'm'interrogeil y a 10 minutes
    À propos du cerveau, la plus grande part voir la totalité des contenus conscients sont en lien avec l'activité cérébrale dites "consciente", mais qui en elle-même n'est à proprement parler consciente de rien.
  • Gérard C. Endrifelil y a 7 minutes
    la force vitale, c'est ce qui anime votre corps tout entier. Mais vraiment tout entier. Sans cette force vitale, il n'y aurait aucune interaction entre les organes. C'est le rouah, en hébreu, un mot qui se traduit aussi par esprit.
  • indianil y a 7 minutes
    La psychologie semble être limitée à notre espèce.
  • J'm'interrogeil y a 6 minutes
    En d'autres termes : l'esprit (ou dit autrement le sujet participant conscient) à lui seul ne pense pas, mais il participe à la pensée et au processus décisionnel qui s'exécute au niveau du cerveau.
  • J'm'interrogeil y a 6 minutes
    Gérard C. Endrifel a écrit : 16 juil.25, 11:45 la force vitale, c'est ce qui anime votre corps tout entier. Mais vraiment tout entier. Sans cette force vitale, il n'y aurait aucune interaction entre les organes. C'est le rouah, en hébreu, un mot qui se traduit aussi par esprit.
    Ok. Je ne crois pas du tout en cette théorie.
  • J'm'interrogeil y a 4 minutes
    On sait aujourd'hui qu'il n'existe rien de tel.
  • J'm'interrogeil y a 3 minutes
    Entre le corps biologique et l'esprit il existe des échanges d'informations sans transfert d'énergie ou de matière.
  • J'm'interrogeil y a 2 minutes
    Inputs outputs.
  • J'm'interrogeil y a 1 minute
    Ces échanges d'informations se font par le biais d' "effets frontière".