Cette datation dont le seul but recherché était la disqualification de l'authenticité du linceul a au contraire créé un engouement et une curiosité jusqu'alors inégalé dans les milieux scientifiques de tous bords. Les responsables du British museum de l'époque et leurs acolytes au portefeuille bien garni se sont lamentablement plantés dans leur volonté à jeter le linceul aux oubliettes : ils ont créé bien malgré eux l'effet inverse.
Les opposants au linceul quant à eux qui n'ont pas étudié un minimum le dossier qui est énorme sont acculés face à l'amoncellement de publications, d'études au plus haut niveau, et surtout face à des informations qu'ils reçoivent comme des révélations dont ils ignoraient jusqu'alors l'existence.
Je poursuis en rappelant mon message sur les études médico-légales du linceul :
https://forum-religion.org/viewtopic.ph ... 1#p1373541
Suite :
Lien servant de base à une recherche plus poussée sur les pollens :
http://wiki.ebior.be/index.php?title=Co ... 0%99Oviedo
Rappel sur les pollens :
On a retrouvé à l’emplacement du nez, des genoux et des pieds, des poussières d’aragonite, du carbonate de calcium provenant du travertin, une pierre utilisée à Jérusalem. Sur les 58 espèces de pollens retrouvés sur le Linceul, 44 proviennent du bassin méditerranéen voire de Palestine notamment, et 28 d’entre-elles ont été identifiées comme provenant d’espèces florissant au printemps entre Jérusalem et Jéricho. La présence de ces pollens, découverte par le Dr Max Frei (décédé avant de pouvoir publier l’ensemble de ses travaux) sera confirmée en juillet 1988 par les Dr Alan Adler, le Dr Walter McCrone (ce dernier étant un farouche opposant à l’authenticité du Linceul) et plus récemment par le Dr Avinoam Danin, palynologue de l’université de Jérusalem.
Sur la la tunique d'Argenteuil (autre relique qui serait le vêtement porté par Jésus avant de monter sur la croix), les auteurs ont retrouvé à sa surface des pollens de deux espèces particulières de tamarin et de pistachier qui ne se rencontrent qu’en Palestine, espèces que l’on a aussi retrouvées sur le linceul de Turin et sur le suaire d'Oviedo.
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Les pièces invisibles à l’oeil nu :
Sur le tissus , au niveau des yeux, il y a des marques de pièce de monnaie ( traditionnellement mises sur les yeux des morts), visibles uniquement en grossissant l'image. Ceci a été un moment remis en cause car un des leptons (datés de 29 et 31 après J.-C.) présentait une faute d'orthographe. Ce débat a passionné les numismates jusqu'à ce qu'on retrouve une pièce avec la même faute d'orthographe, frappées, sous Ponce Pilate, la lettre C au lieu de la lettre K en initiale de KAICAPOC.

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Inscriptions invisibles à l’œil nu
A partir des années 70, plusieurs chercheurs pensaient avoir décelé des inscriptions autour du visage du Linceul. La confirmation fut apportée en 1994 par l'Institut d'Optique d'Orsay qui confirma que les lettres étaient inscrites sur la face externe du Linceul. Les paléographes qui ont étudié ces caractères antiques grecs et latins, confirment qu'ils sont antérieurs au moins au Ve siècle. Ces symboles devaient déjà être invisibles au moyen-âge puisqu'aucune description du Linceul n'en a jamais fait état. Ceci constitue un élément supplémentaire pour la mise en doute de la datation au carbone 14.
A partir des symboles déchiffrés et des abréviations, on peut y lire :
• "Tu es condamné à mort".
• "Faire ou accomplir un sacrifice".
• "Jésus"
• "Le Nazaréen".
• "Adam", Jésus était également surnommé "le nouvel Adam"
• "Ombre de visage ou visage à peine visible".

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Les échantillons du linceul :



L'échantillon daté en 1988 n'est pas représentatif du linceul entier. Les récentes découvertes convergent vers l'hypothèse que ce qui a été daté est une réparation médiévale.
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Les analyse de Raymond Rogers sur le coton :
En 2000 les Américains firent une découverte capitale qui allait tout remettre en question: le linceul ( saint suaire) de Turin aurait été rapiécé au Moyen Âge avec du coton. Le lin et le coton n’ayant pas la même couleur et texture, on se rendit compte que les parties analysées par les scientifiques étaient en fait les morceaux de coton utilisé pour réparer le suaire. Ces morceaux de coton auraient été teint ce qui rend l’expérience de datation faite complètement fausse.
Raymond Rogers chimiste et membre du STURP convaincu par la datation au carbone 14 , déclare " je peux démonter en 5 minutes, l'absurdité de la théorie de la réparation médiévale". Après analyse des restes des échantillons, il trouve de nombreuses fibres de coton dans les échantillons qui devraient être normalement constitué de lin pur, il en vient donc à la conclusion que "l'échantillon radiocarbone ne fait pas partie du tissu original et n'est pas valide pour la datation du linceul ".