Les nombres négatifs sont dit relatifs !
Naturellement, universellement :

Naturellement, la négativité est mise en imaginaire.
Le développement dans l’Évolution du divin est directement lié dans la logique sémantique à la relativité générale, ce qui signifie que les dieux éternels procèdent d’un même schéma d’Évolution dans tous les Mondes de l’Univers où la vie s’est développée :

A l’origine de l’Univers, l’imaginaire pur apparaît comme une « pile algébrique » par les constantes Pi et par e :

Symboliquement, i dans l’écriture représente une bougie :

C’est en correspondance le sens sémantique donné à "univers" : « un i vers… »
L’imaginaire pur i est le verrou algébrique nécessaire à l’Univers à l'origine pour irréversiblement engendrer sa transcendance :

L’imaginaire pur est la condition existentielle préalable à l’apparition du point à l’origine de la première particule quantique primordiale discoïdale :

Cela signifie qu'absolument tout dans l'Univers est basalement punctiforme !
La positivité est la réalité générale ! l’énergie cinématique des particules quantiques primordiales est donnée par la croix du réel et de l’imaginaire. Au-delà, la croix est gyroscopique concernant le biodrone d’éternel des dieux.
La négativité est le propre des humains par une mise à mort infondée et inutile :

La partie horizontale est l'imaginaire par les « deux mains » (sens d'offrir un cadeau : « les deux mains donnent un présent »). La partie verticale est la réalité dans l'unité de l'être.
Autre enseignement : c’est qu’en réalité tout est positivité, le corps n'étant qu'un véhicule pour l'âme biophotonique éternelle et immortelle sur le plan karmique (mathématiquement, une "somme" est une addition et c'est dans le sens toujours karmiquement : une vie de plus !)...

Enfin, c'est par l'imaginaire en puissance de lui-même que le photon (combinaison de deux particules primordiales discoïdales, ces particules quantiques discoïdales constituant la matière noire) se déplace à une célérité constante, la vitesse de la lumière. c = 299 792 458 m/s vient de ce que l’imaginaire en puissance de lui-même se réalise totalement par les transcendants Pi et e (les constantes mathématiques à développement infini engendrent la constante c physique) :

Précisément, la constante physique c est la limite de l’espace-temps. Au-delà de cette vitesse de la lumière, l’espace-temps n’existe plus : c’est le mur de la lumière à l’équivalent du mur du son avec les ondes sonores. Contrairement aux biophotons des chakras dans le cadre de l'accélération de ces vortex qui suivent les spirales de Fibonacci, les photons naturels dans l'Univers ne sont pas aptes à dépasser la vitesse de la lumière.

Et lorsque des biophotons dépassent la vitesse de la lumière, l'âme en termine avec le karma et entre dans un processus de transcendance par lequel est engendré un corps éthéré de tissus de lumière (transcendance archangélique concernant un nouveau maillon de l'Évolution : les êtres de lumière). Un biophoton qui sort de l'espace-temps crée un fil de lumière stable lorsqu'il réintègre l'espace-temps (phénomène irréversible).

La transcendance de l’âme est une naissance à « soi »… Sémantiquement :

« M » ère pour « M » ondes !! Un être de lumière est issu d’un Monde (œuf stellaire) mais son espace vital est toute une galaxie dans laquelle il voyage de Mondes en Mondes !! La carte d'identité d'un archange, c'est son Monde de naissance.
Conclusions :
• dans tout l'Univers, le hasard n'existe pas ! Ce qui existe, ce sont des êtres dont l'entendement est incapable d'en avoir la perception, faute d'être suffisamment évolués...
• L'Évolution ouvre le champ des possibles mais sans hasard !