El Mahjouba-Marie a écrit : Lis Psaume 84, tu trouvera la maison de Dieu Baca . . les pélerins
Allah exalté soit –il dit dans son noble livre :
« 96. La première Maison qui a été édifiée pour les gens, c'est bien celle de Bakka (la mecque)bénie et une bonne direction pour l'univers. 97. Là sont des signes évidents, parmi lesquels l'endroit où Abraham s'est tenu debout; et quiconque y entre est en sécurité. Et c'est un devoir envers Dieu pour les gens qui ont les moyens, d'aller faire le pèlerinage de la Maison. Et quiconque ne croit pas... Dieu Se passe largement des mondes. » Al-imrane 96/97
Tu aimerais trop cela que tu invente des histoires dans ta tête fais quelque étude biblique avant de dire n'importe quoi

Baca
BaKa (SEGOND) ; Baca ; Baumier (Français Courant, JÉRUSALEM, T.O.B.) : arbuste résineux, portant le nom de baka, ce qui selon certains auteurs, signifie dégoutter, ou verser des larmes ; une sorte de baume découle de cet arbuste. Le mot baka pourrait aussi être un substantif signifiant les pleurs. Vallée de Palestine (#Ps 84:7), tirant son nom des arbres résineux qui y croissaient ; c’est peut-être la vallée des Rephaïm, car on y trouvait de tels arbres (#2S 5:22,23) ; mais les versions grecque et syriaque tiennent ce terme pour une métaphore, analogue à l’expression « vallée de l’ombre de la mort ». Baka signifie alors n’importe quelle « vallée de larmes ».
Baca
Baca, nom d’une vallée qui se trouvait sur le chemin de Jérusalem. Ce mot signifie mûrier ; il signifie aussi les pleurs, et c’est à cette dernière étymologie qu’il est fait allusion (#Ps 84:6). « Passant dans la vallée de Baca, ils la réduisent en fontaines (de réjouissances) ». Il est possible que cette vallée fût la même que celle de Réphaïm. Voir Réphaïm.
La vallée de Baca. D’après la tradition juive, ce nom signifierait : vallée des pleurs. S’agit-il d’une vallée portant réellement ce nom et redoutée pour son aridité ou pour toute autre cause ? La suite du verset fait penser à des lieux arides, que l’espérance et la foi du fidèle transforment en lieux de délices. C’est la pensée développée dans le #Ps 63, qui se rapporte à la fuite de David dans la partie la plus desséchée du désert de Juda. Peut-être y a-t-il ici allusion à quelque incident de cette fuite : la vallée qui, à ce moment-là, a été celle des pleurs, sera transformée, au retour, en vallée de sources rafraîchissantes. Les hébraïsants modernes font remarquer que Baca diffère trop du mot hébreu signifiant : pleurs (beki ou beké), pour pouvoir être pris dans cette acception. Ils y voient le nom d’un arbre qui ne croît que dans des lieux arides. Cette explication elle aussi nous ramène à l’idée d’une contrée où l’eau fait défaut.