la mecque dans l'ancien testament???

laisse moi rire...
reference:
http://secretebase.free.fr/complots/rel ... /islam.htm
La Mecque est un nom syrien, qui signifie, en araméen, ville basse, désignant à l’origine la ville basse de Madian ou de Damas, où sont nés le Coran et l’islam. Aujourd’hui l’opinion la plus répandue chez les chercheurs est que La Mecque, en Arabie, n’existait pas à l’époque, puisque nulle ville ne peut naître dans un désert sans eau. Des fouilles le démontreraient en quelques jours.
La Kaaba (le cube) est une présentation très ancienne de la déesse-mère Cybèle. Un autre sens de Kaaba dérive de ka’ib, vierge, ou sein d’une vierge. Les divinités « vierges » n’étaient pas d’innocentes jeunes filles, mais de redoutables célibataires. La Mecque proclame la grande déesse-mère. La couleur verte de l’islam vient de la déesse égyptienne Naphté, couleur des eaux vitales, et surtout d’Osiris, couleur de la résurrection. A Rome, Cybèle était vêtue de vert. On retrouve le langage habituel des symboles religieux : la météorite noire, boursouflée lors de son entrée dans l’atmosphère, représente le visage masqué de la déesse. On l’habille d’un drap vert, puisque le ciel ouvre ses vannes pour verdir la terre. Cette pierre noire est attestée en Syrie.
Ce sont sans doute les Perses, (et non les rabbins), qui mirent en forme ce culte fétichiste. Il s’agit d’une tragédie théologique, dans la mesure où un culte entièrement féminin a été transformé en culte entièrement masculin, provoquant des explosions de violence sporadiques. Jamais un prophète n’aurait commis un tel contresens, soumettant la Grande Déesse au dieu des enfers, dans un nouvel avatar du culte du veau d’or. Car Cybèle était aussi nommée "Kaebhbon", celle qui met les hommes en fureur.
Dans les premiers temps de l’islam, l’orientation de la prière n'atait pas en drirection de la pierre-fétiche, mais vers Jérusalem, entre le soleil levant, Sichem, ville que Mahomet nommait parfois "Bayt al-Maqdis" (maison de la sainteté). Jérusalem demeure d’ailleurs la troisième grande ville sainte de l’islam (avec La Mekke et Médine). Ce n'est que lorsque Mahomet décida d'en finir avec les Juifs, qui se moquaient de lui et refusaient de se soumettre malgré sa compromission envers leur ville Sainte, qu'il décida, en représailles, au mois de février 624 (peu après la bataille de Badr), d'ignorer désormais Jérusalem et exhorta ses disciples à prier en direction de La Mecque.